Un petit mot sur mon dernier achat : le fameux premier album de Led Zeppelin.
Et bien j'ai presque envie de dire : enfin un bon album du Zep. ^^
Il s'agit d'un disque assez homogène en qualité. La première face est dantesque avec notamment un enchaînement "Babe i'm gonna leave you" aux accents folk, "you shook me", blues des plus classiques, et "Dazed and confused", qui lorgne vers le psyché à tendance heavy.
La seconde face démarre gentiment avec "your time is gonna come", qui ressemble pas mal au titre d'ouverture "good times, bad times", deux titres assez pop. S'ensuit un très bon enchaînement entre "black mountain side", un instrumental hypnotique influencé par la musique indienne, et " Communication Breakdown" qui met une sacrée tarte dans la tronche.
L'album se termine par "i can't quit you babe", une reprise assez bonne du blues d'Otis Rush (mais qui n'a pas la classe de l'original), et "How many more times" qui commence comme un blues, avant de s'envoler vers des contrées presque prog (un passage rappelle d'ailleurs le fameux "Beck's bolero") avec de longs passages instrumentaux.
En somme, un album de bonne tenue, le premier d'un groupe mythique, qui avait déjà une excellente cohésion (la section rythmique John Paul Jones / John Bonham est formidable), ainsi qu'un guitariste hors pair (Jimmy Page, qu'on ne présente plus).
Et bien j'ai presque envie de dire : enfin un bon album du Zep. ^^
Il s'agit d'un disque assez homogène en qualité. La première face est dantesque avec notamment un enchaînement "Babe i'm gonna leave you" aux accents folk, "you shook me", blues des plus classiques, et "Dazed and confused", qui lorgne vers le psyché à tendance heavy.
La seconde face démarre gentiment avec "your time is gonna come", qui ressemble pas mal au titre d'ouverture "good times, bad times", deux titres assez pop. S'ensuit un très bon enchaînement entre "black mountain side", un instrumental hypnotique influencé par la musique indienne, et " Communication Breakdown" qui met une sacrée tarte dans la tronche.
L'album se termine par "i can't quit you babe", une reprise assez bonne du blues d'Otis Rush (mais qui n'a pas la classe de l'original), et "How many more times" qui commence comme un blues, avant de s'envoler vers des contrées presque prog (un passage rappelle d'ailleurs le fameux "Beck's bolero") avec de longs passages instrumentaux.
En somme, un album de bonne tenue, le premier d'un groupe mythique, qui avait déjà une excellente cohésion (la section rythmique John Paul Jones / John Bonham est formidable), ainsi qu'un guitariste hors pair (Jimmy Page, qu'on ne présente plus).