Bon, je vais traiter les réponses dans l'ordre:
tout d'abord, pour finir de répondre à Skarn: en ce qui concerne les yeux de la créature du lac, non, ils ne permettent pas de lancer hypnose mais amplifient les effets de ce sort (contre le boss). Pour les points d'expérience lorsqu'on épargne quelqu'un: oui, ils sont attribués. mais j'ai constaté en effet que ça n'était pas toujours spécifié. je ne me souviens plus si j'avais laissé des indications là dessus. dans le cas contraire, c'est une omission de ma part. Pour la cohérence feuille d'aventure - nombre de sorts, je ne vois pas? Ou réside l'incohérence?
Pour les noms, je comprends que les références manquent de subtilité. a l'époque, je l'avais écrit en prenant pour adresse imaginaire un/des enfants qui, plausiblement, ignoraient lesdites références. Lorsqu'on les connaît, je reconnais que ça alourdit l'ensemble.
Meneldur: Je suis enchanté de la comparaison avec sorcellerie. C'est de loin ma série préférée et j'ai effectivement tenté d'écrire Evandil dans l'esprit de sorcellerie (charme, magie omniprésente, côté mystérieux et intriguant, atmosphère un peu ouatée, brumeuse; des choses se trament dans l'ombre, des forces supérieures sont de la parties, mais on ne peut en avoir d'aperçu direct). Mais c'est en poussant cet esprit trop loin que mon livre pêche, apparemment. Je me rends compte que j'ai dû beaucoup trop forcer sur les secrets (situations bloquées si on n'a pas le numéro du paragraphe auquel se rendre, lui même livré par une révélation faite préalablement / par un artefact à trouver...).
Oiseau: Ravi que le style passe agréablement.
En revanche, mea culpa pour le côté "one true path" (est-ce la même chose quand tu parles de PFA? Je ne connais pas l'abréviation). Lorsque je l'ai écrit, j'étais grisé par cet aspect "passages secrets" dissimulés au hasard de l'aventure. Là encore j'ai du forcer la dose. car il est vrai qu'on peut aisément se retrouver bloqué sans l'objet / l'information adéquate (je pense avoir été beaucoup influencé, en cela, par la lecture des quêtes du graal, que j'adorais petit. On retrouve cette difficulté un peu extrême dans certains volumes. Mais là, comme mon livre est plus long, le fait de se retrouver bloqué est plus frustrant, j'imagine).
Pour ce qui est des souterrains, je ne pensais pas qu'ils puissent s'avérer aussi labyrinthiques. ils constituent une partie secondaire du livre (78 paragraphes exactement), et je ne pensais pas l'avoir rendue si ardue.
En ce qui concerne le boss de fin (référence aux chevaliers du zodiaque, et notamment à masque de mort), je me suis peut-être laissé aveugler par l'aspect "combat impossible" des chevaliers du zodiaque, justement - david et goliath, en somme, simple mortel contre dieu vivant…
En collectant certains objets / enchantement / sorts… tout au long du jeu, et sans les avoir tous, on peut en venir à bout sans trop de problèmes. Mais là encore, ça n’était que théorique. Dans la manière dont j’avais envisagé de doser la difficulté, Blaine était battable facilement avec TOUS les bonus. Sinon, la difficulté fluctuait en fonction de leur nombre (certains bonus permettent de minimiser systématiquement les dégâts, d’autres, sans parler des fioles de santé, de refaire le plein de vie même en cas de mort…). Il est possible qu’un fossé existe entre la difficulté telle que je l’avais envisagé et la difficulté réelle.
En revanche, il est sûr en effet que l’aventure à, dans l’optique de la confrontation finale, pour but principal la collecte desdits objets de bonification. Là encore, j’ai du forcer la dose sur les bonus à collecter / secrets en tous genres, pensant que ça ajouterait de l’attrait à l’aventure (ce qui est sans doute le cas lorsqu’on fait un sans faute, mais dans le cas contraire effectivement, là tâche est rude et frustrante).
Désolé pour cette difficulté apparemment trop aléatoire et mal dosée. Etant donné que c’était mon premier livre, j’ai du faire un peu à tâtons dans ce domaine.
Le fait de découvrir ce forum m’a donné envie de m’y remettre. Je tâcherais d’éviter de telles erreurs de jugement pour le prochain (même si je tiens à mes passages secrets etc. Je trouve que ça donne (si ça n’est pas excessif, donc), un plus à l’aventure, en laissant augurer au joueur qu’il ne maîtrise pas tout, que des éléments sybillins lui échappent sont à découvrir, qu’un mystère rôde et plane au dessus-de lui (cf des lieux qu’on aperçoit mais auxquels on ne peut pas accéder tout de suite… on reste sur sa faim mais on reste dans l’expectative…)
Et merci pour vos critiques sincères
tout d'abord, pour finir de répondre à Skarn: en ce qui concerne les yeux de la créature du lac, non, ils ne permettent pas de lancer hypnose mais amplifient les effets de ce sort (contre le boss). Pour les points d'expérience lorsqu'on épargne quelqu'un: oui, ils sont attribués. mais j'ai constaté en effet que ça n'était pas toujours spécifié. je ne me souviens plus si j'avais laissé des indications là dessus. dans le cas contraire, c'est une omission de ma part. Pour la cohérence feuille d'aventure - nombre de sorts, je ne vois pas? Ou réside l'incohérence?
Pour les noms, je comprends que les références manquent de subtilité. a l'époque, je l'avais écrit en prenant pour adresse imaginaire un/des enfants qui, plausiblement, ignoraient lesdites références. Lorsqu'on les connaît, je reconnais que ça alourdit l'ensemble.
Meneldur: Je suis enchanté de la comparaison avec sorcellerie. C'est de loin ma série préférée et j'ai effectivement tenté d'écrire Evandil dans l'esprit de sorcellerie (charme, magie omniprésente, côté mystérieux et intriguant, atmosphère un peu ouatée, brumeuse; des choses se trament dans l'ombre, des forces supérieures sont de la parties, mais on ne peut en avoir d'aperçu direct). Mais c'est en poussant cet esprit trop loin que mon livre pêche, apparemment. Je me rends compte que j'ai dû beaucoup trop forcer sur les secrets (situations bloquées si on n'a pas le numéro du paragraphe auquel se rendre, lui même livré par une révélation faite préalablement / par un artefact à trouver...).
Oiseau: Ravi que le style passe agréablement.
En revanche, mea culpa pour le côté "one true path" (est-ce la même chose quand tu parles de PFA? Je ne connais pas l'abréviation). Lorsque je l'ai écrit, j'étais grisé par cet aspect "passages secrets" dissimulés au hasard de l'aventure. Là encore j'ai du forcer la dose. car il est vrai qu'on peut aisément se retrouver bloqué sans l'objet / l'information adéquate (je pense avoir été beaucoup influencé, en cela, par la lecture des quêtes du graal, que j'adorais petit. On retrouve cette difficulté un peu extrême dans certains volumes. Mais là, comme mon livre est plus long, le fait de se retrouver bloqué est plus frustrant, j'imagine).
Pour ce qui est des souterrains, je ne pensais pas qu'ils puissent s'avérer aussi labyrinthiques. ils constituent une partie secondaire du livre (78 paragraphes exactement), et je ne pensais pas l'avoir rendue si ardue.
En ce qui concerne le boss de fin (référence aux chevaliers du zodiaque, et notamment à masque de mort), je me suis peut-être laissé aveugler par l'aspect "combat impossible" des chevaliers du zodiaque, justement - david et goliath, en somme, simple mortel contre dieu vivant…
En collectant certains objets / enchantement / sorts… tout au long du jeu, et sans les avoir tous, on peut en venir à bout sans trop de problèmes. Mais là encore, ça n’était que théorique. Dans la manière dont j’avais envisagé de doser la difficulté, Blaine était battable facilement avec TOUS les bonus. Sinon, la difficulté fluctuait en fonction de leur nombre (certains bonus permettent de minimiser systématiquement les dégâts, d’autres, sans parler des fioles de santé, de refaire le plein de vie même en cas de mort…). Il est possible qu’un fossé existe entre la difficulté telle que je l’avais envisagé et la difficulté réelle.
En revanche, il est sûr en effet que l’aventure à, dans l’optique de la confrontation finale, pour but principal la collecte desdits objets de bonification. Là encore, j’ai du forcer la dose sur les bonus à collecter / secrets en tous genres, pensant que ça ajouterait de l’attrait à l’aventure (ce qui est sans doute le cas lorsqu’on fait un sans faute, mais dans le cas contraire effectivement, là tâche est rude et frustrante).
Désolé pour cette difficulté apparemment trop aléatoire et mal dosée. Etant donné que c’était mon premier livre, j’ai du faire un peu à tâtons dans ce domaine.
Le fait de découvrir ce forum m’a donné envie de m’y remettre. Je tâcherais d’éviter de telles erreurs de jugement pour le prochain (même si je tiens à mes passages secrets etc. Je trouve que ça donne (si ça n’est pas excessif, donc), un plus à l’aventure, en laissant augurer au joueur qu’il ne maîtrise pas tout, que des éléments sybillins lui échappent sont à découvrir, qu’un mystère rôde et plane au dessus-de lui (cf des lieux qu’on aperçoit mais auxquels on ne peut pas accéder tout de suite… on reste sur sa faim mais on reste dans l’expectative…)
Et merci pour vos critiques sincères