À noter l’étrange et incompréhensible haine d’Alendir à mon égard tout au long des parties de Smallworld et Zombies. J’avais pourtant salutairement converti certains des ses hommes-rats à la religion des sorciers (maintenant que j’y pense, vu le faible écart final, c’est sans doute ce qui lui a fait perdre la partie), évitant ainsi à son peuple une surpopulation dont l’Histoire a prouvé les méfaits. De même, à Zombies, mon vibrant discours à mes camarades les ayant convaincus de s’en remettre au courageux policier d’Alendir a valu à ce dernier le statut de héros dont le sacrifice aura permis la survie du plus grand nombre. Comment, alors, interpréter une telle ingratitude à mon égard ?
Que ce garçon est susceptible et rancunier, tout de même.
Que ce garçon est susceptible et rancunier, tout de même.