2° lecture finite
Tout d'abord mea culpa sur le style, car avec toutes les AVH enquillées dernièrement, la lecture a été plus facile. Donc j'aurais tendance à minorer les remarques stylistiques de mon premier post
. Bien que j'ai vu 2-3 phrases qui nécessiteraient quelques virgules, ça reste assez agréable à lire.
Ca reste une AVH en boucle qui fait le taf et bien menée. Quelques zones d'ombres qui peuvent être due à une volonté de l'autrice. Je n'arrive pas à me décider sur Rebecca pour qui la mécanique de code nous crie qu'il s'agirait de notre fille, mais avec les 107 ans de décalage, je vois pas comment elle aurait pu se retrouver là (à moins qu'on l'ai balancée dans le vortex, mais je vois pas comment).
J'aime beaucoup le concept de mot-code à garder dans les boucles avec la combo "trou de mémoire / souvenirs inconscient" qui permet au jouquineur de se vautrer dans le métagame intrinsèque à la mécanique des OTP. Par contre, le concept du doublé SUCRERIE/CHANCE mériterait une exploitation mécanique arborescente plus poussée (cela ne génère que 3 sections spécialisées et un mécanisme que je n'ai pas compris - voir spoiler ci-dessous), alors que sa justification ludo-narrative touche au génie (l'oeuf et la poule).
Au final, ça reste une super proposition avec un drame familial en sus. Propre !

Tout d'abord mea culpa sur le style, car avec toutes les AVH enquillées dernièrement, la lecture a été plus facile. Donc j'aurais tendance à minorer les remarques stylistiques de mon premier post

Ca reste une AVH en boucle qui fait le taf et bien menée. Quelques zones d'ombres qui peuvent être due à une volonté de l'autrice. Je n'arrive pas à me décider sur Rebecca pour qui la mécanique de code nous crie qu'il s'agirait de notre fille, mais avec les 107 ans de décalage, je vois pas comment elle aurait pu se retrouver là (à moins qu'on l'ai balancée dans le vortex, mais je vois pas comment).
J'aime beaucoup le concept de mot-code à garder dans les boucles avec la combo "trou de mémoire / souvenirs inconscient" qui permet au jouquineur de se vautrer dans le métagame intrinsèque à la mécanique des OTP. Par contre, le concept du doublé SUCRERIE/CHANCE mériterait une exploitation mécanique arborescente plus poussée (cela ne génère que 3 sections spécialisées et un mécanisme que je n'ai pas compris - voir spoiler ci-dessous), alors que sa justification ludo-narrative touche au génie (l'oeuf et la poule).
Au final, ça reste une super proposition avec un drame familial en sus. Propre !

сыграем !