26/02/2014, 11:14
Je tiens à remercier pour ma victoire :
Je tiens à snober magnifiquement les éléments suivants, qui ne m'ont pas aidé :
Plus je joue à ce jeu, moins je l'aime, car tout repose beaucoup trop sur la chance. Les meilleures stratégies peuvent être pulvérisées sur un coup de pure déveine imparable (exemple : Khorne qui se montre exceptionnel ou minable, le Graal qui nettoie les deux régions majeures de Nurgle), les cartes ne sont absolument pas équilibrées et une pioche désastreuse peut ainsi rendre le plus grand des dieux aussi inoffensif qu'un agneau et certains rôles sont prévisibles à outrance (Khorne et Nurgle notamment).
Bref, cela ne vaut pas Cyclades.
- La malchance de Nurgle et Slaanesh, qui n'ont pas eu les cartes leur permettant de se protéger ou de rusher
- Les cartes Vieux Monde, qui n'ont pas été méchantes (ni avec moi, ni avec personne)
- Les dés, qui même s'ils n'ont jamais été particulièrement généreux (j'ai dû faire 5 six sur toute la partie, et au dernier tour j'ai eu le plus grand mal à coucher deux figurines en lançant en tout une douzaine de dés) ont au moins fait le strict minimum, ce qui est déjà un progrès par rapport à d'habitude.
- Le comportement incohérent de Tzeentch et de Slaanesh, qui dépensaient leurs points de puissance je ne sais trop comment car il n'arrivait ni à mettre beaucoup de corruption ni à avancer leur cadran. Mention spéciale à la querelle stérile entre leurs démons majeurs respectifs.
Je tiens à snober magnifiquement les éléments suivants, qui ne m'ont pas aidé :
- Certaines cartes Chaos et améliorations complètement inutiles de Khorne (rejouer une deuxième bataille juste après la première, quel intérêt ?)
- La stratégie, la tactique, la subtilité : j'ai toujours joué là où tout le monde pensait que j'allais jouer (j'ai entendu un nombre incroyable de « c'est logique », « j'aurais fait pareil », « je m'y attendais ») et pourtant nul n'a été en mesure de me contrer (voir le premier point)
Plus je joue à ce jeu, moins je l'aime, car tout repose beaucoup trop sur la chance. Les meilleures stratégies peuvent être pulvérisées sur un coup de pure déveine imparable (exemple : Khorne qui se montre exceptionnel ou minable, le Graal qui nettoie les deux régions majeures de Nurgle), les cartes ne sont absolument pas équilibrées et une pioche désastreuse peut ainsi rendre le plus grand des dieux aussi inoffensif qu'un agneau et certains rôles sont prévisibles à outrance (Khorne et Nurgle notamment).
Bref, cela ne vaut pas Cyclades.