Compte-rendu des soirées jeux de plateaux
Non, rien n'interdit au roi d'Arthur de trahir, lassé de l'incompétence notoire de ses chevaliers.

Partie étrangement facile pour une fois. Les pires cartes de la pioche ne sont pas tombées (pas de Guenièvre, une seule Morgane), les cartes utiles ont bien servies (ah, divination...), et les Brumes d'Avalon se sont révélées un atout plus qu'un problème.

Toutefois, la fin de partie a mis en exergue un défaut quand même assez pénible du jeu, qui veut que la mécanique prenne parfois le pas sur la logique : le meilleur chemin vers la victoire, ou du moins le plus sûr, est régulièrement de perdre des quêtes, et toujours d'en temporiser d'autres plutôt que des les accomplir avec diligence. Nous avons tous fini la partie à Camelot à briser des catapultes en attendant que le chevalier noir veuille bien gagner son tournoi contre lui-même.

Et bonne d'habitude, je déteste cette règle qui permet de communiquer un peu mais pas trop. Ainsi, quand un joueur a besoin d'un 3 pour continuer son affrontement contre les Pictes, il a le droit de quémander « de l'aide », ce qui est totalement explicite, mais la règle lui interdit formellement de prononcer le chiffre 3.

Sinon en vrac :
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RE: Boire un bon verre dans un café parisien enfumé... - par Skarn - 05/07/2014, 10:32



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