Soirée Enquête "L'Ivresse des profondeurs" (salle de jeu)
La porte du salon s’ouvre, et le docteur Carver et Edgar Saint-Gilles entrent dans la pièce. La mine du médecin est particulièrement sombre.

« Messieurs, l’heure est grave. Le corps du professeur Heuvelmans se décompose bel et bien à toute vitesse. D’un côté, les doutes que cette anomalie posait quant à son identité n’ont plus lieu d’être : le malheureux est très probablement mort à l’heure à laquelle il a effectué sa sortie en scaphandre. Mais de l’autre…

Le corps est envahi de parasites. Des boules de la taille d’une pièce d’un shilling, contenant toutes une vingtaine de larves. Je n’ai jamais rien vu de tel. Ce sont des vers, mais ils ne semblent pas être marins. Je ne m’explique pas leur provenance.

Il me semble urgent de fermer hermétiquement le bureau du professeur laboratoire pour éviter toute prolifération. Mister Bolander, Monsieur Saint-Gilles suggérait qu’avant cela, vous preniez des clichés du corps avec votre appareil photo. S’il continue de se dégrader à ce rythme, nous n’aurons même plus le loisir de lui offrir une sépulture décente… »

<hj>Correction : le corps est dans le laboratoire et non dans le bureau. Je n’arrête pas de confondre les deux, il faut que je fasse attention.</hj>
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« By Jove ! Sait-on si ces parasites auraient la capacité de se propager sur... des créatures vivantes ? »
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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« Je n’en suis pas sûr mais je ne veux prendre aucun risque. Blake, savez-vous si le laboratoire peut être fermé hermétiquement et à clef ? »
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Bolander répond d’abord au riche mécène : « Je faisais référence aux accusations portant sur la manipulation de la porte du bureau du professeur. Si certains se permettent de cambrioler notre hôte, ils n’hésiteront pas à fouiller chez ses invités. »

À l’arrivée du médecin et du médium, le journaliste met les mains devant sa bouche, une expression horrifiée déforme ses traits.
« Des parasites ? Oui, c’est une bonne idée, je compte aller prendre des photos. J’aurais d’ailleurs dû le faire plus tôt. Mais j'avoue ne pas être des plus à l'aise à la vue de cadavres, tout particulièrement ceux de mes proches. »
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« Je vous accompagne, si vous le souhaitez », répond Carver.
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Bolander soupire, avant de se ressaisir.
« Allons-y. »
Bolander se rend dans le laboratoire.
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« Je viens avec vous, Messieurs. Je verrouillerai la porte quand vous aurez terminé. À moins que Mister Stuart préfère s'en charger ? »
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi
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St-Gilles s'affale sur le canapé sans se départir d'une expression de sérieux qui ne lui est pas coutumière.
"Pauvre Willy ! Que maudite soit la personne ou la chose qui lui a fait ça. Nous avons envisagé un temps de détruire sa dépouille, avant d'y renoncer. Comment diable a pu survenir cette contamination par un organisme étranger ?

N'y a-t-il que des humains à bord ?"
Pris d'une inspiration, il s'adresse à Stuart
"M. Stuart, en me repassant notre arrivée dans ma tête, je me souviens avoir entendu Willy indiquer "Mes deux techniciens seront d'ailleurs là pendant tout le voyage pour s'assurer du bon fonctionnement des mécanismes de l'appareil". Le premier était évidemment M. Smith. Mais le second ? S'agissait-il bien de vous, en faisant abstraction de votre statut d'ingénieur ?"

Puis, en se tournant vers Kurten.
"M. Kurten, connaîtriez-vous un moyen d'examiner les scaphandres pour repérer d'éventuelles bestioles nichées à l'intérieur ?"
Naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse. Telle est la loi.
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"Mr. Stuart, quand pensez-vous pouvoir libérer un moment pour que nous puissions parler ?"
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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(hj) Dans le monde du jeu, il est à présent 20h50. Mercredi 16 avril à 19h00, heure du forum (GMT+2), il sera 21h00.
La prochaine distribution de points d'action aura lieu à 21h00 (in universam).
Essayez de m'envoyer votre "rapport" pour demain 19h00, je vous distribuerai vos points d'action quand j'aurai tout reçu. (/hj)
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi
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Plongé dans un état de trouble par les révélations du docteur, Stuart s'en extirpe pour répondre au médium :

"Il s'agissait certainement de moi, Monsieur Saint-Gilles. Lorsqu'il vous a accueilli, je présume que le professeur comptait reporter les explications détaillées à plus tard."

L'ingénieur se tourne ensuite vers le majordome.

"Faites, Blake. Monsieur Ripley semble ardemment vouloir me parler depuis quelques instants."

Stuart invite d'un geste Ripley à le suivre vers un coin du salon où ils pourront échanger quelques mots sans être entendus.
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(Hier, 15:23)AllezAu14 a écrit : Puis, en se tournant vers Kurten.
"M. Kurten, connaîtriez-vous un moyen d'examiner les scaphandres pour repérer d'éventuelles bestioles nichées à l'intérieur ?"

«Non, j'avoue que je suis complètement dépassé...

Des parasites dans le corps...»

Puis il regarda Stuart et Ripley qui s'éloignent pour discuter entre eux...

«Monsieur St Gilles, je n'aime pas ces messes basses dont on nous écarte...Vous, on vous soupçonne d'être le saboteur ou du moins comme une personne louche... Moi, on me tient éloigner des grandes discussions...
Surement qu'un grand nageur musculeux est fort peu intéressant pour ces gentlemen...
Mais moi, je vous crois innocent car certains ont pris trop vite des raccourcis, peut-être histoire de détourner l'attention sur une autre personne qu'eux et ça ne me plait pas..
Si ce monstre tourne autour du bathyscaphe, c'est bien plus important qu'un saboteur...
On devrait être tous souder pour sauver notre peau, ne croyez-vous pas...»
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(hj) message édité(/hj)
Je rentre dans le salon à la recherche de Stuart. Le voyant occupé, je ressors aussitôt.
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(Hj) Stuart est bien présent dans le salon, mais il est à l'écart, parlant avec Ripley.
Blake, lui par contre, est absent, tout comme Carver et Bolander. (/hj)
Mr. Shadow

Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi
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Ed St-Gilles tourne vers Kurten
"Merci de votre sollicitude, mon cher. Et vous avez raison, je n'ai rien à voir avec ce qu'il se passe et j'espère que tous ces apartés ne vont pas nous empêcher de travailler de concert. Du reste, vos capacités physiques nous seront d'un grand secours car si nous nous trouvions en perdition, nous nous en remettrions à vous. J'ai confiance dans l'aura que je ressens autour de vous

Je repense à ce que Willy avait dit sur vous, à propos du Lusitania. Avait-il raison ? Y avait-il déjà un monstre ? Comment avez-vous fait pour sauver tous ces gens ?

Et plus proche de nous, quand vous étiez dans votre cabine au moment de la secousse, n'avez-vous rien entendu ?"
Naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse. Telle est la loi.
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