06/11/2013, 20:19
Voici, pour mon premier essai, le paragraphe 1.
J'ai un problème pour construire les phrases, c'est à dire que je me suis bien rendu compte qu'il y a cinq/six phrases assez courtes qui s'enchaînent au même rythme. C'est haché, pas très agréable. Aucune idée de comment tourner ça. ^^ Mais ravi d'avoir commencé l'histoire.
Les arbres sont magnifiquement dressés dans leur manteau de feu et d'or. Au moment où le ciel se découvre à l'orée du virage montant, une silhouette blanche se dessine à distance à l'autre bout de la route. Il est gros et gracile à la fois. C'est un chien.
Il n'a pas bougé, sa prestance posée, rectiligne, vous regarde fixement. Vous ne voyez pas bien ses yeux pénétrants mais vous le savez. L'ombre ne se trompe jamais de direction, elle lui donne un mélange de quiétude et de regard calculateur. Vous ne savez pas encore quoi faire et décidez d'attendre quelques instants pour voir s'il réagit. Sans doute un chien qui a suivi la famille de tout à l'heure. Mais vous avez beau être resté une ou deux minutes à gambader sur place, le chien ne fait que parcourir la route en largeur en effectuant des allers-retours, la tête basse la langue pendue et a aucun moment n'a quitté son poste. Parfois il se redresse sur ses pattes arrières, vous observe et recommence. Il est ici, grand, le pelage long et blanc, la gueule un peu allongée, tout ceci commence à être ridicule. Que peut-il arriver au pire ?
Rester encore un peu au 50 en vous asseyant sur un tronc d'arbre proche, peut-être que le chien viendra de lui-même pour quelques caresses.
Continuer votre marche, rendez-vous au 13.
Vous pouvez toujours retourner sur vos pas au 100 si ça ne vous enchante pas de croiser ce chien. Après tout, il n'y a personne pour épier vos mouvements.
Qu'en pensez-vous ?
J'ai un problème pour construire les phrases, c'est à dire que je me suis bien rendu compte qu'il y a cinq/six phrases assez courtes qui s'enchaînent au même rythme. C'est haché, pas très agréable. Aucune idée de comment tourner ça. ^^ Mais ravi d'avoir commencé l'histoire.
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Les arbres sont magnifiquement dressés dans leur manteau de feu et d'or. Au moment où le ciel se découvre à l'orée du virage montant, une silhouette blanche se dessine à distance à l'autre bout de la route. Il est gros et gracile à la fois. C'est un chien.
Il n'a pas bougé, sa prestance posée, rectiligne, vous regarde fixement. Vous ne voyez pas bien ses yeux pénétrants mais vous le savez. L'ombre ne se trompe jamais de direction, elle lui donne un mélange de quiétude et de regard calculateur. Vous ne savez pas encore quoi faire et décidez d'attendre quelques instants pour voir s'il réagit. Sans doute un chien qui a suivi la famille de tout à l'heure. Mais vous avez beau être resté une ou deux minutes à gambader sur place, le chien ne fait que parcourir la route en largeur en effectuant des allers-retours, la tête basse la langue pendue et a aucun moment n'a quitté son poste. Parfois il se redresse sur ses pattes arrières, vous observe et recommence. Il est ici, grand, le pelage long et blanc, la gueule un peu allongée, tout ceci commence à être ridicule. Que peut-il arriver au pire ?
Rester encore un peu au 50 en vous asseyant sur un tronc d'arbre proche, peut-être que le chien viendra de lui-même pour quelques caresses.
Continuer votre marche, rendez-vous au 13.
Vous pouvez toujours retourner sur vos pas au 100 si ça ne vous enchante pas de croiser ce chien. Après tout, il n'y a personne pour épier vos mouvements.
Qu'en pensez-vous ?