14/10/2013, 16:18
Pour l'instant je suis en pause aussi pour plusieurs raisons, d'une part le manque de disponibilité, d'autre part, parce que si le potentiel des AVH me semble très intéressant, je ne trouve pas encore de terrain commun entre un public dépassant la dizaine et moi.
Je ne trouve pas de truc simple et rapide à écrire qui m'intéresse. Et d'un autre côté, si c'est complexe et long, je ne vois que peu de lecteurs qui accrocheraient.
Du coup, j'ai du mal à m'investir sur des projets annuels, et je migre vers des petits projets d'écriture qui ont de moins en moins à voir avec les AVH. En ce moment, j'en suis même à des projets de moins de 4h: j'écris un texte, je le récite, et c'est fini! Et là, du coup, cela ne me dérange pas de n'être écouté que par trois auditeurs!
Sinon, quand je travaille sur une AVH, je ne compte pas sur la motivation comme "moteur". Tout comme j'ai des créneaux pour travailler ou faire des courses, j'ai un temps réservé pour l'écriture.
Souvent, je ne fais que de la prise de notes ou de la rédaction de scènes isolées, mais du moment que cela rentre dans un plan plus grand, cela finira par être intégré. C'est pourquoi je mets toujours un grand soin à planifier, afin de pas avoir à remettre en question mes efforts lors de l'écriture. D'une certaine manière, c'est comme si je couchais ma motivation "générale" par écrit. Du coup, lors de chaque séance d'écriture, je n'ai plus qu'à me poser la question "qu'est que j'ai envie de dire à propos de telle ou telle scène.
Ca marche en tout cas pour des projets trimestriels: pour les Noyés, j'ai dû passer un mois à dresser les plans, et deux mois à rédiger.
Je ne trouve pas de truc simple et rapide à écrire qui m'intéresse. Et d'un autre côté, si c'est complexe et long, je ne vois que peu de lecteurs qui accrocheraient.
Du coup, j'ai du mal à m'investir sur des projets annuels, et je migre vers des petits projets d'écriture qui ont de moins en moins à voir avec les AVH. En ce moment, j'en suis même à des projets de moins de 4h: j'écris un texte, je le récite, et c'est fini! Et là, du coup, cela ne me dérange pas de n'être écouté que par trois auditeurs!
Sinon, quand je travaille sur une AVH, je ne compte pas sur la motivation comme "moteur". Tout comme j'ai des créneaux pour travailler ou faire des courses, j'ai un temps réservé pour l'écriture.
Souvent, je ne fais que de la prise de notes ou de la rédaction de scènes isolées, mais du moment que cela rentre dans un plan plus grand, cela finira par être intégré. C'est pourquoi je mets toujours un grand soin à planifier, afin de pas avoir à remettre en question mes efforts lors de l'écriture. D'une certaine manière, c'est comme si je couchais ma motivation "générale" par écrit. Du coup, lors de chaque séance d'écriture, je n'ai plus qu'à me poser la question "qu'est que j'ai envie de dire à propos de telle ou telle scène.
Ca marche en tout cas pour des projets trimestriels: pour les Noyés, j'ai dû passer un mois à dresser les plans, et deux mois à rédiger.