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Saenad colle l'oreille contre le premier miroir, attentif au moindre bruit. Il tapote la glace et perçoit aussitôt un bruit furtif, comme si une créature se tenait derrière. Il recommence le même manège à chaque miroir et tous produisent le même bruit, à l'exception du dernier. Il en examine les bords avec soin et repère de minuscules charnières. Il tire lentement le miroir, découvrant un petit tunnel formant un angle oblique avec le couloir où vous êtes.
- Le groupe emprunte le passage secret.
Cet étroit tunnel, très ancien, a été creusé à même les fondations de l'édifice voilà plusieurs siècles. Le passage s'élargit en atteignant un escalier en spirale grossièrement taillé à même la roche. A un palier, un couloir jonché de gravats descend en pente douce, mais s'interrompt devant une grille scellée dans le sol à travers laquelle vous apercevez en contrebas un corridor de marbre gris menant à une porte de bronze. Soudain, un bruit de clef résonne dans le couloir et la porte s'ouvre lentement. Quatre barbares font leur apparition. Ils s'arrêtent juste sous la grille et déroulent un parchemin. « Que dit-il, Dérek ? », murmure l'un d'eux. Celui qui tient le parchemin se gratte la tête en tournant le document dans tous les sens. « Euh... Je ne sais pas lire... » Un gros barbare roux pousse un cri de rage et lui arrache le papier des mains. « Donne-moi ça, maudite bête ! Tu n'es bon qu'à cogner ! » Au bout d'une longue minute, il relève la tête : « Il est marqué que l'un des passages de devant est un cul-de-sac. Nous n'allons tout de même pas faire confiance à un bout de papier ! Allons-y, nous ver¬rons bien. » Les barbares sont sur le point de partir.
- Vous pouvez soulever la grille pour leur tomber dessus.
- Ou préférer continuer à les observer.
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Là, on va la jouer tactique. On va laisser ces brutes débiles combattre les monstres et déclencher les pièges à notre place. En supposant qu'ils s'en sortent, ils seront tellement affaiblis qu'on les achèvera facilement.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Oui je suis d'accord avec Sire Flongand.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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Les barbares s'éloignent dans le couloir en évoquant la beuverie qui scellera leur victoire. Leur optimisme vous arrache un sourire mauvais.
- Aubin peut recourir à ses perceptions extrasensorielles, mais dans ce cas, il doit me dire pile ou face
Sinon, le groupe peut :
- desceller la grille et sauter dans le couloir pour suivre les barbares
- attendre la suite des événements depuis ce poste d'observation
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Si Aubin veut utiliser ses perceptions, ça me va. Sinon, on n'a qu'à les suivre en restant à distance.
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Je suis du même avis.
As-tu une intuition dont tu as le secret Aubin?
Sinon, on peut les suivre. Je ne vois pas trop l'intérêt de rester plus longtemps ici.
Si les barbares portaient une armure métallique, je conserve en tête la Foudre Blanche. Sinon, je change pour mémoriser Miasmes (en admettant donc que ce sort inflige 1 dé de dégâts à chacun moins leur protection).
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Tout pareil.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
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La concentration d'Aubin est insuffisante pour prétendre dépasser le stade des apparences.
Vous descellez la grille à l'est, vous sautez en silence dans le couloir en contrebas, puis vous suivez la voie empruntée par les barbares. Arrivé à une bifurcation, allez-vous suivre le couloir de gauche, pavé de marbre noir ou bien celui de droite, pavé de marbre blanc ?
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Du marbre noir, c'est assez ce que je verrais dans la grand-salle de mon château quand je l'aurai restauré avec ma part de la récompense. Je vote pour la gauche !
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Ouh là, ça sent le choix dangereux. Contrairement à sire Flongand, je choisirai plutôt le blanc, une couleur rassurante et synonyme de tranquillité.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
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«Quelque chose me dit que la troupe de barbares a suivi le même raisonnement. J’opterais moi aussi pour la voie marbrée de blanc.»
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15/05/2011, 19:25
(Modification du message : 15/05/2011, 19:26 par Sukumvit.)
Vous arrivez devant une porte que vous ouvrez, découvrant deux barbares en train d'achever un assassin. Deux autres cadavres vêtus de noir gisent sur le sol. A l'instant où vous débouchez dans la pièce, le dernier assassin, dans un ultime réflexe, lance un shuriken dans votre direction. La lame inflige 1 dé - 1 de Dommages à Sire Flongand. Un coup de hache achève l'assassin. Les deux barbares reportent maintenant leur attention sur vous ! Une lueur de jubilation meurtrière brille dans leurs yeux... Et dire que leurs deux compères ne vont pas tarder à arriver.
Ils ont 7 d'habileté, donc Saenad joue le premier, puis eux, puis vous trois dans l'ordre qui vous arrange.
Ils ont un point de protection.
Dans l'ordre de marche, le 1er et le 2ème se trouvent chacun face à un barbare au corps à corps, le 3 et le 4 sont derrière.
Il est inutile de fuir, puisque les deux autres barbares vont arriver derrière vous d'un instant à l'autre.
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A morrrrrrrrrrrrrrt !
Bon je frappe donc le barbare qui se trouve à côté de moi. Je lance les dés.....Argh 11, j'ai raté mon coup !
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
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On est au corps à corps ou je peux faire usage de mon arc?
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