Bienvenue, Visiteur |
Vous devez vous enregistrer avant de pouvoir poster.
|
Utilisateurs en ligne |
Il y a actuellement 98 utilisateurs connectés. » 0 Membre(s) | 98 Visiteur(s)
|
|
|
Des stats ça vous parle ? |
Posté par : ledahu - 07/04/2022, 17:32 - Forum : L'Atelier
- Réponses (7)
|
|
Hello,
je viens de mettre en place l'affichage des stats de lecture sur les textes en ligne
grosso modo, ca fait apparaître les proportions des choix : 80% choix A / 20% choix B
et en rose les choix préférés par les femmes, en bleu les hommes
Un vidéo de présentation de 2min ici : https://www.quefaitesvous.com/blog/statistiques-de-parcours-des-lecteurs/
Ca vous parle ou pas du tout ? Je veux dire : est-ce que les stats de lecture ont un intérêt pour vous, auteurs ?
Franchement , je ne sais pas, car au finish, le seul intérêt est de s'apercevoir qu'un choix n'est jamais fait et, peut-être, d'en reformuler l'intitulé
|
|
|
Vulcan Verse, de Dave Morris et Jamie Thomson |
Posté par : Salla - 07/04/2022, 10:13 - Forum : Les livres dont VOUS êtes le héros
- Réponses (39)
|
|
Dans le cadre de la seconde campagne d'Alkonost, nous apprenons la sortie prochaine en français d'une nouvelle série écrite par les vétérans Dave Morris et Jamie Thomson. La page kickstarter de la campagne nous apprend pas mal de chose sur ces livres-jeux et leur univers. Inspirée des mécaniques de la série Fabled Lands, l'univers présente comme base la mythologie grecque, mais avec aussi des inspirations venant du film Matrix.
En fouillant un peu, j'ai découvert que Vulcan Verse était en fait l'univers d'un MMORPG éponyme qui est en beta actuellement.
https://vv.vulcanforged.com/
Si j'ai bien compris, le dieu Vulcain a créé le Vulcan Verse afin de faire survivre les anciennes croyances dans notre époque à travers un univers virtuel. Les mortels peuvent non seulement l'explorer grâce au jeu vidéo, mais aussi devenir propriétaire de parcelles des 4 parties de ce monde (Hadès, Notos, Boreas et Arcadia) par l'intermédiaire de NFT. Une cinquième zone centrale, Vulcan City, semble être le cœur administratif de cet univers. Les propriétaires de parcelles peuvent y développer leur propre pays, y placer des créatures, y créer des quêtes pour les autres joueurs... J'ai trouvé cet article qui décrit le fonctionnement économique du jeu.
Vulcan a aussi invoqué les anciens dieux olympiens et les titans afin de reproduire le cadre de la Titanomachie.
Citation :VulcanVerse is an open-world massive multiplayer online role-playing game (MMORPG) with lore written by fighting fantasy authors. Inside VulcanVerse, players can truly own assets in the form of Non-Fungible Tokens (NFTs).
In VulcanVerse, create your own quests and adventures, forage for NFTs, and battle against other Vulcanites. The native token for VulcanVerse, $PYR, is used as a settlement, staking, and gaming token.
We Sleep. We Dream. We Fade into Eternity.
Et donc Morris et Thomson sont les auteurs du lore de cet univers, qu'ils promeuvent aussi grâce à cette nouvelle série de livres-jeux. L'intrigue des livres constitue une préquelle à celle du jeu vidéo. Quelques infos supplémentaires dans une FAQ sur le blog de Dave Morris.
|
|
|
[Vivez l'aventure] L'Atlantide aux 100 pièges |
Posté par : Loi-Kymar - 05/04/2022, 23:17 - Forum : Critiques
- Pas de réponse
|
|
Ce n'est que tout récemment, en tant que juge pour le Prix du Livre-Jeu, que j'ai découvert la collection d'albums illustrés dont vous êtes le héros "Vivez l'aventure", avec Le Japon aux 100 mystères (qui a la particularité de... ne pas se passer au Japon, ne faisant qu'en importer quelques éléments décoratifs) et L'Atlantide aux 100 pièges, lesquels présentaient quelques points communs, dont le prologue et (logiquement) certains mécanismes. Je vais tâcher de dire quelques mots sur le second, que j'ai préféré, en m'excusant par avance pour mon point de vue de néophyte sur mon sujet.
Écrit par Gauthier "Dagonides" Wendling et illustré par Théo Berthet, l'ouvrage, destiné aux plus de 7 ans, nous donne à choisir entre jouer un garçon et une fille, accompagné de son adelphe du sexe opposé (choix ne servant qu'à permettre au jeune lecteur-joueur de mieux s'approprier l'histoire). Alors que les deux jeunes gens font une balade en bateau, une tempête les envoie par le fond, et leur matériel de plongée leur permet de poursuivre leur descente... jusqu'aux ruines de l'Atlantide, peuplées d'animaux marins qui s'avèrent n'être autres que les anciens habitants de la cité frappés d'une antique malédiction. Laquelle menace également les malheureux étrangers, à moins qu'ils ne résolvent une certaine énigme *.
Pour collecter les éléments de réponse à l'énigme, le lecteur est invité à naviguer de page en page, avec pour point central un plan de la zone. Certains lieux portent d'emblée le numéro de la page associée ; pour d'autres, il faudra chercher la référence, en résolvant d'autres énigmes dont les réponses sont des numéros de pages, en ramassant des objets opportunément numérotés, voire en trouvant des références discrètement insérées dans les illustrations... Le bon sens et l'observation sont privilégiés pour avancer, et les énigmes sont accessibles à tout enfant ou adulte doté de l'un ou l'autre (accessibilité assez discutable dans Le Japon aux 100 mystères...). La quasi-totalité des choix à faire ne sont pas bloquants : au pire, le lecteur tournera en rond en attendant de trouver la solution, et l'aventure ne comporte en tout et pour tout, sur une quarantaine de pages, qu'une seule PFA (eh oui, une et non un ). A noter au passage que cette PFA...
Montrer le contenu
Spoiler
... est associée à un passage où pointe ce qui ressemble à la seule incohérence de l'aventure. Au tout début, on suggère au lecteur que le temps lui serait compté avant que la malédiction ne le transforme en poisson. En réalité, cette menace ne se concrétisera que pour un passage particulier : un labyrinthe où l'on est invité à choisir le plus court chemin. Des chemins, il y en a trois : le plus court mène à la sortie, le plus long à la PFA (vous avez lambiné, PAF ! maudit), et le troisième... à un clin d'œil à Lovecraft et à un retour au début du labyrinthe sans que le temps passé soit un handicap. Incohérent, mais drôle.
L'expérience de jeu, ainsi bien huilée, devient un réel plaisir en parvenant à impliquer le lecteur sans trop d'esprit de sérieux. L'écriture sait être accessible sans abêtir, sobre comme on l'imagine mais un peu plus que fonctionnelle, ne se privant pas d'un ton humoristique propre à faire sourire petits et grands, jusqu'à une conclusion achevant de désacraliser gentiment une certaine mythologie. Les illustrations s'ingénient à donner vie à l'humidité des surfaces du monde sous-marin, peuplé d'une communauté de créatures aquatiques anthropomorphes dont toute l'expressivité passe par les yeux, sans pour autant s'empêcher des fantaisies telles que des poissons-chats à tête de chat ou un cimetière marin dont les tombes sont
Montrer le contenu
Spoilerdes boîtes à sardines !
Votre jeune enfant/neveu/filleul devrait vous remercier d'un tel cadeau !
* Énigme faisant par ailleurs un gros clin d'œil aux vieux lecteurs de LVDELH, puisque sortie tout droit d'un certain tome de Défis Fantastiques !
|
|
|
|