11/07/2010, 10:14
Bonjour,
J'ai découvert les livres dont vous êtes le héros au tout début des années 90 avec la galaxie tragique et le sorcier de la montagne de feu.
Vers 10 ans, je me suis enthousiasmé pour la cité de Kharé ("Vous les deux grands ventaux que nul ne peut abattre ..."), au point de placer dans ma chambre divers ingrédients de Sorcelleries! sur une étagère, rangés dans des coquilles de Kinder Surprise.
À 11 ans, j'ai découvert l'homme aux cents visages et ai adoré ce concept d'alchimie et de métamorphose, retournant régulièrement à la librairie voir si le tome 2 est sorti. Je fus très déçu de l'arrêt de la série.
Mis à part cela, je n'ai jamais été doué pour les labyrinthes, n'ayant jamais fini ni la galaxie tragique (je l'ai d'ailleurs repris il y a peu, en traçant une carte cette fois) ni le sorcier de la montagne de feu (je comprends pourquoi maintenant que je regarde le plan sur le net), ni je ne sais plus quel livre demandant d'aller rechercher une lance magique au travers de la chanson de Roland.
J'ai découvert les livres dont vous êtes le héros au tout début des années 90 avec la galaxie tragique et le sorcier de la montagne de feu.
Vers 10 ans, je me suis enthousiasmé pour la cité de Kharé ("Vous les deux grands ventaux que nul ne peut abattre ..."), au point de placer dans ma chambre divers ingrédients de Sorcelleries! sur une étagère, rangés dans des coquilles de Kinder Surprise.
À 11 ans, j'ai découvert l'homme aux cents visages et ai adoré ce concept d'alchimie et de métamorphose, retournant régulièrement à la librairie voir si le tome 2 est sorti. Je fus très déçu de l'arrêt de la série.
Mis à part cela, je n'ai jamais été doué pour les labyrinthes, n'ayant jamais fini ni la galaxie tragique (je l'ai d'ailleurs repris il y a peu, en traçant une carte cette fois) ni le sorcier de la montagne de feu (je comprends pourquoi maintenant que je regarde le plan sur le net), ni je ne sais plus quel livre demandant d'aller rechercher une lance magique au travers de la chanson de Roland.
La connaissance s'accroît quand on la partage.