10/01/2015, 00:35
Ça doit être drôle pour les gens de lire des tas d'échanges sous spoilers !
C'est reparti pour la route
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Spoiler
Effectivement, les touches d'avancement sont la base même de l'AVH (qui est, comme tu l'as probablement remarqué, un clin d'oeil au concept d'AVH lui-même, où l'on intègre à l'histoire le mécanisme réel de "recommencer un LDVELH" autant de fois qu'il le faut pour le réussir, en prenant en compte le savoir des fois précédentes").
Pour l'incohérence, effectivement elle existe, et effectivement j'ai réfléchit à la traîter (il existe d'ailleurs exactement la même lorsqu'on cherche des bâtiments notables dans le centre-ville, et j'y ai eu la même réflexion).
Pourquoi je ne l'ai pas fait ? Simple raison pratique : il s'agit dans les deux cas d'endroits que l'on ne visite normalement qu'une ou deux fois, et j'estimais que cela ne valait pas le coup de rajouter des sections et des codes pour gérer cela. Si cela avait été un jeu vidéo/une AVH informatisée, j'aurais fait le nécessaire
C'est amusant, car c'est précisément l'opposé qui m'a motivé : j'ai toujours détesté les trous de scénarios énormes que cause la possibilité de voyages dans le temps dans n'importe-quelle histoire. J'ai donc profité de cette histoire pour exprimer mon opinion d'auteur là-dessus : c'est impossible, et ça doit le rester !
(avec juste une petite entorse dans la logique stricte des choses pour permettre au lecteur d'avoir un personnage à jouer, quand même)
(08/01/2015, 14:00)artless a écrit : Les deux, en fait. Tout ce qui donne au lecteur le sentiment d'avoir progressé malgré le fait qu'il tourne en boucle.
A propos j'ai noté une petite incohérence quand on fouille la tour de l'académie : on met une heure à trouver le bon bureau, mais en cas de nouvelle visite ne faudrait-il pas pouvoir aller directement à la bonne porte sans perdre de temps?
Effectivement, les touches d'avancement sont la base même de l'AVH (qui est, comme tu l'as probablement remarqué, un clin d'oeil au concept d'AVH lui-même, où l'on intègre à l'histoire le mécanisme réel de "recommencer un LDVELH" autant de fois qu'il le faut pour le réussir, en prenant en compte le savoir des fois précédentes").
Pour l'incohérence, effectivement elle existe, et effectivement j'ai réfléchit à la traîter (il existe d'ailleurs exactement la même lorsqu'on cherche des bâtiments notables dans le centre-ville, et j'y ai eu la même réflexion).
Pourquoi je ne l'ai pas fait ? Simple raison pratique : il s'agit dans les deux cas d'endroits que l'on ne visite normalement qu'une ou deux fois, et j'estimais que cela ne valait pas le coup de rajouter des sections et des codes pour gérer cela. Si cela avait été un jeu vidéo/une AVH informatisée, j'aurais fait le nécessaire
Citation :Oui, j'ai trouvé l'explication compréhensible et très bien amenée. D'un autre côté j'ai un faible pour les scénarios de voyages temporels et les théories qui s'y rattachent me sont familières, donc le fait que le temps lui-même oeuvre pour effacer le paradoxe m'a paru tout à fait sensé. C'est également le dénouement le plus élégant à mon sens, sinon le plus spectaculaire.
Par contre si j'avais lu cette AVH étant ado je serais sans doute resté un peu dubitatif à la fin.
C'est amusant, car c'est précisément l'opposé qui m'a motivé : j'ai toujours détesté les trous de scénarios énormes que cause la possibilité de voyages dans le temps dans n'importe-quelle histoire. J'ai donc profité de cette histoire pour exprimer mon opinion d'auteur là-dessus : c'est impossible, et ça doit le rester !
(avec juste une petite entorse dans la logique stricte des choses pour permettre au lecteur d'avoir un personnage à jouer, quand même)
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
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