Là, là je sens que je vous intéresse… c'est le genre de titre accrocheur quoi… comme une robe bien coupée, il révèle des choses intéressantes et donne envie d'aller plus loin…
Le talent… que voulez-vous…

Bon. Le point de départ, c'est que dans les Mystères de Babylone le Prêtre Jean se gagne 1 point de Force tranquillement, juste en bossant une semaine avec les guerriers babyloniens ( bon, seulement s'il avait moins de 17, faut pas délirer non plus ).
Moi, je veux bien; mais si on admet ça, qui est-ce qui va avaler qu'il a exterminé les adversaires les plus dangereux et les plus improbables dans les précédents volumes sans s'améliorer en rien ?

Il me semble donc logique d'installer un système d'expérience.
En fait il s'agit strictement d'un système d'augmentation des points de Force à la suite des combats, hein; pour le reste la progression dans la quête est sa propre récompense.

Voilà ce que j'ai concocté.
Pour l'essentiel,
• chaque combat auquel on a survécu nous donne droit à un nombre de points d'expérience fonction de la Force du ou des adversaires affrontés. À la base, on le détermine en mettant cette Force au carré* et en divisant par 10, en arrondissant au plus proche.
Ainsi, combattre 3 adversaires de Force 7 rapporte 3 x (4,9 = 5 ): 15 points d'expérience. Un de Force 13 rapporte ( 16,9 ) 17 points.
Il s'agit uniquement des combats où le Prêtre Jean court un réel danger. Ainsi, vaincre le Djinn ou le Démon du Styx dans La Forteresse d'Alamuth compterait puisque perdre l'unique assaut du combat nous élimine. En revanche, les duels d'exercice contre les guerriers de Babylone ne compteraient pas. Je suis partagé sur les combats dans la peinture murale des Mines du Roi Salomon…

• une fois qu'on a des xp, qu'en fait-on ? On regarde son score de Force; on ajoute 1 et on multiplie le tout par 50. Ce total représente la quantité de xp qu'on doit accumuler pour gagner 1 point de Force. Ainsi, si on commence avec une Force de 13, il faudra 700xp pour la monter à 14.
Une fois le total désiré atteint, on élimine les points qui ont été nécessaires pour accroître notre Force, on garde les surnuméraires et on recommence.
En fait c'est plus un gimmick qu'autre chose parce que ( je n'ai pas calculé mais bon ) il faudrait vraiment partir de bas pour monter deux fois dans les 5 premiers volumes, même en génocidant avec enthousiasme. Mais je trouve que ça ajoute quelque chose au jeu.

Bon, tous les combats n'étant pas simples il peut y avoir des difficultés pour calculer…
• pour le coup "ajoutez la Force des deux ennemis et traitez-les comme un seul adversaire" et apparentés: on additionnera la Force et les traitera comme un seul adversaire pour le calcul aussi.
• quand on a un malus à sa Force en raison des circonstances d'un combat, il faut ajouter ce malus à la Force de l'adversaire pour le calcul. Par exemple, Alshaya le Noir, le vil félon que nous affrontons chez Nana-Dirat, a une Force de 12 mais les modalités du duel nous forcent à déduire 3 points de Force: on comptera donc sa Force comme 15. Si on se retrouve à affronter la pieuvre géante de la Forteresse avec notre Force divisée par 2 et que nous nous en tirons ( quel homme ! ), il faudra rajouter les points que nous avions perdus à son score de 16… on l'aura bien mérité.

• Il faut aussi tenir compte des capacités particulières des monstres, tels que bonus aux dommages, poison, dommages divisés par 2
- +1 aux dommages : 1 point de bonus
- Poison et autres cas de mort subite : 6 points de bonus si c’est automatique ( l'araignée de la Forteresse ), 3 pour 1 chance sur 2, 2 pour une chance sur 3 ( le scorpion de L'Œil du Sphinx )
- Protection : pour une Force de 10 ou moins, 1 point de bonus ; pour une Force de 11 ou plus, multiplier Force moins 10 par les points de Vie et diviser par 10 ( donc 3 de bonus pour la goule de L'Œil du Sphinx )

• Enfin, c'est là le plus acrobatique mais après y avoir réfléchi je pense qu'on ne peut pas le laisser: il faut aussi tenir compte de la supériorité en points de Force de l’adversaire. On multipliera donc l’écart en points de Force par les points de Vie qu’il a au-dessus de 10, on divise le tout par 10, et voilà le bonus.
Un bel exemple valant proverbialement mieux qu'un long discours, je m'explique
: soit le Thalos dans La Forteresse d'Alamuth. Chacun sait qu'avec 18 en Force, 22 en Vie et +1 aux Dommages c'est à ce jour le monstre le plus balaise de la série ( je ne dis pas que je vais trouver mieux à mettre dans les deux derniers tomes, notez bien… je ne le dis pas… ). Dans mon idée initiale, il valait 18+1: 19 x 19 ÷ 10: 36 points d'expérience. C'est net et carré ( notez qu'à ce compte c'est ce que l'araignée géante vaut aussi… 12 + 6 pour la mort assurée sauf contrepoison + 1 de Dommages supplémentaires ).
Mais si on suit ma nouvelle idée, il ne vaudra 36 points que pour les aventuriers avec 18 de Force ou plus ( avec l'armure magique obligeamment mise à notre portée, ça n'est tout de même pas insurmontable… ). Pour une Force de 17, il vaudra 22-10 ÷ 10: 1 point de Force de plus soit 20: 40 XP
Pour une Force de 16, Force équivalente 21: 44 XP
15: Force équivalent 23: 53 XP
14: 58 XP
13: 63 XP
12: 68 XP
11: 73 XP
10: 84 XP
9: 90 XP
et 8: 96 XP. Ça, c'est le type qui y va en ne comptant que sur le Jugement de Dieu… et sur la clef qui en triple les chances quand même. En tout cas, s'il y arrive il les a bien mérités ses XP.
( pour information, l'araignée plafonne à 36 XP… SAUF contre un adversaire de Force 8 ou 9, à qui elle rapporte alors 40 XP. Petit veinard. )

En fait, quand j’aurai 5mn, je compte calculer les XP pour les 4 premiers ( et pour les Adorateurs, qui me furent volés, quand je remettrai la main dessus d’une façon ou d’une autre )


* J'ai sérieusement envisagé de le mettre au cube et de diviser par 100… mais étant donné la règle du Jugement de Dieu où chaque assaut peut être fatal, aucun combat n'est gagné d'avance. Donc même les adversaires les plus nuls, ayant une chance de nous tuer, doivent rapporter quelque chose; et inversement.

Bonjour,

Apres un passage sur l'autre forum, je reviens vers vous un court instant.

Depuis quelques temps déjà j'ai lancé une histoire, si on peut dire, basée sur le système des livres dont vous êtes le héros.
Je propose une illustration, un texte permet d'exposer la situation puis le lecteur peut voter parmi un choix de possibilité.
la proposition la plus sollicité est retenue pour devenir l'illustration suivante.

un challenge que je ne sais pas trop encore comment je vais tenir à la longue.

ça se passe ici (descendre jusqu'au premier poste pour avoir le debut:
http://forsakenville.free.fr/index.php/c...os/page/2/

et la catégorie se trouve ici
http://forsakenville.free.fr/index.php/c...-le-heros/


éventuellement si ça peut vous intéresser. Je suis ouvert à vos critiques

à bon entendeur.

Sujet de discussion pour la nouvelle aventure de Ronron, que je viens d'ajouter sur Xhoromag (certains le savent déjà, il y avait des téléchargements en cours pendant que je faisais encore les mises à jour)… ^_^

Mettez votre casque de pilote spatial et affrontez Le Fléau du Cosmos.

Je poste un sujet qui m'intrigue.
Que préférez-vous lire dans une avh quant au style et au ton employés ? Je m'explique :
Est-ce qu'en tant que lecteur et du coup "acteur", vous arrivez à vous identifier plus facilement lorsque le ton familier est employé (j'ai bien écrit familier, pas forcément grossier )ou bien lorsque le héros ou les protagonistes de l'avh emploient un langage très "littéraire" ? En clair, préférez-vous lire :
"Hâlte là étranger, que viens-tu faire dans notre village ?"
"Arrête toi (étranger), qu'est ce que tu fais ici, dans notre village ?"
ou encore " Arrête toi là, tu viens faire quoi dans notre village ?"

De même il me semble que le langage et le ton employés dans les films sont un peu "plats" sur papier :
Verriez vous John mac Clane, par exemple, dire :
" Stop ne bougez-plus ! Levez les mains ou je vais devoir utiliser la force !"
ou le verriez-vous plutôt dire :
" Bouge plus ! Lève tes mains bien haut ou j'te flingue !"

Je me pose cette question depuis un bon moment et il est vrai que certains dialogues dans les films paraissent non pas "récités" mais au moins "pas naturels"... Sur papier, c'est encore plus flagrant, à mon sens.
Il est vrai que le contexte de l'avh influe aussi sur la façon d'écrire les dialogues, pas du tout le même style employé si l'on écrit une avh se déroulant au moyen-âge ou si l'on écrit une avh cyber punk...
De plus peut-on à votre idée utiliser un langage soutenu pour les descriptions, histoire de mettre du "beau" dans nos images, et utiliser sans transition du courant ou familier dans les dialogues ?
Qu'en pensez-vous ?

Une petite stupidité que j'ai sécrétée il y a deux jours, en 30 minutes :