31/07/2025, 17:57
Une avh de SF spatiale, un soupçon satyrique. Une histoire courte, solide et au style direct. Ça fonctionne bien.
En tant que capitaine, tout se joue dans les relations avec nos subordonnés. Là-dessus, c’est la grande réussite de l’aventure. Le tempérament calme et posé de Sie Gentsai le rend intéressant à jouer, et même s’il est en position d’autorité, on comprend vite que les relations sont tendues avec presque tous les membres de l’expédition.
Le passage sur Mars, m’a paru un peu bizarre par contre. On part de la Terre, on se dirige vers le soleil pour bénéficier d’un effet de fronde, mais on se réveille avant d’avoir atteint le soleil, près de Mars ? Mais Mars n’est pas sur la route entre le soleil et la Terre ? Il y a un truc que j’ai pas compris ici ?
Le passage avec les évangélistes, je me suis senti obligé de traduire le dialogue en anglais, et imaginé le truc dit par le champion orange actuellement en poste, tant ça correspond parfaitement.
La suite, c’est beaucoup plus rigide. J’ai dû me coltiner tous les pfa possibles, un peu déçu dès le premier échec (partager l’info sur le véritable objectif du voyage), annonciateur des nombreux échecs à venir. Il m’a fallu entre cinq et dix tentatives pour en venir à bout. Finalement, cette contrainte, elle s’inscrit assez bien dans l’interprétation satyrique que je me suis faite de l’avh. En tant qu’officier au service d’un régime autoritaire, au sein d’une humanité prisonnière de ses progrès, sommes-nous réellement libres ? Et le vortex, son mystère, l’inconnu qu’il représente, seul espoir, seul motivation à persévérer, malgré l’évident couloir invisible de notre destin déjà tracé. La fin et son retournement de situation ne m’a pas tant surpris, mais sa radicalité a fait son petit effet.
En tant que capitaine, tout se joue dans les relations avec nos subordonnés. Là-dessus, c’est la grande réussite de l’aventure. Le tempérament calme et posé de Sie Gentsai le rend intéressant à jouer, et même s’il est en position d’autorité, on comprend vite que les relations sont tendues avec presque tous les membres de l’expédition.
Le passage sur Mars, m’a paru un peu bizarre par contre. On part de la Terre, on se dirige vers le soleil pour bénéficier d’un effet de fronde, mais on se réveille avant d’avoir atteint le soleil, près de Mars ? Mais Mars n’est pas sur la route entre le soleil et la Terre ? Il y a un truc que j’ai pas compris ici ?
Le passage avec les évangélistes, je me suis senti obligé de traduire le dialogue en anglais, et imaginé le truc dit par le champion orange actuellement en poste, tant ça correspond parfaitement.
La suite, c’est beaucoup plus rigide. J’ai dû me coltiner tous les pfa possibles, un peu déçu dès le premier échec (partager l’info sur le véritable objectif du voyage), annonciateur des nombreux échecs à venir. Il m’a fallu entre cinq et dix tentatives pour en venir à bout. Finalement, cette contrainte, elle s’inscrit assez bien dans l’interprétation satyrique que je me suis faite de l’avh. En tant qu’officier au service d’un régime autoritaire, au sein d’une humanité prisonnière de ses progrès, sommes-nous réellement libres ? Et le vortex, son mystère, l’inconnu qu’il représente, seul espoir, seul motivation à persévérer, malgré l’évident couloir invisible de notre destin déjà tracé. La fin et son retournement de situation ne m’a pas tant surpris, mais sa radicalité a fait son petit effet.