Nous étions cinq joueurs, cet après-midi. Une partie du Trône de fer pour commencer : j’avais les Greyjoy, Skarn les Lannister, Outremer les Tyrell, Lyzi les Baratheon et Tholdur les Stark. J’ai gagné la partie au huitième tour, grâce à une étourderie d’Outremer, qui a laissé Hautjardin sans défenses alors que mes bâteaux mouillaient au large du Bief et permettaient à mes troupes nordiques de débarquer. Comme j’étais le premier joueur au tour suivant, que j’avais six forteresses et que Villevieille était elle aussi sans défenses, on a arrêté la partie à ce moment-là.
Je ne suis pas toujours très inspiré à ce jeu, mais cette fois j’ai joué plutôt correctement. J’ai ainsi vite obtenu le contrôle des mers occidentales, faisant planer une menace permanente sur les Stark et les Lannister et sécurisant ma capitale. Skarn a toutefois commis une erreur qui m’a facilité la tâche : j’avais prévu d’utiliser une de mes deux flottes pour bloquer toute retraite à la sienne tandis que ma seconde l’attaquait, puis de déplacer la première vers les côtes du Nord une fois la puissance maritime des Lannister annihilée. Cependant, Skarn jouait avant moi et aurait pu prendre l’initiative d’attaquer, ce qui lui aurait permis de sauver sa flotte s’il avait remporté le combat naval.
La suite fut une longue série de batailles acharnées. Contre les Lannister, d’abord, chaque camp prenant puis reprenant des territoires à l’autre. Castral Roc est ainsi tombée deux fois entre mes mains, la deuxième fois définitivement car Skarn s’est retrouvé débordé par les menaces, celle des Baratheon à l’est et celle des Tyrell au sud. À sa décharge, les Lannister semblent clairement la maison la plus compliquée à jouer.
Contre les Stark, ensuite. Pas vraiment de vainqueur entre les deux maisons, n’ayant réussi ni à prendre Winterfell ni à mener mes armées suffisamment loin dans le cœur du Nord. Je pense que Tholdur aurait pu me poser plus de problèmes s’il avait été plus agressif. Il m’a également involontairement aidé en supprimant un soutien d’une flotte Baratheon, sur la mer orientale, grâce à une action de pillage, ce qui m’a permis de prendre Claquepince et sa forteresse à Lyzi. D’ailleurs, j’ai aussi reçu une certaine aide d’Outremer, qui a affaibli Skarn exactement de la même façon, l’empêchant de me reprendre sa capitale (mais c’était plus justifié dans son cas, puisqu’il était lui aussi en conflit ouvert avec les Lannister).
Les Greyjoy commencent avec l’épée en acier valyrien, qui apporte un avantage très important dans les batailles, et je me suis efforcé de la garder tout au long de la partie, dépensant trois puis huit (!) points de pouvoir lors des événements « jeu des trônes ». En contrepartie, je me suis longtemps retrouvé dernier sur les deux autres pistes, ce qui m’a handicapé un long moment car je ne pouvais jouer aucune action spéciale, et étais donc cantonné à deux mouvements, contre trois pour mes adversaires. C’est pourquoi, la deuxième fois qu’il a fallu enchérir sur les trois pistes (Trône de fer, fiefs, cour du roi), j’ai misé suffisamment pour m’assurer le trône (et, comme je l’ai écrit plus haut, la première place aux fiefs) et obtenir au moins une étoile à la cour du roi, dans le but de pouvoir attaquer trois fois et d’être le premier à jouer lors de l’ultime tour (car la prise de la septième forteresse met aussitôt fin à la partie), stratégie couronnée de succès, donc.
Nous avons terminé l’après-midi par une partie de Tokaido, que j’emporte avec Hirotada (le prêtre), grâce à de bons tirages dans les boutiques de souvenirs, une première place aux dons au temple (que son pouvoir lui assure quasiment si on ne joue pas n’importe comment) et de fréquents arrêts dans les sources chaudes… Moralité : pour se faire plaisir, mieux vaut avoir la religion de son côté.
Je ne suis pas toujours très inspiré à ce jeu, mais cette fois j’ai joué plutôt correctement. J’ai ainsi vite obtenu le contrôle des mers occidentales, faisant planer une menace permanente sur les Stark et les Lannister et sécurisant ma capitale. Skarn a toutefois commis une erreur qui m’a facilité la tâche : j’avais prévu d’utiliser une de mes deux flottes pour bloquer toute retraite à la sienne tandis que ma seconde l’attaquait, puis de déplacer la première vers les côtes du Nord une fois la puissance maritime des Lannister annihilée. Cependant, Skarn jouait avant moi et aurait pu prendre l’initiative d’attaquer, ce qui lui aurait permis de sauver sa flotte s’il avait remporté le combat naval.
La suite fut une longue série de batailles acharnées. Contre les Lannister, d’abord, chaque camp prenant puis reprenant des territoires à l’autre. Castral Roc est ainsi tombée deux fois entre mes mains, la deuxième fois définitivement car Skarn s’est retrouvé débordé par les menaces, celle des Baratheon à l’est et celle des Tyrell au sud. À sa décharge, les Lannister semblent clairement la maison la plus compliquée à jouer.
Contre les Stark, ensuite. Pas vraiment de vainqueur entre les deux maisons, n’ayant réussi ni à prendre Winterfell ni à mener mes armées suffisamment loin dans le cœur du Nord. Je pense que Tholdur aurait pu me poser plus de problèmes s’il avait été plus agressif. Il m’a également involontairement aidé en supprimant un soutien d’une flotte Baratheon, sur la mer orientale, grâce à une action de pillage, ce qui m’a permis de prendre Claquepince et sa forteresse à Lyzi. D’ailleurs, j’ai aussi reçu une certaine aide d’Outremer, qui a affaibli Skarn exactement de la même façon, l’empêchant de me reprendre sa capitale (mais c’était plus justifié dans son cas, puisqu’il était lui aussi en conflit ouvert avec les Lannister).
Les Greyjoy commencent avec l’épée en acier valyrien, qui apporte un avantage très important dans les batailles, et je me suis efforcé de la garder tout au long de la partie, dépensant trois puis huit (!) points de pouvoir lors des événements « jeu des trônes ». En contrepartie, je me suis longtemps retrouvé dernier sur les deux autres pistes, ce qui m’a handicapé un long moment car je ne pouvais jouer aucune action spéciale, et étais donc cantonné à deux mouvements, contre trois pour mes adversaires. C’est pourquoi, la deuxième fois qu’il a fallu enchérir sur les trois pistes (Trône de fer, fiefs, cour du roi), j’ai misé suffisamment pour m’assurer le trône (et, comme je l’ai écrit plus haut, la première place aux fiefs) et obtenir au moins une étoile à la cour du roi, dans le but de pouvoir attaquer trois fois et d’être le premier à jouer lors de l’ultime tour (car la prise de la septième forteresse met aussitôt fin à la partie), stratégie couronnée de succès, donc.
Nous avons terminé l’après-midi par une partie de Tokaido, que j’emporte avec Hirotada (le prêtre), grâce à de bons tirages dans les boutiques de souvenirs, une première place aux dons au temple (que son pouvoir lui assure quasiment si on ne joue pas n’importe comment) et de fréquents arrêts dans les sources chaudes… Moralité : pour se faire plaisir, mieux vaut avoir la religion de son côté.