28/08/2012, 21:07
Celui d'une autre AVH :
Au-delà du cercle de feu de votre lanterne, tout n'est qu'obscurité luisante. Même le puits de lumière au-dessus de vous paraît s'être estompé. Nul bruit ne vous parvient, si ce n'est le vacarme de votre respiration et de vos articulations que vous esquissez un mouvement. L'air est étouffant, bien plus chaud que dehors. Le désespoir vous envahit à l'idée qu'il vous falloir explorer ces tunnels, ces tunnels perpétuellement plongés dans le silence et les ténèbres ! Puis vous vous ressaisissez : votre liberté est à ce prix, et vous irez jusqu'en Enfer pour la payer. Ainsi ragaillardi, vous commencez à réfléchir à votre première action. Allez-vous inspecter l'entrée de la mine derrière vous pour essayer de déterminer les causes de l'effondrement (rendez-vous au 2), ou vous enfoncer sans plus attendre dans l'estomac de la montagne, suivant le boyau principal (rendez-vous au 3) ?
Au-delà du cercle de feu de votre lanterne, tout n'est qu'obscurité luisante. Même le puits de lumière au-dessus de vous paraît s'être estompé. Nul bruit ne vous parvient, si ce n'est le vacarme de votre respiration et de vos articulations que vous esquissez un mouvement. L'air est étouffant, bien plus chaud que dehors. Le désespoir vous envahit à l'idée qu'il vous falloir explorer ces tunnels, ces tunnels perpétuellement plongés dans le silence et les ténèbres ! Puis vous vous ressaisissez : votre liberté est à ce prix, et vous irez jusqu'en Enfer pour la payer. Ainsi ragaillardi, vous commencez à réfléchir à votre première action. Allez-vous inspecter l'entrée de la mine derrière vous pour essayer de déterminer les causes de l'effondrement (rendez-vous au 2), ou vous enfoncer sans plus attendre dans l'estomac de la montagne, suivant le boyau principal (rendez-vous au 3) ?