[YAZ 2022] Les neuf dernières heures de la nuit (Outremer)
#1
(12/11/2022, 21:48)Outremer a écrit : http://litteraction.fr/livre-jeu/les-neu...de-la-nuit

- C'est fortement expérimental. Vous me direz ce que vous en pensez.

Alors, ça va spoiler grave et ça parle mal (désolé d'avance).

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сыграем !
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#2
Je te remercie pour ces commentaires détaillés.

Pour ce qui est de la difficulté, je soupçonne que le temps écoulé a beaucoup atténué celle de Labyrinthe dans ta mémoire. Le coup de donner des numéros très similaires à une bonne option et à une mauvaise, associées à des actions identiques mais effectuées dans des circonstances légèrement différentes, j'avais fait exactement la même chose dans la chambre aux jouets !

Il y a effectivement deux choix successifs avec trois options dont deux conduisent au PFA. Mais, juste avant d'y parvenir, il est possible d'obtenir un indice qui indique assez clairement ce qu'il faut faire.

Je ne peux pas expliquer en détail l'atmosphère sans évoquer des choses que je préfère laisser le joueur découvrir par lui-même. Disons simplement qu'il me semblait approprié que l'ambiance et le contenu de ce premier lieu soient ainsi.

Les passages au paragraphe 8 font, dans mon esprit, partie intégrante de l'histoire. "PFA" n'est techniquement pas un terme approprié pour décrire ce paragraphe, car il ne marque pas l'échec définitif du personnage principal de l'histoire.

L'aventure demande réellement du temps et de la patience (peut-être pas tout à fait autant qu'un Nils Jacket, mais pas loin), c'est pour ça que je recommande d'en étaler la lecture.
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#3
J'ai atteint le 3 ! Plus que 497 sections !

Blague à part, j'en suis à 4 muses. Je soupçonne qu'il y en a au moins 7, donc il me paraît improbable que j'aurais le temps de finir et de faire un retour avant la fin du week-end.

Pour l'instant, j'aime beaucoup ce mélange entre Labyrinthe et les Mille et Une Nuits. Retour plus complet quand j'en serai venu à bout.


Bug :
Soit au 243, soit au 249, le Code Pallas devrait être le Code Promachos.

Typos :
122 : "ne vous rien découvrir"
71 : "prophécie"
123 : "ainsi de sauver"
Le 211 offre la possibilité d'aller au 211
140 : "céconcilier"
238 : "sans parvenir à articuler le moindre. Avant"
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#4
(13/11/2022, 21:38)Skarn a écrit : J'ai atteint le 3 ! Plus que 497 sections !

Blague à part, j'en suis à 4 muses. Je soupçonne qu'il y en a au moins 7, donc il me paraît improbable que j'aurais le temps de finir et de faire un retour avant la fin du week-end.

Pour l'instant, j'aime beaucoup ce mélange entre Labyrinthe et les Mille et Une Nuits. Retour plus complet quand j'en serai venu à bout.

Content que cela te plaise pour l'instant ! Tu me sembles avoir déjà abattu une sacrée besogne.

Micro-spoiler :

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Citation :Bug :
Soit au 243, soit au 249, le Code Pallas devrait être le Code Promachos.

ARGH ! Merci de me l'avoir fait remarqué, je vais effectuer la correction tout de suite.


Avis à ceux qui ont déjà téléchargé l'aventure : le code qu'on note au 243 est Promachos et non Pallas.
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#5
(13/11/2022, 16:59)Outremer a écrit : Il y a effectivement deux choix successifs avec trois options dont deux conduisent au PFA. Mais, juste avant d'y parvenir, il est possible d'obtenir un indice qui indique assez clairement ce qu'il faut faire.
Dis-moi lesquels s'il-te-plait, merci
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#6
(14/11/2022, 01:17)Caïthness a écrit :
(13/11/2022, 16:59)Outremer a écrit : Il y a effectivement deux choix successifs avec trois options dont deux conduisent au PFA. Mais, juste avant d'y parvenir, il est possible d'obtenir un indice qui indique assez clairement ce qu'il faut faire.
Dis-moi lesquels s'il-te-plait, merci

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#7
(14/11/2022, 02:13)Outremer a écrit :
(14/11/2022, 01:17)Caïthness a écrit :
(13/11/2022, 16:59)Outremer a écrit : Il y a effectivement deux choix successifs avec trois options dont deux conduisent au PFA. Mais, juste avant d'y parvenir, il est possible d'obtenir un indice qui indique assez clairement ce qu'il faut faire.
Dis-moi lesquels s'il-te-plait, merci

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#8
J'ai atteint le 4 ! J'ai atteint le 4 !
J'ai également doublé les muses depuis la dernière fois. Je dois donc me rapprocher de la fin, même si je n'exclus pas à ce stade, en dépit de la tradition et du chiffre dans le titre même de l'aventure, d'avoir affaire à une liste étendue (il s'en est passé des trucs depuis les grecs antiques).

Bug (?) :
Le Code Germinal n'est attribué nulle part.

Typo :
330 : "à ralentir qu'on les poursuive"
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#9
(14/11/2022, 19:51)Skarn a écrit : Bug (?) :
Le Code Germinal n'est attribué nulle part.

Merci pour ta vigilance ! Il est censé être au paragraphe 488, mais j'ai réussi à l'oublier comme un plouc !

C'est d'autant plus gênant qu'il est quand même bien utile, celui-là.

Je vais faire une relecture (en comparant le texte avec mon plan détaillé) pour m'assurer qu'il n'y a pas d'autres bêtises de ce genre.
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#10
Et le Code Napoléon ?
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#11
Bon, je n'ai pas trouvé d'autres erreurs.

Rappel pour ceux qui ont téléchargé l'aventure avant que je ne fasse les corrections :
- Au 243, il faut noter le code Promachos et non Pallas ;
- Au 488, on obtient le code Germinal.


(14/11/2022, 20:35)gynogege a écrit : Et le Code Napoléon ?

C'est Napoléon qui a mis fin au calendrier révolutionnaire (et à la Révolution elle-même, d'ailleurs), il n'aurait pas vraiment collé avec les autres codes qu'on peut obtenir dans cette partie-là de l'aventure.
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#12
Bon. Par où commencer un retour sur un mastodonte pareil... On va tenter une approche structurelle.


L'aventure alterne entre trois types de structures, que je nommerai les passages Labyrinthe, les contes de Shéhérazade et les Tableaux.

Je vais pas m'étendre sur tout ce qui est Shéhérazade, parce que j'ai vraiment pas envie de vous les gâcher d'une révélation maladroite. C'est le cœur de l'aventure, ils sont tous très bien (même si j'ai bien sûr mes préférés), avec une maîtrise d'écriture incroyable et une variété dingue aussi bien dans les récits que dans les mécaniques de jeux. C'est vraiment du tout bon.

Les Tableaux, j'ai moins été convaincu. J'appelle ainsi tous les moments où on est un endroit et il faut fouiller partout (ou pas) pour débloquer les suites de l'aventure. Ça m'a pas mal rappelé les point-and-click où il faut cliquer partout, ce qui me laisse supposer que ça fonctionnerait sans doute beaucoup mieux avec de jolies illustrations et des numéros directement sur l'image. En l'état, ça prend la forme de blocs de textes assez vénères, avec plus d'une dizaine de choix dans un même paragraphe au sens premier du terme.

Les passages Labyrinthe, ce sont ces transitions oniriques entre Tableaux et contes de Shéhérazade, nécessitant l'emploi d'une logique toute symbolique pour débloquer la suite. Et... En fait, ils sont complètement éclipsés par leur destination. Si certains développent clairement des idées intéressantes (je pense à la bombe de peinture par exemple), elles ne le sont jamais autant que ce qui va suivre, ce qui de fait ne donne pas envie de s'y attarder.

De façon généreuse, l'aventure est une pièce montée parfois un peu trop généreuse. Il y aurait sans doute un débat à avoir si l'intégralité des filles de Mnemosyne, c'est pas un peu beaucoup pour une seule et même aventure. En général les structures qui se répètent préfèrent le 5+2 voire le 4+3, c'est-à-dire qu'on annonce 7 au départ, mais qu'en pratique le moule se rompt avant même la dernière voire encore plus tôt.

Mais, en vrai, je pense qu'encore une fois c'est surtout une question de présentation. Dans l'état, on a affaire à un bloc de 300 pages, et, à mon avis, un simple chapitrage explicite permettrait de mieux faire respirer tout ça. Surtout que ce chapitrage existe déjà sous la surface, avec des limites bien claires pour chaque sous-partie. Cela permettrait aussi de rendre plus confortable les retours en arrière pour le lecteur, en permettant de reprendre au début son bloc actuel d'un clic dans la table des matières ou via un lien direct, plutôt qu'après un détour par le 8 et un Ctrl+F+<numéro>+Entrée jusqu'au bon endroit.

C'est que des retours en arrière, on va en faire. Alors, oui, l'aventure n'est pas aussi difficile que le Labyrinthe original, notamment parce que tous les sous-ensembles sont indépendants. Ainsi, on ne se retrouve pas bloqué à la toute fin parce qu'on a raté un tout petit détail quelques heures plus tôt : Une fois qu'on est venu à bout d'une énigme, on peut la ranger de côté et se concentrer sur la suite sans crainte. Et chaque sous-ensemble faisant quelques dizaines de sections au plus, la combinatoire reste raisonnable (autrement dit, c'est humainement faisable d'essayer toutes les combinaisons).

Ensuite, ça veut pas dire que c'est facile. Chaque Labyrinthe, chaque Shéhérazade, possède sa logique propre. Parfois ça va tilter très vite, parfois il va falloir tester toutes les possibilités ou presque pour en venir à bout. Je dirais d'ailleurs que chaque lecteur aura ses moments qu'il trouvera facile, et ses moments qu'il trouvera incroyablement difficiles, et ce ne seront pas les mêmes pour tout le monde parce que tout le monde réfléchit différemment. Chercher à « mieux équilibrer » tout ça me paraît donc vain. En revanche, rendre l'échec aussi peu impactant que possible en permettant de réessayer aussi sec sans délai, ça, ça on peut.


Ça fait beaucoup de coupage de cheveux en quatre pour repousser le moment de parler du fond, sujet d'une complexité encore plus grande.

Il est impossible de ne pas évoquer le Labyrinthe original. Il est également impossible d'être objectif concernant une œuvre qu'on a lu 15 ans plus tôt, et qui a eu un impact aussi colossal dans le micro-monde des avh. Même si je la relisais, là, tout de suite, ça ne changerait rien aux connexions qui se sont formés dans mon cerveau à l'époque et qui sont encore là. Mon avis sera donc sans doute très différent de quelqu'un qui lui n'aurait jamais lu cette œuvre auparavant.

En gardant à l'esprit ce biais, mon ressenti personnel, c'est que l'aventure n'est jamais aussi bonne que quand elle ne fait justement pas du Labyrinthe. J'ai adoré toutes les Shéhérazade et le grand final, et trouvé le reste, certes de très bonne qualité, mais quand même un cran en-dessous, et parfois un peu superfétatoire.

Le thème de Labyrinthe, c'était la folie, mais pas tant au sens psychiatrique qu'à celui que lui donnaient les tragédiens de la Grèce Antique. Les neuf dernières heures de la nuit se veut beaucoup plus « réaliste », avec des enjeux plus ordinaires et plus concrets, et donc les moments de rêve théâtral m'ont paru moins bien fonctionner. C'est encore renforcé par le fait qu'ils n'ont pas une importance critique dans la narration, posant juste le décor pour la suite.

Je dirais donc que l'aventure ne perdrait rien, et gagnerait même, à un léger élagage. Je pense par exemple aux « gamelles », ces renvois brusques le 8 après que l'héroïne se soit cognée le crâne contre l'un ou l'autre objet, dont l'intérêt m'échappe un peu.

Bon, maintenant que j'ai vraiment pris le microscope pour trouver les défauts : Oui, c'est une excellente aventure d'un bout à l'autre, d'un niveau de qualité similaire à Fleurir en hiver. Je m'avancerai pas à dire si elle est meilleure ou moins bonne que celle-ci, ou que Labyrinthe, parce ce serait comparer le rhinocéros à l'hippopotame. S'il y a bien sûr des points communs, de structures, de thèmes, ce ne sont pas moins des créatures différentes, avec leurs propres particularités.

Bref, c'est à lire.


Typo :
Le lien cliquable du 66 est erroné (il renvoie sur le 56).

Divers :
Il y a clairement des références un peu partout. J'en ai reconnu quelques-unes (Voiture par exemple), la plupart m'ont échappé. Le 58 me fait d'ailleurs me dire que certaines doivent être à la limite du private joke entre initiés.
Ouvrir l'aventure sur un one-true-path vicieux est peut-être un peu brutal. C'est d'ailleurs un des rares endroits où on n'a vraiment aucune marge de manœuvre, la vis se desserrant un peu par la suite.
Complètement anecdotique, mais, au 52, j'avais trouvé le bon renvoi par accident :
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#13
Un très grand merci pour tes commentaires. Je vais y répondre en détail... une fois que j'aurai pris le temps d'y réfléchir suffisamment.

D'ici là, quelques réponses qui ne demandent pas grande réflexion :

(15/11/2022, 15:56)Skarn a écrit : Il y aurait sans doute un débat à avoir si l'intégralité des filles de Mnemosyne, c'est pas un peu beaucoup pour une seule et même aventure.

C'est ce que je me disais aussi. Et puis...

Le chiffre a été fixé suite à une promenade sur une plage normande, où s'est déroulé un dialogue intérieur dont voici une reconstitution :

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Citation :Il y a clairement des références un peu partout. J'en ai reconnu quelques-unes (Voiture par exemple), la plupart m'ont échappé. Le 58 me fait d'ailleurs me dire que certaines doivent être à la limite du private joke entre initiés.

Le 58 est une exception. Il n'y a pas d'autre référence de ce genre.

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En-dehors de ça, il y a en effet quelques références à des œuvres artistiques (certaines plus connues que d'autres), mais le fait de ne pas les saisir n'a pas de réelle importance.

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Citation :Complètement anecdotique, mais, au 52, j'avais trouvé le bon renvoi par accident :

Je n'avais pas pensé à ça, tiens ! Enfin, tant que ça oriente vers la bonne solution, c'est l'essentiel.
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#14
Une aventure hors du commun, autant par son thème, son ambition, son originalité que par sa taille. A ce sujet, l'avertissement liminaire n'est pas inutile. En plus d'être dotée de 500 paragraphes détaillés, il faudra en lire au moins les trois quarts pour en voir le bout.

Le tout début m'a décontenancé par sa difficulté, un système de dye and retry où il faut se frayer un chemin parmi les chausse-trappes avant d'arriver au sommet du hangar. Rien de rédhibitoire car l'extrême simplicité des règles rend les relectures aisées et rapides. Ce passage introductif est légèrement frustrant. Mais comme la plume est belle et que l'ambiance mystérieuse donne envie d'en savoir plus, la sensation n'a pas duré, d'autant plus que ça coule mieux à partir de l'échafaudage.

J'ai commencé à être vraiment captivé par l'identité de l'héroïne, son passé dont les décors du "monde réel" tendraient à nous donner des indices. Quand je découvrais une photographie, un petit mot personnel, je construisais en imagination ce qui avait bien pu m'arriver pour m'enfermer dans ce dédale de solitude marqué par le refus de l'introspection. J'avais hâte d'en savoir plus ses mes sentiments, ce qui m'avait ait tellement souffrir et mes compagnons de vie. A ce titre, j'ai particulièrement aimé l'atmosphère de la véranda ou du chalet.

La première histoire dans l'histoire m'a surpris : procédé innovant et ingénieux pour transcender le genre ludo-littéraire en impliquant le lecteur dans un rôle d'auteur. D'autant plus que peu à peu, j'ai réalisé que le fond de ces aventures de fiction avait un rapport évident avec notre histoire personnelle, que la manière dont on faisait réagir nos héroïnes avec un impact ou plutôt, un écho, sur la psyché de l'héroïne principale, nous-même. Chacune de ces mini-AVH se différencie par de nombreux aspects, celui de la progression du style littéraire entre la 1ère et la 4ème étant le plus impressionnant. Un beau tour de force.

Cependant, j'ai eu un problème avec ces histoires interruptives. Quand elles surgissaient, je ressentais un léger agacement. J'étais tellement captivé par l'intrigue principale que je n'avais pas envie d'une parenthèse. Même si chacun de ces petits scénarios a son charme (mentions à l'intrigue des dieux grecs et à celle avec Nyx pour son cadre SF brillamment décrit), j'avais du mal à m'y investir totalement. C'est très personnel. Sans doute parce que je suis plus films que séries, AVH que mini-AVH, gros jeux que jeux d'apéro, romans que nouvelles, ces brèves inachevées heurtaient presque ma lecture. Je ne sais pas si ça parlera, mais pour trouver une métaphore littéraire, j'avais un peu la même sensation que pendant ma lecture du Trône de Fer, quand survenait un chapitre non plus sur Westeros, mais consacré à Daenerys dans les terres de l'est.

Alors, après m'être évanouie/endormie une quinzaine de fois, avoir parcouru entre 300 et 350 paragraphes (comme c'est très agréable à lire et que je raffolais des petits détails du monde réel, j'ai même lu les paragraphes que je devinais piégeux en dehors de mes essais concrets) et obtenu cinq codes spéciaux, quand je passe enfin la porte de l'horizon... et comprends qu'il faudra impérativement lire les quatre autres fictions pour parvenir à la conclusion, je me suis découragé.

Le problème vient aussi du format électronique couplé à la taille énorme de l'aventure. Je suis sûr qu'avec l'aventure en livre papier je serais allé au bout du concept, comme ça m'est arrivé par exemple avec Nils Jacket 1 a posteriori. Peut-être aussi ai-je besoin d'un véritable challenge, d'une sensation de danger,de perte ou de réussite.  On est ici plus dans une trame exploratoire, qui fait certes marcher les méninges et ravit les sens de l'amateur de littérature. Je ne sais pas comment parler de la dimension onirique, poétique, métaphorique, voire philosophique qui imprègne l'ouvrage sans en galvauder l'esprit. Mais le tout au détriment d'une certaine force narrative.

Je suis néanmoins allé voir l'épilogue, que j'ai réussi à obtenir après trois mauvais choix. J'aurais bien aimé avoir plus de détails sur l'héroïne au final. Mais non, ce n'était pas le but. L'idée est d'accomplir notre propre voyage intérieur, qui peut concerner n'importe quel lecteur au cours de son existence. Je n'ai pas saisi ni cherché à comprendre l'ensemble des allusions et des paraboles qui parsèment l'aventure. Malgré tout, j'ai ressenti une approche très personnelle, très intime. J'ai l'impression que c'est dans ces écrits, Romain, tu es toi-même allé très loin au fond de ta propre personnalité. C'est touchant. Je suis d'autant plus frustré d'avoir la sensation de n'avoir qu'effleure du doigt tout ce que tu y exprimes.
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#15
Je te remercie beaucoup pour tes commentaires détaillés. J'y répondrai en détail un peu plus tard.

J'ai conscience d'avoir possiblement un tantinet exagéré en demandant au joueur d'obtenir les neuf codes spéciaux pour finir l'aventure. J'ai inséré quelques éléments pour faciliter la vie au joueur arrivé suffisamment loin, mais ce n'était peut-être pas suffisant.

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