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AVH Numériques / iAVH |
Posté par : H.d.V - 20/02/2012, 17:52 - Forum : L'Atelier
- Réponses (16)
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J'ai à nouveau parcouru le sujet "Lassitude générale" sur la Taverne, et un constat s'impose, évident : il est peu motivant d'écrire pour, au mieux, une vingtaine de lecteurs potentiels.
C'est ce qui a contribué au coup de déprime de Oiseau, il y a peu.
J'ai la conviction, depuis un certain temps, que les tablettes et liseuses peuvent permettre une amorce de "renouveau". Je ne suis pas le seul à avoir cette intuition : quelques-uns ici, Jareth ou Segna sont sur la même longueur d'onde.
Je crois que nous avons notre carte à jouer : nous avons des AVH de très bonne qualité, des auteurs talentueux, et j'ai toujours pensé qu'il était très injuste que ceux-ci aient si peu de contre-partie à leurs efforts. Je suis sûr que le concept du LDVELH pourrait faire, en 2012, de nouveaux adeptes. Pour la bonne raison qu'il est en adéquation parfaite avec les tablettes et liseuses, justement.
Sur le forum de la Taverne est intervenu un ami de Jareth, Ex-Nihilo, programmeur de son état. Il a ébauché les contours d'une possible adaptation des AVH sur tablettes. Lisez ses posts, c'est passionnant : http://www.la-taverne-des-aventuriers.com/t3697p135-lassitude-generale-avez-vous-des-solutions
Une application avec un moteur gérant la Feuille d'Aventure, des liens cliquables, une possibilité de rajouter du multimédia, sons, images, une possibilité de faire des statistiques sur son parcours, un système de sauvegarde de sa partie, un générateur de dé aléatoire (qui pourrait être désactivée pour les ayatollahs du dé physique), etc, avouez que ça aurait de l'allure.
Suivez mon regard : d'un côté nous avons des AVH avec un bon potentiel, de l'autre un programmeur motivé et expérimenté. Nous avons déjà deux pièces essentielles du puzzle (2/3 je dirais).
Il faudrait, selon Ex-Nihilo, un infographiste, pour créer diverses animations (comme par exemple le dé qui roule) et concevoir un habillage graphique vendeur. C'est ce qui manque précisément.
Il y a aussi le problème récurrent des illustrations, mais ce n'est pas forcément essentiel à une AVH (même si ce serait mieux). A la limite, dans un second temps, il sera temps de faire de la prospection (allez, on va frapper à la porte de Mc Kenna ! lol)
Dans mon idée, un plan intéressant serait de tenter une publication de nos AVH sous format numérique, avec une application bien conçue pour assister le joueur. Évidemment, puisque l'on serait dans une logique de "reconquête", il ne faudrait dans un premier temps ne publier que les meilleures ou les plus solides. Pour cela, j'estime que les Yaz sont un indicateur de qualité.
Donc je lance la question, puisqu'une grande partie des auteurs d'AVH rôde ici. En particulier, qu'en pensent nos auteurs multi-Yazés que sont Fitz, Outremer et Oiseau ?
Ne serait-il pas cool de sortir de l'ornière dans laquelle nous sommes confinés ?
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Serait-il envisageable... |
Posté par : Aragorn - 18/02/2012, 09:50 - Forum : Les livres dont VOUS êtes le héros
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...de mettre les derniers DF sur Lulu et de pouvoir avoir une version papier ? Je pense notamment au Loup-Garou et à la nuit du Nécromancien mais éventuellement les autres aussi.
En effet je ne pense pas que Gallimard ait l'intention de les traduire et, au vu des critiques, ces deux-là en particulier valent vraiment le coup. Comme nous disposons en outre de la traduction grâce à CEBA, ne pourrait-on pas les mettre à disposition en "privé" sur Lulu ? Sans bénéfice pour qui que ce soit évidemment, juste pour le plaisir et le confort de lecture. Il ne me semble pas en outre qu'il y ait un gros travail à faire sur les fichiers, uniquement de la mise en page. Ca reviendrait grosso modo au prix d'une impression privée et pour un résultat franchement supérieur. J'aurai bien vu ça avec une couverture ancienne version (déjà disponible pour le loup-garou) et idem pour le quatrième de couverture.
Voilà qu'en pensez-vous ? Notamment les habitués de Lulu, est-ce envisageable ?
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[Chroniques Crétoises 1] La Vengeance d'Althéos |
Posté par : Fitz - 14/02/2012, 21:49 - Forum : Autres séries de la collection LDVELH
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Même si je ne peux encore pas juger la série dans son ensemble, ce premier Chroniques Crétoises fait à mon sens partie du gratin des LDVELH, de ces livres-jeux accomplis, réussis et qui par leur ampleur, leur originalité et leur qualité sont quasiment incontournables. Un contexte unique (si
l'on excepte le très moyen Voyage d'Ulysse) avec la Grèce antique et sa célèbre mythologie le rend déjà à lui seul très intéressant, d'autant plus que les trois auteurs (original ça aussi) semblent bien connaître leur sujet. On y apprend une foule d'informations sur cette époque, ce pays et ses légendes, on y croise nombre de personnages et de créatures renommés, les rencontres sont des anecdotes et des épisodes tirés de cette mythologie et l'ambiance est fort bien rendue avec de jolies
descriptions du paysage, du climat et de la végétation qui nous transportent dans univers méditerranéen très agréable avec son soleil ardent, ses cigales, sa mer d'émeraude mais aussi ses collines couvertes de pinèdes, son architecture si caractéristique... C'est vraiment dépaysant et agréable que de se sentir évoluer dans un cadre aussi pittoresque et aussi merveilleux puisque on peut y rencontrer une divinité à chaque virage de la route. Le médiéval-fantastique que j'aime
tant ne m'a pas du tout manqué.
Le scénario n'est malheureusement pas à la hauteur de cette ambiance si réussie. Il s'agit d'un long voyage à travers toute la Grèce méridionale, on a vraiment l'impression de faire du tourisme et de
découvrir en étranger les coutumes de chaque cité que l'on visite. Il n'y a même pas d'objectif mineur à l'intérieur de l'histoire, chaque péripétie ne se déroule que sur une dizaine de paragraphes grand maximum ; les rencontres intéressantes sont nombreuses mais pas assez développées. On se rend d'un lieu à l'autre en tachant d'avoir la bonne attitude devant chaque évènement intrigant, on se contente de survivre, d'accumuler de nouvelles protections et des points d'honneur jusqu'à notre arrivée à Athènes. A la capitale, la recherche de notre père est déjà plus motivante puis on accomplit un nouveau voyage, maritime cette fois, jusqu'à la Crète. C'est tellement dommage que des aventures plus longues ne nous tiennent pas en haleine (comme la conspiration contre le roi de Thèbes), qu'il n'y ait pas plus de ressorts dramatiques ou qu'on n'ait pas de compagnon attachant par exemple. Il s'agit surtout d'une série d'épreuves souvent imposées par les dieux.
Les dieux justement, j'ai beaucoup aimé. Ils nous parlent, ils sont très "humains" puisqu'ils marchent parmi les hommes, ont une enveloppe physique mais surtout, une sensibilité et des faiblesses qui les rendent très proches de nous même si leurs pouvoirs sont infinis. Là encore il s'agit d'une caractéristique de la mythologie grecque qui est respectée par les auteurs. Le choix initial d'un dieu protecteur n'est pas primordial pour la réussite de notre quête mais donne une saveur différente à chaque tentative, ce qui est vraiment très appréciable. Aphrodite est ainsi sensuelle, aguicheuse et terriblement érotique même si nos contacts avec elle ne sont qu'à peine suggérés (malheureusement), mais aussi étourdie, complètement hédoniste et limite écervelée. Apollon est mystérieux, ne parle qu'en énigmes et transpire la sagesse, la paix, tandis que sa
capacité à nous faire consulter l'Oracle sans crainte donne le sentiment que nous-même avons une prescience divine. Athéna est la vierge guerrière mais prudente, a une élocution très particulière puisqu'elle parle en zézayant. On sent bien au cours de notre voyage qu'elle est la divinité la plus vénérée dans le pays, la protectrice de la Grèce et de sa capitale éponyme. Héra représente l'autorité à la fois sévère et maternelle quand elle nous parle, capable d'une affection gauche comme de remontrances sans concession. Sa jalousie légendaire envers les jolies femmes susceptibles de faire tourner la tête de son Zeus de mari n'est pas non plus oubliée. Arès est le guerrier dans toute sa
splendeur. Seul l'héroïsme compte pour lui et sa diction est très militaire : saccadée, en phrases directives n'excédant pas trois mots. Il semble dénué de tout sens de la psychologie et de l'empathie. Quant à Poséidon, il est cassant, bougon et désagréable, ne cessant de nous rabaisser en mettant en exergue les qualités de notre frère et de notre père tout en pointant le doigt sur nos propres points faibles. Les six divinités protectrices sont sans doute les personnages les plus intéressants et les mieux décrits du bouquin, une bonne idée.
Une moins bonne idée est l'Oracle. Les nombreux paragraphes en italique permettent de se rendre à de nouveaux paragraphes mais sans renvoi direct, il faut penser à ajouter 20 au paragraphe en cours. Il s'agit d'un appel à un certain sixième sens. Cependant, cette aide est très aléatoire : trois fois sur quatre ce sera une alternative malheureuse et coûteuse en points d'honneur et/ou de honte et il est impossible de deviner à l'avance s'il faut l'utiliser, seuls les échecs permettent d'acquérir de l'expérience en la matière. Bref, cet Oracle n'est pas très satisfaisant d'un point de vue ludique mais également pour le récit, ça a cependant le mérite de l'originalité.
Les notions d'honneur et de honte sont par contre plus intéressantes, génératrices de stress puisqu'on risque le suicide, de choix tactiques supplémentaires dans les combats et d'une manière générale, sont gratifiantes pour le joueur à la manière de points d'expérience. Enfin le système de combats est novateur et finalement bien plus réussi que dans mon souvenir. Les rixes se résolvent en quelques lancers de dés, sans calcul alambiqué et sont souvent très risquées puisqu'on peut perdre en trois touches. Simplicité, rapidité et dangerosité : trois attributs positifs pour l'action dans les LDVELH. Bien sûr, le système fait la part belle à l'aléatoire, surtout en début de quête alors qu'on est sous-équipé. Mais plus on avance, plus on trouve des pièces d'armure et des armes performantes qui nous distinguent peu à peu des adversaires communs. Au début, on peut se faire tuer par le moindre loup ou bandit mais vers la fin, avec une bonne épée, un casque, un bouclier et un plastron, on devient bien plus difficile à battre. Cette gestion de l'armement est assez satisfaisante, d'autant plus que l'on peut dépouiller nos adversaires et à l'inverse, en perdre en cas de reddition. Un point négatif à ce propos : on nous propose toujours de nous rendre, de fuir ou d'invoquer Zeus en cas de défaite mais ces options sont souvent synonymes de défaites à plus ou moins long terme vu ce qu'on y perd en honneur, honte et armement.
Donc j'ai apprécié le jeu dans ce premier épisode de la trilogie. Juste dommage qu'il soit trop facile à mon goût. J'ai terminé à ma 4ème lecture alors que le livre fait plus de 600 paragraphes. Comme les routes sont plutôt diversifiées et que les différents protecteurs sont intéressants, j'aurais bien aimé une peu plus de challenge, ça ne m'aurait pas dérangé du tout de tester les deux dernières divinités. Pour l'anecdote, j'ai gagné avec Athéna. Chaque protecteur est intéressant car ils sont utilisés tous régulièrement ou proposent des capacités utiles. Le point de protection supplémentaire de la déesse guerrière est quand même bien sympa tout comme le fait d'éviter des pertes de points d'honneur avec l'Oracle. J'ai bien aimé ma première mort où je me suis suicidé de honte après une partouze éthylique avec des dryades et des satyres (ça m'a fait pensé à Interlude Sylvain). Trop utiliser l'Oracle à mauvais escient est très dommageable car je suis à nouveau tombé sur ma propre lame dans la maison de mon père. Enfin, le colosse de bronze final m'a terrassé avant que je ne parvienne en Crète.
La structure de l'aventure est bien également. Peu de linéarité, la possibilité de visiter des villes différentes en empruntant divers chemins qui génèrent des rencontres variées est toujours satisfaisante dans le cadre d'un LDVELH. Cela m'a fortement fait penser à la Vengeance du Ninja dans sa forme : quête longue quel que soit le chemin emprunté, passages obligés intéressants, rencontres diverses, possibilités de relecture grâce aux différents protecteurs / compétences de ninja... J'adhère complètement à ce schéma.
Vraiment dommage que le scénario ne soit pas plus dense, plus surprenant et étayé par des rencontres plus marquantes car il s'agit sinon d'un bon LDVELH doté en plus d'un style de haute volée. Sur ce dernier point, la seule chose qui m'ait gêné est une abondance de métaphores et de
comparaisons dans l'exercice descriptif ("tel le lion triomphant qui...." ; "de la même manière que le ciel s'empourpre..." etc...).
Sinon, c'est vraiment agréable à lire en plus d'être sympathique à jouer.
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Les éditions Walrus recherchent des livres dont vous êtes le héros |
Posté par : Le Morse - 14/02/2012, 14:21 - Forum : Les livres dont VOUS êtes le héros
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Bonjour à tous!
C'est avec joie que je découvre ce forum et ses habitants: je me suis donc permis de m'inscrire afin de me présenter et de faire une annonce.
Les éditions Walrus sont des éditions numériques, c'est à dire que nous publions des livres au format epub, exclusivement sur des supports tels que les iTrucs, les tablettes, les readers, etc. Nous sommes des spécialistes du livre numérique dit "enrichi", c'est à dire multimédia ou avec une expérience de lecture augmentée. Mais vous aurez un très bon aperçu de nos productions sur notre site www.walrus-books.com
Tout cela pour dire que nous sommes entrés dans une phase de recherche active de projets de livres dont vous êtes le héros. Nous comptons bien redonner ses lettres de noblesse à un genre depuis trop longtemps délaissé des éditeurs et des libraires. Mais pour cela, nous avons besoin de vous, amis auteurs! Je vous informe donc que les soumissions sont ouvertes. Vous pouvez me contacter via ce forum, ou sur mon adresse perso.
Notre premier ebook dont vous êtes le héros sortira d'ici quelques jours. Vous le retrouverez sur notre site, bien sûr, mais surtout chez tous les bons libraires en ligne. Il a été spécialement écrit pour le support tablette.
Très bons jeux à tous, et à bientôt j'espère!
Julien
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[La Loi du Sabre] Le Monastère Oublié |
Posté par : ashimbabbar - 12/02/2012, 19:34 - Forum : Critiques
- Réponses (6)
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Ce second tome de La Loi du Sabre a les mêmes qualités que le premier.
Yasaka tout d’abord, qui est indiscutablement la meilleure rendition d’un samouraï dans un LDVH. Plus encore; le livre dit « Vous êtes Yasaka » et véritablement il nous fait vraiment voir les choses comme lui, de son point de vue ( son détachement envers les cadavres mutilés qu’il sème sur son chemin est très proche du guro japonais ).
Les aventures de Yasaka-san, et le style dont elles sont écrites, sont l’autre atout sérieux de ce LDVH .Qui pourrait oublier tout l’épisode de la rencontre avec le crocodile géant des marais de Lei Hia, les combats avec les Trois Dévorants… la quête du mage Pei Zhong… le lion d'eau…
Surtout, on constate un net progrès par rapport au premier où les péripéties s’enchaînaient sans autre raison réelle que de remplir le livre. On comprend ici que sa mission demande avant tout qu’il se purifie lui-même et une bonne partie de ces aventures en sont des étapes, qui révèlent d’ailleurs une connaissance sérieuse du taoïsme.
Comme tous les Headline, c'est un anti-OTP. Je compte cela comme un atout.
Au niveau des défauts, ce sont eux aussi les mêmes que dans le premier tome.
- le grand n’importe quoi historique, tout d’abord
Vous vous souvenez sans doute de la présentation de l’armée chinoise comme d’une masse d’incompétents bénéficiant d’une haute technologie et du petit discours, “Samouraï, loin d’être le combattant du passé, tu es le guerrier de l’avenir…” Très bien, c’est complètement faux. La seule supériorité technique chinois ( et des coréens, sur terre ) était l’artillerie, mais celle-ci était trop peu mobile pour servir à autre chose qu’aux opérations de siège.
Autrement, si Yasaka avait VRAIMENT combattu en Corée, il aurait pu voir le tir réglé des mousquets des samouraïs faucher les vagues de cavaliers-archers coréens et chinois…
C’était une autre histoire sur mer où les vaisseaux coréens équipés de canons et, pour certains, cuirassés, ont régulièrement anéanti les flottes japonaises.
Il est dommage que le livre nous resserve l'opposition moisie entre les méchants eunuques qui pervertissent les volontés de l'Empereur et les vertueux ministres.
Il nous prive aussi d’une occasion en or de faire rencontrer à Yasaka un des jésuites qui gagnaient de l’influence à la cour impériale. Il est vrai que cela pourrait le faire vaciller dans ses certitudes, et qu’alors il s’effondrerait; prisonnier de sa mission, d’un code arbitraire et d’une vision idéalisée du passé, il est dépourvu de la largeur et de l’indépendance d’esprit du Prêtre Jean.
- le système de combat foutraque; là c’est comme précédemment mais en pire.
Les combats non seulement déséquilibrés dès le départ vu le système ridicule qui les gère mais encore ABOMINABLEMENT faciles. Comme toujours dans la série, vous pouvez passer directement à la suite dès qu'il est question de la technique ichi: sur une capacité moyenne sabre long+ sabre court de 14/14, l’adversaire le plus puissant, le Démon des Hauts-Fonds, a 1 chance sur 36 de nous infliger 1 point de dommages et 1/12 de n’être pas blessé. Une petite pensée pour lui.
Mais même quand combats se livrent avec d’autres armes il n’y a guère que le Cadavre sanglant ( obligatoire 7/7/11 ) et le Dragon du Fleuve Jaune ( non obligatoire 8/8/1 chance sur 3 de le tuer ) qui présentent un quelconque challenge.
La scène qui résume le mieux ce LDVH est le duel HALLUCINANT contre le guerrier de marbre qui devient chair au même rythme que nous nous pétrifions. Cette scène aurait fait la réputation de n’importe quel auteur d’Heroic Fantasy ( j’ai encore mordu les pieds de mon lit dans un paroxysme de rage jalouse en la relisant… hum, bref). Mais aussi n’importe quel auteur de LDVH aurait trouvé une façon de simuler cela. Eh bien là non, il le dit juste pour faire joli; c’est juste un adversaire qui avec 8/8 en attaque et défense contre nos deux sabres ne va pas faire long feu, shlak shlak shlak et c’est fini.
On est confondu de voir autant de talent aussi complètement gâché.
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