Le premier paragraphe
Éventuellement la scinder en deux parties, toujours sous une même section. Je verrai bien cette éventuelle séparation au moment ou le décor est campé et que l'action va pouvoir se dérouler. Et donc terminer la première partie sur: "(...) lorsque le feu sera allumé."

A ce moment-là, même si on le pressentait de plus en plus, il devient évident que les gobelins sont condamnés à mort. La tension (et l'attention du lecteur!) devient plus forte, on sent que quelque chose se prépare...

Et enchaîner sur : "La plupart des coïncidences..." où on recule pour mieux sauter en quelque sorte, avec des événements anodins en apparence jusqu'à ce que le chien s'en mêle!
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C'est intriguant et prometteur. Il y a déjà plein d'éléments intéressants : le passage du macro au micro, le fait d'incarner une créature inhabituelle, la diversité des compétences de chaque gobelin, quelques détails crus qui donnent un côté réaliste et sans concession (les villageois qui se réjouissent du supplice, le chien qui se vide de ses entrailles...). Est-ce qu'on dirigera 1 seul gobelin à tout de rôle (façon Chrysalide) ou les 3 gobelins en même temps en choisissant celui qui doit agir (façon L'épée de légende, du type "si le voleur souhaite intervenir...") ?

Pinaillage sur la cessure du texte concernant le paragraphe qui commence par "Les commerçants locaux se sont montrés à la hauteur de l’occasion..." : Etant donné que le "C’est à présent le milieu de l’après-midi..." marque une rupture temporelle, il serait plus logique de scinder ce paragraphe en deux à cet endroit, et de mettre la 1ere phrase du paragraphe (" "Les commerçants locaux...") à la fin du paragraphe précédent, et la 2e phrase ("C’est à présent le milieu de l’après-midi...") au début du paragraphe suivant.
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(03/04/2023, 10:55)grattepapier a écrit : Est-ce qu'on dirigera 1 seul gobelin à tout de rôle (façon Chrysalide) ou les 3 gobelins en même temps en choisissant celui qui doit agir (façon L'épée de légende, du type "si le voleur souhaite intervenir...") ?

Pendant au moins une partie de l'aventure, ça devrait suivre un système un peu similaire à celui de Skarn dans Y ou Fanfare : les personnages agissent séparément, il y a plusieurs missions disponibles et on décide qui fait quoi. Mais j'utiliserai sans doute un peu aussi le système de "L'épée de légende".
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1er paragraphe d'une AVH pour un public jeunesse (9+)


Palais Vampires – L’auberge

Tu es Mina, tu as 109 ans et tu es une jeune vampire. Ta maman, Carmilla, t’a placé chez ta tante pour l’hiver. Ta tante est une vieille peau que tu détestes : La comtesse Martine de St Joire. Tu vis donc chez elle, dans son château qu’elle appelle « Le  Palais ». 

Comme si ça ne suffisait pas de supporter ta tante, il y a aussi sa fille, Anne-Laure de St Christophe ! Ils ont tous des « de » dans leurs noms ! Anne-Laure doit avoir dans les 250 ans. Tu as vu des tableaux d’elle plus jeune et, c’est sûr, elle était moche dès le début. C’est une vraie pouffiasse qui se prend pour une reine.

Toi tu es juste « Mina », il n’y a pas de « de » dans ton nom.  Tu sens bien que ça te rend « inférieure » pour elles. Elles se moquent régulièrement de toi, souvent sur ta façon de parler.
Aussi, tu fais très attention à essayer de t’exprimer plus correctement qu’elles, et tu attends avec impatience le jour où tu pourras leur faire remarquer une faute.

Ta tante est la propriétaire de « L’auberge du Palais », à l’entrée de la ville. Un des serveurs est malade. Ta tante n’a pas eu d’autre choix que te demander d’aller le remplacer pour les services du soir, le temps qu’il guérisse.

Elle t’a ordonné de venir la voir pour te donner quelques consignes.

Tu es devant l’immense porte de vieux bois sculpté de son bureau.
Il neige dehors. C’est magnifique. Il n’y a pas un bruit dans le couloir, juste celui des torches.

Tu n’as pas le choix. Ça te saoule d’avance, mais tu n’as pas le choix.

Tu soupires et tu frappes trois petits coups…

RDV AU 1

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Citation :Coming soon (une introduction)...

Ce matin, en pénétrant dans le grand hall du ministère de la Guerre où siège désormais la police d’État, vous pressentez que ce ne sera pas une journée de travail ordinaire. Il est vrai que le récent changement de local, conséquence de la décision du gouvernement de subordonner votre service à l’Evidenzbureau, le renseignement militaire, continue de travailler les esprits dans vos rangs. Jamais la menace d’une guerre avec un pays voisin – Russie, Serbie, Italie, peut-être les trois ensemble – n’a paru aussi concrète aux sujets de François-Joseph. Ce matin, cependant, il vous semble confusément qu’autre chose plane dans l’air : dans des regards furtifs de collègues croisés dans les escaliers, dans cette illusion de lenteur inhabituelle qui émane des bruissements ambiants d’activités de bureau, dans… vous ne savez trop quoi.

Ce pressentiment ne se dissipe pas quand, à peine entré dans votre bureau, vous êtes informé que le commissaire Orff, votre supérieur, vous convoque dans le sien séance tenante.

Après un accueil sans cérémonie, celui-ci débute l’entretien à brûle-pourpoint en braquant sur vous un regard inquisiteur : « À présent, jouons cartes sur table, voulez-vous ? Dites-moi tout ce que vous savez sur John Morstan ! »

Pris de court, vous faites de votre mieux pour ne pas bafouiller en formulant la réponse la plus franche possible – que vous entendez ce nom pour la première fois. À votre grande surprise, le commissaire qui a semblé vous disséquer des yeux pendant ces quelques secondes paraît satisfait : « Vous n’étiez pas censé répondre autre chose… » Plus surprenant encore est le ton qu’il emploie pour poursuivre, comme un air d’excuse : « … Pas plus que je n’étais censé vous infliger ce piètre test. Mais je dois pouvoir assurer les gradés du Bureau de l’entière confiance qu’ils peuvent placer en notre service dans la lutte contre nos ennemis de l’intérieur. Vous n’ignorez pas que leur méfiance est à la mesure du scandale qui les a entachés… »

Non, vous ne l’ignorez pas. Tout Vienne probablement, peut-être toute l’Autriche et la Hongrie se rappellent la crise dont l’état-major peine à se remettre depuis des mois. N’est-ce pas celui qui fut le directeur-adjoint de l’Evidenzbureau pendant six ans, le colonel Redl, qui s’est brûlé la cervelle au printemps dernier après avoir été démasqué comme un traître ? Un agent double grassement payé par l’Okhrana, la police politique du tsar de Russie ! La mise en avant du fait que l’officier était aussi homosexuel a pu faire diversion aux yeux du public pour un temps, mais les observateurs les plus attentifs et les services d’État comme le vôtre n’ont pu manquer de constater toutes les failles et les manquements que cette impensable affaire a révélés au sommet de la hiérarchie militaire. Et à présent que la police d’État travaille pour l’Evidenzbureau, la perte de confiance de ce dernier en ses propres rangs a fini par déteindre sur les vôtres.

Visiblement rassuré sur votre fiabilité, le commissaire a extrait de son bureau un dossier, qu’il ouvre et tourne de sorte que vous puissiez en découvrir le contenu dans le bon sens. Votre attention se porte d’abord sur les quelques photos, manifestement prises avec un appareil miniature en divers lieux de Vienne et de sa périphérie. Sur toutes, figure un homme d’apparence juvénile et aux traits délicats, ici écrivant sur un carnet, là prenant un café, ici consultant des livres à la bibliothèque, là jetant un regard prudent autour de lui…

« Je vous présente John Morstan, commente votre supérieur – du moins, c’est le nom qu’il se donne depuis son entrée dans le pays par la frontière allemande il y a quelques jours. On pense qu’il est véritablement anglais, et cela seul justifie que nous gardions l’œil sur lui – ordre du directeur. Nous avons pu intercepter quelques-unes de ses correspondances, dont nous cherchons encore à identifier les destinataires. Il semblerait qu’il travaille pour un groupe de « recherche » – c’est son terme – basé à Londres et qu’à ce titre, il se prétende en route pour étudier des traces de vieilles superstitions locales dans une bourgade isolée du Tyrol oriental… Qu’est-ce qu’un agent étranger compterait faire dans un tel trou perdu, vous demandez-vous peut-être ? Votre mission est de le découvrir ! Je vous laisse le soin de lire les détails dans le dossier après être sorti d’ici… voire dans le train que vous prendrez aujourd’hui même : il a quitté Vienne ce matin pour Salzbourg, malheureusement sans que nous ayons pu anticiper son initiative, et nous savons qu’il compte privilégier le chemin de fer jusqu’à sa destination.
« C’est votre première mission sur le terrain hors de Vienne, n’est-ce pas ? Vous verrez, ces petites routes de campagne ne sont pas tellement plus inquiétantes que nos rues ! Vos ordres sont simples : rattraper ce Morstan, le surveiller en toute discrétion, en apprendre plus sur ses activités, ses relations, et évidemment, si besoin était, contrecarrer toute initiative nuisible de sa part. Je compte sur vous. L’empire compte sur vous ! »



Deux heures plus tard, assis dans le premier train pour Salzbourg que vous avez pu prendre à la hâte après être rentré chez vous pour jeter quelques affaires dans une valise, vous continuez d’étudier ce dossier au contenu inhabituel. Vous en aurez bien le temps : il semble que vous soyez parti pour un voyage de plusieurs heures, en comptant trois changements de train à Salzbourg, Spittal-an-der-Drau et Lienz. Vous espérez que les informations données sur le trajet prévu de l’homme dont vous suivez la trace sont fiables. À vrai dire, le contenu du dossier s’avère dans l’ensemble assez décevant, à peine plus détaillé que ce qu’Orff vous en a rapporté. Malgré la jeunesse de ses traits, l’âge de l’étranger énigmatique se faisant appeler John Morstan est estimé entre 30 et 40 ans. Ses très probables origines britanniques sont tout ce que l’on a pu établir sur sa personne. De ses correspondances, très peu de renseignements utiles ont été tirés pour le moment, encore moins sur ce « groupe de recherche » pour lequel il travaillerait.

Étrangement, la partie du dossier qui vous semble la moins nébuleuse concerne la supposée destination de Morstan : Nexen, petite ville reculée du Tyrol oriental. Bourgade séculaire reposant au fond de la vallée dûment nommée Nexental, le lieu est mentionné à plusieurs reprises dans les correspondances de l’Anglais, mais toujours en référence à une documentation antérieure à laquelle votre service n’a pas encore eu accès. Il apparaît que les motifs de l’intérêt de Morstan et de ses collaborateurs pour cette ville sont au nombre de deux. En premier lieu, les lettres font de multiples allusions, souvent par le truchement de récits de tierces personnes, à une histoire locale manifestement mouvementée, ponctuée de morts violentes, de disparitions et d’autres incidents dont la fréquence et la nature ont nourri les pires superstitions locales. Les correspondants semblent également intéressés par le lieu le plus pittoresque du Nexental, propre à attirer visiteurs et pèlerins, mais sans doute moins d’espions : son abbaye cistercienne, bâtie au XIIe siècle dans les hauteurs surplombant la ville, et ayant la particularité d’avoir été désertée à partir du XIVe siècle pour des raisons indéterminées, avant d’être réoccupée et rouverte par une nouvelle communauté de moines il y a tout juste une soixantaine d’années. D’une façon peu surprenante, la longue période d’abandon de l’édifice religieux correspondrait à peu près aux dates des rapports existants sur les incidents susmentionnés et l’exacerbation des superstitions. En quoi ces récits locaux entre histoire et folklore seraient-ils tant soit peu utiles à une puissance ennemie ? La question, pour l’heure, vous dépasse quelque peu.

Toujours selon les rédacteurs du dossier, Morstan aurait l’intention de se faire offrir l’hospitalité des nouveaux résidents de cette abbaye afin d’y mener à bien ses projets encore mystérieux. Serez-vous amené à suivre le même chemin, et si oui, comment opérer sur place ? Vous avez une brève pensée pour votre pistolet de service chargé, rangé dans la valise de sorte que vous puissiez y accéder rapidement en cas de besoin. Vous espérez que ce besoin ne se présentera pas, encore moins dans un lieu de culte ; cependant, vous vous considérez comme un être prudent et organisé.

Rendez-vous au 1.
Souris ! Tu ne peux pas tous les tuer...
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J'ai toujours aimé ce que tu produis et là j'ai l'impression que ce sera encore le cas Wink
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Un début très prometteur, qui donne l'impression qu'il pourrait déboucher aussi bien déboucher sur une aventure d'espionnage et d'intrigue que sur une histoire d'horreur.
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1er paragraphe de ma future AVH serious game - Public 16+



Avant propos : Vous êtes le Minotaure.


La Crète. Le soleil se couche sur la plus grande des îles grecques. Les ombres des murs montent petit à petit ; ils s’éclipsent les uns les autres dans un jeu d'angles et de droites.

Le silence.

Assis sur un rocher, entouré de murs géants, au centre du labyrinthe créé par Dédale pour vous enfermer, vous attendez qu'elle arrive.

Encore quelques minutes... vous dites-vous.

Vous regardez le ciel. Les derniers rayons disparaissent enfin, il ne reste que le halo de ce jour qui s'en va.

Pasiphaé, sortant de l'ombre : Bonsoir, mon fils.

Votre mère est Pasiphaé, fille d'Hélios et de Persée, épouse du roi Minos. Elle est aussi une sorcière puissante et redoutée. Vous êtes le monstre, son monstre, son fils prisonnier dans ce labyrinthe.
Depuis que le roi de Crète vous a enfermé ici, elle vient tous les soirs vous parler, vous raconter la vie dehors. Qu'il s'agisse des histoires du palais de Cnossos ou des frasques des Dieux, vous êtes au courant de tout.

Vous, de votre voix grave et puissante : Bonsoir, mère.

Elle avance dans sa grande robe blanche. Elle est magnifique. Vous remarquez immédiatement qu'il y a quelque chose de différent dans son attitude. Vous le sentez. Vous restez assis, sans quoi vous feriez deux ou trois fois sa taille. 

Pasiphaé, hésitante : Tu sais que dans deux jours il te sera livré le tribut ?

Vous : Oui, Mère, j'ai hâte.

Tous les ans, la Grèce envoie sept jeunes hommes et sept jeunes femmes en Crète. Le roi les sacrifie en vous les lâchant dans le labyrinthe. C'est le seul événement de l'année qui change votre éternelle attente. C'est un moment très plaisant de votre point de vue : Ça court, ça se cache, ça hurle. Ce qui est important, c'est de les rabattre tout de suite vers les points d'eau pour qu'ils survivent, pour que cela dure plus longtemps. Vous êtes impatient.

Pasiphaé, froide : Ce sera différent cette fois... Parmi les jeunes hommes, il y aura Thésée, prince d'Athènes...

Vous grommelez, laissant échapper un souffle fort de vos naseaux.

Vous : Vous me demandez de l'épargner ? 

Pasiphaé : Il vient pour te tuer...

Vous : Mère, vous savez que cela ne se peut pas.

Pasiphaé : Il est arrivé il y a quelques semaines et il a rencontré Ariane... ta demi-sœur. Ils sont amoureux. Elle va probablement l'aider.. C'est même certain.

Vous, la colère montante :  Vous voulez que je meure pour lui éviter un chagrin ?!

Pasiphaé, surprise par la force de votre voix : Non, mon fils. Je veux que tous te croient mort. Je veux que Thésée ressorte en héros victorieux. C'est ce que les Dieux veulent.

Vous vous levez brusquement, tendu de colère.

Vous, rugissant, poings serrés : ET QUE ME DONNERONT-ILS EN ÉCHANGE, LES DIEUX ?

Pasiphaé, dans un pas de recul : La liberté, mon fils. La liberté.

Vous, contrarié de devoir vous contenir : Mais où irais-je, mère ?

Pasiphaé : Où tu voudras, mon fils. Gardien de chèvres ou de muses, cela dépendra de toi.



Une question pour continuer
Vous :
A - Et ils croivent que je vais leur faire confiance ?
B - Et ils croives que je vais leur faire confiance ?
C - Et ils croies que je vais leur faire confiance ?
D - Et ils croient que je vais leur faire confiance ?

Si échec : photo de chèvre + remédiation
Si réussite : photo de muse

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Curieuse définition de la liberté, qui ne laisse finalement que deux choix!

Et qui mélange étrangement une destination et une profession: pour moi la dernière ligne est bancale.
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Oui. Je comprends.

Mais on est dans le cadre d'un "serious game" .
En plus des choix "normaux" pour une AVH , les réponses à des questions de Français donneront un score final qui déterminera les fins possibles.
Autrement dit, plus de chèvres (échec) que de muses (réussite), ou le contraire, scellera le destin.

Aussi, la liberté est plus "sortir du labyrinthe" (tout en respectant la mythologie) et le game play : collectionner des images de chèvres ou de muses.

Mais on est d'accord, c'est une liberté au sens "imposée par les dieux"

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Je mettrai quelque chose qui indique la fin de l'enfermement, mais qui reste en raccord avec le statut de gardien. Par exemple pour les 3 dernières lignes :

Pasiphaé, dans un pas de recul : Que tu puisses enfin sortir de ta prison, mon fils! Et qu'aussi en compensation, tu deviennes un gardien.

Vous, contrarié de devoir vous contenir : Le gardien de quoi, mère ?

Pasiphaé : Ce que tu voudras, mon fils. Gardien de chèvres ou de muses, cela dépendra de toi !
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C'est une idée top !

merci

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Personnellement, je laisserais tomber toutes ces incises devant les phrases des dialogues. Ça brise le rythme de la lecture, et ça donne l'impression de lire une pièce de théâtre.
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Alors ça, c'est une vraie question.

Car pour moi, je trouve que cela dynamise les dialogues en apportant en 3 mots l'expression d'une intention ou d'un mouvement, qui, sinon, serait reléguée dans une phrase préliminaire descriptive.

A vrai dire, j'avoue qu'à la suite de "jardin d'hiver", cette façon théâtrale de structurer les dialogues me plait énormément.

Je veux bien savoir le pourquoi cela te semble lourd et/ou inapproprié.

Sur le texte, mon hésitation est plus sur un contexte plutôt "pompeux" (et les noms Grecs sont pénibles, je trouve) là où je voudrais quelque chose de plus"familier", on verra jusqu’où ça me mène...

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Je trouve aussi que cette présentation façon pièce de théâtre peut heurter le rythme. Mais c'est sans doute parce qu'on a très peu l'habitude de lire sous ce format.

A noter que si Pasiphaé rend visite à son fils tous les soirs, et que Thésée est arrivé depuis plusieurs semaines, elle aurait normalement dû le prévenir avant!
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