19/05/2014, 17:24
(Modification du message : 19/05/2014, 17:27 par Voyageur Solitaire.)
Un bon potentiel pourri de fond en comble par le père Ian avec ses défauts habituels, ici dans une formule concentrée certifiée 100% Livingstone. Un bouquin qui aurait pu être bien...
Bon, passons sur le scénario avec le terrible sorcier qui veut conquérir le monde. Après Malbordus qui parfait son bronzage au soleil du désert, Zambar Bone qui enlève les jeunes filles au lieu d'aller tout simplement sur Meetic et la sorcière des neiges qui rêve de plonger le monde dans un âge polaire depuis qu'elle s'est faite larguer par Mister Freeze, on a Razaak. Sa spécialité à lui, c'est d'être revenu d'entre les morts ou quasiment, chacun son truc.
Mine de rien, on est content de retrouver Yaztromo, ça donne une certaine continuité assez sympathique, on a deux alliés qu'on garde assez longtemps, on se déplace beaucoup à travers des paysages variés, au grand air (On croirait presque jouer un Joe Dever), certaines créatures sont originales (Les mouches harpon, les hommes-caméléons), on a droit à un dragon et un voyage en ballon assez bien trouvé et sympa. Sans parler de Kull (Non, pas celui d'Howard !) qui dérive sur son radeau au sein d'un lac embrumé en tenant son épée (Moins sexe que la Dame du Lac d'Avalon quand-même).
Alors quoi ? Hé bien, tout ça est complètement ravagé de fond en comble par un foutage de gueule insolent. Yaztromo retenu prisonnier, sans défense, par un Djinn de merde à 6 d'habileté... La réputation du vieux ne serait-elle pas un peu surfaite ? On peut passer sur nos deux alliés qui ont tout du vieux couple avec leurs vannes débiles l'un envers l'autre. Mais pour le reste... Une difficulté délirante par moments, une foule d'objets à se trimballer (C'est plus un sac, c'est une tente qu'il faut), un tas d'indices à la con, dispersés de manière débile du genre : "En passant devant le rocher, vous voyez le chiffre 25 peint sur la pierre, notez bien cet indice", un bon donjon tendance One True Path des familles, des morts subites à la pelle, des combats inévitables... Stop ! N'en jetez plus !
Vous pensiez avoir tout vu avec Nicodème pas foutu de se rapeller la composition de sa putain de formule ou les statuettes dissimulées au pif le plus total à Vatos ? Ben non, il y a toujours pire. Livingstone nous le prouve ici en des pages inoubliables...
Bon, passons sur le scénario avec le terrible sorcier qui veut conquérir le monde. Après Malbordus qui parfait son bronzage au soleil du désert, Zambar Bone qui enlève les jeunes filles au lieu d'aller tout simplement sur Meetic et la sorcière des neiges qui rêve de plonger le monde dans un âge polaire depuis qu'elle s'est faite larguer par Mister Freeze, on a Razaak. Sa spécialité à lui, c'est d'être revenu d'entre les morts ou quasiment, chacun son truc.
Mine de rien, on est content de retrouver Yaztromo, ça donne une certaine continuité assez sympathique, on a deux alliés qu'on garde assez longtemps, on se déplace beaucoup à travers des paysages variés, au grand air (On croirait presque jouer un Joe Dever), certaines créatures sont originales (Les mouches harpon, les hommes-caméléons), on a droit à un dragon et un voyage en ballon assez bien trouvé et sympa. Sans parler de Kull (Non, pas celui d'Howard !) qui dérive sur son radeau au sein d'un lac embrumé en tenant son épée (Moins sexe que la Dame du Lac d'Avalon quand-même).
Alors quoi ? Hé bien, tout ça est complètement ravagé de fond en comble par un foutage de gueule insolent. Yaztromo retenu prisonnier, sans défense, par un Djinn de merde à 6 d'habileté... La réputation du vieux ne serait-elle pas un peu surfaite ? On peut passer sur nos deux alliés qui ont tout du vieux couple avec leurs vannes débiles l'un envers l'autre. Mais pour le reste... Une difficulté délirante par moments, une foule d'objets à se trimballer (C'est plus un sac, c'est une tente qu'il faut), un tas d'indices à la con, dispersés de manière débile du genre : "En passant devant le rocher, vous voyez le chiffre 25 peint sur la pierre, notez bien cet indice", un bon donjon tendance One True Path des familles, des morts subites à la pelle, des combats inévitables... Stop ! N'en jetez plus !
Vous pensiez avoir tout vu avec Nicodème pas foutu de se rapeller la composition de sa putain de formule ou les statuettes dissimulées au pif le plus total à Vatos ? Ben non, il y a toujours pire. Livingstone nous le prouve ici en des pages inoubliables...
Anywhere out of the world