Avec Princesse Mononoké, Nausicaa est mon préféré.
Oui, il est possible que Cameron s'en soit inspiré, pour les tentacules notamment. Mais le contexte de l'histoire (la planète a déjà été polluée) est quand même très différent, les personnages aussi (il n'y a pas un gugus qui apprend joyeusement à voler et qui découvre une civilisation, la générale est quand même un peu plus subtile que le haut gradé d'Avatar, les scientifiques sont quasi-absents, il n'y a pas de gentille rebelle dans les forces armées, il n'y a pas de grosse bataille finale entre les deux camps comme c'est inévitable dans l'esprit cameronais), le scénario est moins prévisible, si bien que je n'ai pas pensé à Avatar en le voyant (que j'avais de toutes façons moyennement apprécié). Car même s'il y a aussi un côté écolo, c'est certain, l'esprit des deux films me paraît sensiblement différent.
J'ai été beaucoup plus frappé quand j'ai revu Alien 2, là j'ai tout de suite reconnu la patte de Cameron, le même genre de perso, la même recette générale, qui garantit un certain succès mais qui peut lasser quand on s'en rend compte.
Oui, il est possible que Cameron s'en soit inspiré, pour les tentacules notamment. Mais le contexte de l'histoire (la planète a déjà été polluée) est quand même très différent, les personnages aussi (il n'y a pas un gugus qui apprend joyeusement à voler et qui découvre une civilisation, la générale est quand même un peu plus subtile que le haut gradé d'Avatar, les scientifiques sont quasi-absents, il n'y a pas de gentille rebelle dans les forces armées, il n'y a pas de grosse bataille finale entre les deux camps comme c'est inévitable dans l'esprit cameronais), le scénario est moins prévisible, si bien que je n'ai pas pensé à Avatar en le voyant (que j'avais de toutes façons moyennement apprécié). Car même s'il y a aussi un côté écolo, c'est certain, l'esprit des deux films me paraît sensiblement différent.
J'ai été beaucoup plus frappé quand j'ai revu Alien 2, là j'ai tout de suite reconnu la patte de Cameron, le même genre de perso, la même recette générale, qui garantit un certain succès mais qui peut lasser quand on s'en rend compte.