23/04/2022, 14:37
En tant qu'amateur de longs paragraphes (à lire et à écrire), voici mon avis.
La limite des 50 paragraphes est emblématique du mini-Yaz : elle permet à la fois de faciliter l'entrée des nouveaux et de stimuler la créativité, comme cela a été dit.
Je ne suis pas favorable à un changement de ce plafond.
En revanche, l'introduction d'une limite en nombre de mots (ou de signes ?) peut être intéressante avec deux objectifs : permettre de rendre la lecture de l'ensemble des oeuvres (et donc le vote) un peu plus facile (ou moins intimidant), et éviter que certains auteurs compensent artificiellement le petite nombre de sections par un texte très long, ce qui n'irait pas dans le bon sens. Structure et longueur de texte sont deux choses tout à fait différentes.
La plupart des appels à textes en littérature classique imposent des limitations (certes, aussi pour des raisons pratiques d'objectifs de parution) en nombre de signes.
D'accord également avec Outremer sur la nécessité que ce nombre de signes ou de mots soit suffisamment élevé pour ne pas décourager. L'idée serait plutôt d'éviter des oeuvres trop longues (par exemple, Mea Culpa compte moins de 30 000 mots - et je pense que cela reste tout à fait raisonnable - tandis que Yin Yang atteint les 50 000 , ce qu'on peut trouver excessif et qui traduit d'ailleurs son format bancal de vraie fausse mini-AVH).
La limite des 50 paragraphes est emblématique du mini-Yaz : elle permet à la fois de faciliter l'entrée des nouveaux et de stimuler la créativité, comme cela a été dit.
Je ne suis pas favorable à un changement de ce plafond.
En revanche, l'introduction d'une limite en nombre de mots (ou de signes ?) peut être intéressante avec deux objectifs : permettre de rendre la lecture de l'ensemble des oeuvres (et donc le vote) un peu plus facile (ou moins intimidant), et éviter que certains auteurs compensent artificiellement le petite nombre de sections par un texte très long, ce qui n'irait pas dans le bon sens. Structure et longueur de texte sont deux choses tout à fait différentes.
La plupart des appels à textes en littérature classique imposent des limitations (certes, aussi pour des raisons pratiques d'objectifs de parution) en nombre de signes.
D'accord également avec Outremer sur la nécessité que ce nombre de signes ou de mots soit suffisamment élevé pour ne pas décourager. L'idée serait plutôt d'éviter des oeuvres trop longues (par exemple, Mea Culpa compte moins de 30 000 mots - et je pense que cela reste tout à fait raisonnable - tandis que Yin Yang atteint les 50 000 , ce qu'on peut trouver excessif et qui traduit d'ailleurs son format bancal de vraie fausse mini-AVH).