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AVH : relations amoureuses |
Posté par : Voyageur Solitaire - 16/11/2022, 16:35 - Forum : L'Atelier
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J'ouvre ce sujet sur les meilleurs moyens de rendre/imposer une relation amoureuse ou sentimentale dans une AVH.
Une relation sexuelle, c'est assez facile, surtout si on laisse le choix au lecteur : si la description du ou de la PNJ partenaire lui plaît, il l'acceptera et si ça ne lui plaît pas, il la refusera.
Mais pour une relation amicale, sentimentale ou amoureuse, comment procéder ? Comment amener le lecteur à éprouver une véritable empathie pour un PNJ, à s'attacher à lui ? Dans son feedback des Tambours de Shamanka, Lowbac, de la Taverne, me dit qu'il a beaucoup apprécié Olmec, qu'il l'a trouvé attachant malgré ses défauts et qu'il aurait aimé pouvoir le sauver à la fin. Par contre, Danaé lui est passée complètement à côté alors que j'ai tenté de faire comprendre que le héros avait un faible pour elle...
Donc voilà : par quels moyens un auteur peut provoquer l'attachement du lecteur pour un PNJ et que ça paraisse crédible ? Sachant de surcroît que chaque lecteur est différent, avec une sensibilité différente. Je dirais que ça se joue sur le long terme, avec de fréquentes interactions, de nombreuses descriptions, des dialogues solides... Mais c'est long.
Je pose la question parce que je pense sincèrement qu'une relation de ce genre, bien amenée et bien construite, peut être un vrai plus dans une AVH.
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Les neuf dernières heures de la nuit (Outremer) |
Posté par : Caïthness - 13/11/2022, 06:25 - Forum : Les AVH (Aventures dont vous êtes le héros)
- Réponses (31)
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(12/11/2022, 21:48)Outremer a écrit : http://litteraction.fr/livre-jeu/les-neu...de-la-nuit
- C'est fortement expérimental. Vous me direz ce que vous en pensez.
Alors, ça va spoiler grave et ça parle mal (désolé d'avance).
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Spoiler
Fortement Expérimental ? Moi, j'appelle ça une Brennan.
Recette : écrivez une histoire sympatoche, saucissonnez-là en section et faites des PFA à chaque fois qu'on s'écarte de la trame. C'est l'OTP du pauvre, quoi.
D'un point de vue interactif, ce Labyrinthe 2 échoue lamentablement, là où l'original m'avait enthousiasmé à un point rarement égalé sur une oeuvre interactive. Ici, foin d'émerveillement, le réveil sera dur, très dur.
Alors oui, c'est très bien écrit, certaines fulgurances donnent envie de continuer malgré le vide intersidéral des non-choix :
- Explorer le Hangar x3 obligatoire, la 4° tue
- Revenir sur ses pas x2 tue, la 3° nécessaire à continuer (mis en balance dans la même section que le 4° précédent).
On notera aussi le sadisme de l'auteur à donner au numéro de section flaque PFA et non-PFA des numéros similaires (154/145). Si ça fait partie de l'expérience, c'est vraiment infernal (avec les tonnes de boucle, le joueur assimile un peu les numéros à force). Donc non content de nous fourvoyer avec des choix vides, il optimise la perdition dans métagame lui même (et vu les 8 / 108, j'affirme que le choix est délibéré).
15 sections à parcourir, pour une trentaine au total, sont nécessaires afin de punir le joueur, oui, punir, pour accéder à la première scène mémorable, une fleur géante ; alors que dans Labyrinthe 1, c'était la folie à chaque section d'entrée de jeu. Grosse perte de rythme, Mr Outremer. Oui, il y a 15 sections "poubelle" à recyclage de lecture. Il ne se passe rien ; on ne vit pas l'aventure, on la subit.
J'ai calé sur la partie de MarioBros qui suit la grimpette sur la fleur -- le premier moment où l'héroïne prend une initiative avec une énergie jamais déployée auparavant. On se demande bien pourquoi, à part pour faire avancer (enfin) le scénario ?
Bref, moi ce qui m'a dégoûté de continuer, c'est ce double-triple choix obligatoire complètement pété (taux de réussite 11%) sur les plates-formes. Allons-y gaiement.
§81
(...)Les objets entassés sur la plate-forme baignée de soleil se révèlent être plusieurs dizaines de tiges de métal. Elles varient en dimensions, mais même celles qui dépassent votre propre taille ne semblent guère plus épaisses que votre pouce. Leurs extrémités sont pourvues de crochet ou percées de trous, sans doute pour leur permettre de s’emboîter. Levant les yeux, vous remarquez une autre plate-forme quelques mètres au-dessus de votre tête. Créer une sorte d’échafaudage vous permettrait peut-être de l’atteindre.
Si vous examinez les tiges pour déterminer la meilleure façon de les assembler, allez au 94. Si vous vous mettez à l’ouvrage sans attendre, allez au 114. Si vous réfléchissez à une manière différente d’atteindre cette deuxième plate-forme, allez au 124.
Donc ici, notre héroïne joue au Légo. Le truc c'est que 2 de ces choix sont mortels (comprendre, ils vont vous renvoyer au §1). Et juste après elle se trouve confrontée à une situation si périlleuse que j'en ai encore les fesses qui font bravo au moment où j'aigris (pardon, j'écris) ces lignes. Ici aussi, l'auteur, dans sa franche bonté, nous renverra à la case départ dans la majorité des cas (2/3 pour les ceusses qui n'auraient pas suivi).
§48
Cette seconde plate-forme se révèle moitié moins grande que la précédente et tout à fait vide. Le seul moyen de la quitter est une étroite passerelle flanquée de deux rambardes, qui s’élance au-dessus du vide pour traverser l’entrepôt en diagonale. Mais lorsque vous regardez de ce côté, le soleil aveuglant vous tombe en plein visage.
Il faut pourtant traverser. Si vous vous protégez les yeux avec la main, allez au 68. Si vous plissez les yeux pour atténuer votre éblouissement, allez au 87. Si vous fermez les yeux et vous tenez fermement aux rambardes, allez au 143.
Alors moi, concernant ces 2 sections dignes des DF les plus moisis, mes questions sont les suivantes :
1) En quoi ces choix sont-ils marquants, ne serait-ce que pour l'intrigue, voire le développement du personnage. Qu'est-ce qui, diégétiquement parlant, fait que l'héroïne pourrait choisir tel ou tel comportement à ce moment ?
2) Qu'est-ce qui, extradiégétiquement parlant, justifie que l'on nous donne ces choix, sachant que 2 sections plutôt, elle a grimpé une fleur géante sans nous demander notre avis ?
3) A quel moment, en tant que lecteur, ce choix me passionne ? Quel est le risque/enjeu véritable (depuis le temps que je recommence l'aventure parce que j'ai voulu lire une BD ou me reposer près d'un rayon de soleil) ?
4) Et quand on connait les résultantes (après les avoir lues, pardon, subies), en quoi j'ai envie de me dire que ces choix sont vraiment interactif, dans le sens où le choix que je vais faire va agir sur l'aventure ? En fait, on peut aisément intervertir avec très peu de changements textuels 2 sections sans modifier l'intitulé du choix non-mortel. Au vu de ce que l'auteur nous a habitué par le passé, je comprends pas comment on en arrive à un tel accident industriel.
En fait de palpitant, c'est surtout celui que j'ai avant de cliquer sur un des 3 choix en espérant que c'est celui que l'auteur à choisi pour faire continuer l'aventure. C'est tout le drame : ce n'est pas l'héroine qui choisit selon la situation, c'est le lecteur qui cherche à deviner quel choix lui autorisera à continuer sa lecture. Tu parles d'une expérience !
Le lecteur n'est pas moteur de l'aventure, il n'y participe pas, il ne la lit même pas, il l'a subit.
L'histoire à l'air cool, mais après Labyrinthe, qui même si la 3° partie était ratée, offrait un onirisme vraiment rafraichissant et une certaine rejouabilité (différents chemin). Ici, c'est le lecteur qui doit deviner/espérer quel choix ne va pas le renvoyer dans ses coussins moelleux.
Désolé et déçu. J'aurais tellement voulu voir un OVNI interactif, mais ce n'est qu'un OTP de plus, aux choix vides. Dommage car l'histoire est bien racontée. Si je pouvais avoir la version "nouvelle" sans les renvois et le numéro de section, je suis sûr que je passerai un excellent moment à lire ton histoire. Mais me la farcir en recommençant du début à chaque nouvelle page parce que je ne veux pas jouer aux devinettes avec toi, ce sera sans moi.
Je ne doute pas une seconde que certains se feront le kif de leur vie ; surtout si leur seuil de tolérance aux rebouclages injustifiés tend vers l'infini parce qu'il est scalé sur la qualité littéraire pure de ton oeuvre.
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équipes de relais |
Posté par : ashimbabbar - 07/11/2022, 23:46 - Forum : L'Atelier
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Il y a des LDVH et des AH où l'on joue une équipe, mais où le seul résultat est,soit tout le monde s'en tire, soit tout le monde meurt. Idée peu stimulante à mon avis.
Dans l'Épée de Légende / Blood Sword, si vous jouez avec l'équipe complète et que, mettons, le Chevalier et le Magicien se font massacrer, vous retrouvez un Chevalier et un Magicien tout neufs au début du volume suivant. Je dis "tout neufs" parce que le Voleur et le Clerc se sont mangés à eux seuls les points d'expérience du volume, alors les deux remplaçants seront nettement plus novices.
C'est déjà mieux, mais on pourrait faire mieux encore.
Dans le très médiocre module pour GURPS Heroic Fantasy Orcslayer, il y a un intéressant gimmick.
Au départ les joueurs incarnent des chevaliers qui traquent des pillards orcs. Soit.
À l'issue de la première partie, ils atteignent une forêt elfique, et si un ou plusieurs personnages ont été tués, leurs joueurs peuvent revenir dans le jeu en tirant des personnages elfes !
À l'issue de la deuxième partie, ils atteignent un marais peuplé d'hommes-lézards… et… oui, là aussi !
À l'issue de la troisième partie, ils atteignent le territoire des orcs; et comme le Grand Méchant de l'affaire a unifié les orcs par la contrainte et leur fait faire ses quatre volontés, les joueurs dont les personnages ont péri peuvent incarner des orcs renégats !
On pourrait donc concevoir une AVH où l'on joue une équipe avec ce genre de structure
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Projet d'édition : le recueil mini Yaz 2022 |
Posté par : Astre*Solitaire - 05/11/2022, 14:42 - Forum : Concours Yaztromo et Mini-Yaz
- Réponses (14)
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J'en avais suggéré l'idée il y a quelques mois, celle d'un recueil des œuvres en compétition pour le mini Yaz 2022 afin de le proposer en version papier.
Les obstacles sont nombreux et il n'est pas certain que l'on puisse parvenir à un résultat final. Néanmoins, par rapport aux différents chantiers sur la littérature interactive que j'avais pu soumettre ici ou là ou avec lesquels j'étais d'accord (décerner un prix spécial, mettre au point une structure avec 5 personnes...), celui-ci à le mérite d'avoir un début et une fin et de nécessiter un travail à plusieurs (je ne pense pas que l'on puisse mener de tels projets tout seul ; ce sera donc l'occasion de tester le travail collectif).
Avant toute chose, il est nécessaire de fixer un cadre, tant d'organisation que juridique.
1/ L'organisation
• Il est indispensable qu'un groupe de personne se constitue pour diriger le projet de livre imprimé. Je pense que le minimum est de trois, mais qu'après, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Ce sera ce groupe qui prendra les décisions, au compromis. Je suis bien évidemment prêt à en faire partie.
• Nous devons ensuite nous mettre d'accord sur les œuvres qui seront accueillies dans cette compilation. L'idée la plus simple est de dire, les trois nominées : Kintsugi, Texaco bang bang, Les Maraudeurs.
Mais La nuit des moissonneurs est à trois points de la troisième place. Elle fait clairement partie du groupe de tête. Alors pourquoi pas 4 ?
Et l'on pourrait plébisciter une œuvre particulière, genre coup de cœur (moi, par exemple, j'aurai aimé avoir Sous l'œil de la mère). Je pense que c'est le nombre à ne pas dépasser, entre 3 et 5.
Franchement, comme ce serait une première, il me semble que l'humilité est de rigueur et que se limiter à trois œuvres serait à la fois raisonnable et réaliste.
• Nous devons ensuite demander aux auteurs et autrices leur accord. Comme ce sujet empiète sur le droit, j'y reviendrai en seconde partie. Un auteur étant évidemment libre de refuser, il nous faut prévoir quoi faire en ces circonstances (on annule tout, on en sélectionne une autre, on n'en édite que deux, ou un).
• On en arrive à l'étape de la version à sélectionner. Toujours dans un soucis de réalisme, parce que nous débutons, je pense qu'il faut reprendre les textes dans leur dernière version proposée sur Littéraction. Mais par la suite, on pourrait donner la possibilité aux auteurs d'amender leur texte, s'ils le désiraient, avec une date butoir.
• Une fois le texte en main (il faudra s'accorder sur leur format et la manière de corriger/vérifier tout cela), il faudrait peut-être, dans l'idéal, trois relecteurs. Un pour les erreurs d'orthographe et de syntaxe, un pour l'orthotypographie et un dernier pour la cohérence interne (renvois, énigmes, tout ça). Avec là encore des dates limites. On peut évidemment n'avoir qu'un béta-lecteur par œuvre.
• Puis il nous faut choisir la plate-forme d'édition. Je n'en connais que deux, Lulu et TheBookEdition. J'atteins ici ma limite, n'ayant jamais autoédité quoi que ce soit. Mais je sais que ces sites demandent un formatage particulier des textes à des fins d'édition. Il faudra donc d'abord sélectionner la plate-forme puis préparer le fichier PDF.
• Enfin, il faudra réfléchir à la forme du livre (format, papier, etc.).
Et à partir de là, on entre dans la section droit.
2/ Organisation juridique
• Chaque auteur de chaque œuvre doit donner son accord (il faudra débattre de la forme) pour que son œuvre soit autoéditée. Comme il peut arriver que 1/ passé un certain temps, un auteur souhaite retirer ses écrits du net, et 2/ des maisons d'éditions souhaitent publier de manière professionnelle un texte amateur, le livre édité devra avoir une disponibilité limitée dans le temps. Je suggère la veille de l'annonce des résultats du mini Yaz suivant (ici, ceux de 2023).
• Il faudra vérifier que le livre ne comporte aucune image, aucune police d'écriture, aucune mise en page, non réellement libre de droit. À moins qu'un talentueux dessinateur parmi les membres ne se propose pour réaliser une couverture, je suis favorable à un titre sobre, sans fioriture, un peu dans l'esprit de la collection blanche.
• Le livre doit être vendu à prix coûtant. Il ne rapportera donc de l'argent qu'à la plate-forme/l'imprimeur : pas aux auteurs, ni aux bénévoles ayant choisi de s'investir pour en assurer l'édition. Cette façon de faire permet aux membres de se procurer le livre en conservant leur anonymat, mais aussi de faire de la publicité et de promouvoir le genre (financièrement désintéressé).
De fait, il est probable que certains bénévoles perdent de l'argent, car si le livre est officiel (et il n'y a pas de raison qu'il ne le soit pas), il faudra sortir 25 euros pour un ISBN (et aussi le prix du livre et de ses fdp pour en envoyer un exemplaire à la BN). [Comme c'est moi qui propose, c'est moi qui raquerai.]
• Et c'est ici qu'est, de mon point de vue, le plus gros écueil. Qui édite ? Je vois trois possibilités, mais il y en a certainement d'autres et c'est dans tous les cas un domaine dans lesquels je vais devoir me plonger si nous franchissons le cap de la simple réflexion.
1/ C'est le collectif d'auteurs qui édite le livre (et je ne connais pas les dispositions légales des plates-formes vis-à-vis d'un livre à plusieurs mains) ;
2/ C'est un des bénévoles, à son nom (et c'est donc lui qui supportera la charge de la responsabilité) ;
3/ C'est le groupe de bénévoles de départ, ce qui sous-entend, une association (je ne m'étends pas sur les questions juridiques que soulève cette option, la plus importante étant que l'association ne doit pas gagner d'argent).
• Le/les responsables de l'édition du livre auront la charge de supprimer sa disponibilité à la date échue. Il faudrait aussi voir à éviter la spéculation (aucune idée de comment), genre un quidam qui commande 20 livres, pour qu'une fois le temps de disponibilité imparti, il le revendre trois ou quatre fois le prix. Je pense que le phénomène devrait être assez rare, mais sait-on jamais.
Voilà pour le cadre du projet. Je ne suis pas, volontairement, rentré dans les détails et j'ai sûrement oublié des choses. Il s'agit ici juste de poser la première pierre et de voir vos réactions, de tester, en gros, si l'idée vous séduit et si cela vous semble cohérent pour qu'ensemble, nous le réalisions.
Alors, qu'en pensez-vous ?
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Besoin de vos idées |
Posté par : Voyageur Solitaire - 05/11/2022, 09:12 - Forum : L'Atelier
- Réponses (22)
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Hello tout le monde,
Ce sujet est "temporaire", si la modération veut le supprimer une fois que j'aurais obtenu mes réponses, pas de problème.
J'aimerais avoir votre avis, vos idées, sur une question de vocabulaire.
Voilà : dans La Citadelle des Nuées, le lecteur dispose de deux compétences pour lesquelles je n'arrive pas à trouver un nom satisfaisant. Les voici en détails :
Maîtrise équestre
De votre père, qui était en charge des écuries de l'hippodrome de Vassili, vous avez tôt appris à vous familiariser avec les chevaux et ce qui les entoure. Cette compétence vous permettra également de conduire un char, un chariot ou tout autre attelage si le cas se présente et de pouvoir monter plus facilement toute créature pouvant l'être. Pour savoir si vous serez bon ou piètre cavalier, lancez un dé et ajoutez 6 au résultat. Vous avez là votre total de maîtrise équestre, qui ne pourra être dépassé au cours de votre aventure.
Méditation
Que serait le corps sans l'esprit qui l'anime ? C'est ce que vous enseignait votre mère, femme chamane et guérisseuse. Trop tôt partie, elle vous aura néanmoins appris certaines choses. Au cours de votre aventure, vous pourrez vous recueillir, vous ressourcer en plongeant en vous-même. Ce qui pourra apporter soin et guérison à votre corps, lui permettre de se remettre plus rapidement. Cette compétence vous sera donc utile pour récupérer des points de vie. Ne croyez pas pour autant que vous regagnerez systématiquement des points de vie après chaque combat. Vous aurez l'occasion de méditer à certains moments précis, qui vous seront alors spécifiés. Lancez un dé et ajoutez 6 au résultat. Vous avez là votre total de méditation, qui ne pourra être dépassé au cours de votre aventure.
Je ne suis donc pas satisfait de ces deux noms et n'arrive pas à trouver quelque chose de plus approprié.
Pour la première, j'avais pensé à "équitation" mais cela ne prend pas en compte le fait de pouvoir conduire un attelage je trouve. Or, il y aura un passage important avec une course de chars rituelle lors des fêtes du soleil (Ben Hur sur les hauts plateaux andins, ça vous tente ?).
Pour la deuxième, il s'agit en fait de contacter les esprits, de leur parler. "Méditation" me paraît trop soft et ça fait plus moine shaolin que chamane je trouve. Je souhaiterai un terme plus "chamanique", plus mystique.
Comme ce sont des compétences, l'idéal serait un nom féminin et court.
Qu'en pensez-vous ? J'accepte vos propositions avec intérêt et vous en remercie d'avance.
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