06/11/2013, 21:23
Bonsoir, en règle générale il y a des phrases qu'il faut alléger et d'autres qu'il est nécessaire de compléter. Il y a des phrases à replacer dans le bon ordre. par exemple lorsque tu décris le chien, finis ta description, ne t'arrête pas pour parler d'autre chose puis revenir plus tard dessus.
Ensuite, on ne sait pas vraiment où on est et on ne dispose d'aucune description de l'environnement. Mais peut être que tu l'as précisé dans ton prologue.
Quand tu parles de l'ombre, s'agit il de celle du chien?
Tu ne peux pas utiliser le mot "silhouette" et employer le masculin.
"Sans doute un chien qui a suivi la famille de tout à l'heure." : premièrement tu n'as pas parlé de cette famille (à moins que tu ne le fasses dans le prologue). En plus je ne trouve pas cette phrase indispensable.
"tout ceci commence à être ridicule. Que peut-il arriver au pire ?" : pourquoi cette phrase? est on sensé être en danger?
Enfin la question n'est pas adaptée. Tu demandes ce qu'il peut arriver au pire et tu nous proposes trois actions. Voilà le texte que j'aurais mis à ta place:
"Les arbres sont magnifiquement dressés dans leur manteau de feu et d'or. Au moment où le ciel se découvre à l'orée du virage montant, une silhouette blanche se dessine à distance à l'autre bout de la route. Vous réalisez qu’il s’agit en fait d’un chien à la fois gracile et imposant. . Il est grand, le pelage long et blanc ainsi que la gueule un peu allongée, Il ne bouge pas, sa prestance posée et rectiligne vous regarde fixement. L'ombre ne se trompe jamais de direction, elle lui donne un mélange de quiétude et de regard calculateur. Vous ignorez encore quoi faire et décidez d'attendre quelques instants une éventuelle réaction. Néanmoins, vous avez beau rester deux minutes sur place, le chien ne fait que parcourir la route en effectuant des allers-retours, la tête basse la langue pendue. A aucun moment, il n'a quitté son poste. Parfois il se redresse sur ses pattes arrières, vous observe et recommence. Qu’allez vous faire ?
Rester encore un moment au 50 en vous asseyant sur un tronc d'arbre proche dans l’espoir que le chien vienne de lui-même pour quelques caresses.
Continuer votre marche au 13.
Retourner sur vos pas si le chien ne vous inspire pas confiance au 100."
Ce que je te conseille, c'est de terminer ton LDVH et de demander à quelqu'un de te corriger le style.
Ensuite, on ne sait pas vraiment où on est et on ne dispose d'aucune description de l'environnement. Mais peut être que tu l'as précisé dans ton prologue.
Quand tu parles de l'ombre, s'agit il de celle du chien?
Tu ne peux pas utiliser le mot "silhouette" et employer le masculin.
"Sans doute un chien qui a suivi la famille de tout à l'heure." : premièrement tu n'as pas parlé de cette famille (à moins que tu ne le fasses dans le prologue). En plus je ne trouve pas cette phrase indispensable.
"tout ceci commence à être ridicule. Que peut-il arriver au pire ?" : pourquoi cette phrase? est on sensé être en danger?
Enfin la question n'est pas adaptée. Tu demandes ce qu'il peut arriver au pire et tu nous proposes trois actions. Voilà le texte que j'aurais mis à ta place:
"Les arbres sont magnifiquement dressés dans leur manteau de feu et d'or. Au moment où le ciel se découvre à l'orée du virage montant, une silhouette blanche se dessine à distance à l'autre bout de la route. Vous réalisez qu’il s’agit en fait d’un chien à la fois gracile et imposant. . Il est grand, le pelage long et blanc ainsi que la gueule un peu allongée, Il ne bouge pas, sa prestance posée et rectiligne vous regarde fixement. L'ombre ne se trompe jamais de direction, elle lui donne un mélange de quiétude et de regard calculateur. Vous ignorez encore quoi faire et décidez d'attendre quelques instants une éventuelle réaction. Néanmoins, vous avez beau rester deux minutes sur place, le chien ne fait que parcourir la route en effectuant des allers-retours, la tête basse la langue pendue. A aucun moment, il n'a quitté son poste. Parfois il se redresse sur ses pattes arrières, vous observe et recommence. Qu’allez vous faire ?
Rester encore un moment au 50 en vous asseyant sur un tronc d'arbre proche dans l’espoir que le chien vienne de lui-même pour quelques caresses.
Continuer votre marche au 13.
Retourner sur vos pas si le chien ne vous inspire pas confiance au 100."
Ce que je te conseille, c'est de terminer ton LDVH et de demander à quelqu'un de te corriger le style.