04/04/2016, 09:40
Vous savez tous que Vic aime les jeux à thème fort, avec une ambiance marquée.
Donc, hier, nous avons joué chez lui à deux jeux à mécaniques fortes mais à thème plaqué et interchangeable. Parce que.
Tout d'abord nous avons ouvert sur Sankt Petersburg, un jeu où nous engageons des ouvriers, construisons des bâtiments et graissons la patte à des nobles, mais où nous pourrions tout aussi bien embrigader des sectateurs, réunir des reliques impies et invoquer des grands anciens, ou encore réunir les cristaux magiques, vaincre les méchants et sauver des animaux mignons (avec pouvoir de l'amour en guise de monnaie).
Vic a gagné par une stratégie que l'on nommera « tous les nobles du monde » pendant que j'essayais, contre ma nature, de jouer bâtiments (pas une super idée quand tu es dernier aux ouvriers ET aux améliorations au premier tour...) et que Lyzi, pourtant loin devant, eut un instant d'égarement fatal qui le fit dégringoler dans le classement (une histoire de sous mal comptés qui lui a laissé un juge sur le bras).
Ensuite vint le temps de Deus, un jeu où nous construisons des trucs sur un terrain. Moi, par exemple, je mettais des arcs de triomphe, académies et autres brasseries dans des terres arables, et j'ai pas fait pousser un radis de la partie, devant importer toute la bouffe à grands frais. Et j'ai gagné quand même. En vendant du bois.
Autant le plateau est encore relativement thématique (les bateaux vont sur l'eau, les forêts produisent du bois, les montagnes de la pierre...), autant les cartes, là encore, pourraient représenter n'importe quoi d'autre que ce serait le même jeu. Ce qui fait un peu regretter que le thème choisi ait été celui surreprésenté de la Rome antique (et encore, des Romains avec des éléphants de guerre), alors qu'il y a tant d'autres civilisations qui auraient pu convenir.
Donc, hier, nous avons joué chez lui à deux jeux à mécaniques fortes mais à thème plaqué et interchangeable. Parce que.
Tout d'abord nous avons ouvert sur Sankt Petersburg, un jeu où nous engageons des ouvriers, construisons des bâtiments et graissons la patte à des nobles, mais où nous pourrions tout aussi bien embrigader des sectateurs, réunir des reliques impies et invoquer des grands anciens, ou encore réunir les cristaux magiques, vaincre les méchants et sauver des animaux mignons (avec pouvoir de l'amour en guise de monnaie).
Vic a gagné par une stratégie que l'on nommera « tous les nobles du monde » pendant que j'essayais, contre ma nature, de jouer bâtiments (pas une super idée quand tu es dernier aux ouvriers ET aux améliorations au premier tour...) et que Lyzi, pourtant loin devant, eut un instant d'égarement fatal qui le fit dégringoler dans le classement (une histoire de sous mal comptés qui lui a laissé un juge sur le bras).
Ensuite vint le temps de Deus, un jeu où nous construisons des trucs sur un terrain. Moi, par exemple, je mettais des arcs de triomphe, académies et autres brasseries dans des terres arables, et j'ai pas fait pousser un radis de la partie, devant importer toute la bouffe à grands frais. Et j'ai gagné quand même. En vendant du bois.
Autant le plateau est encore relativement thématique (les bateaux vont sur l'eau, les forêts produisent du bois, les montagnes de la pierre...), autant les cartes, là encore, pourraient représenter n'importe quoi d'autre que ce serait le même jeu. Ce qui fait un peu regretter que le thème choisi ait été celui surreprésenté de la Rome antique (et encore, des Romains avec des éléphants de guerre), alors qu'il y a tant d'autres civilisations qui auraient pu convenir.