30/06/2013, 15:16
Quand je relis mon manuscrit, je me rappel toujours les journées de travail perdus, les nuits que je n'ai jamais dormi, les heures de cours a réfléchir à l'agencement des paragraphes et des figures de styles. Puis après, au moment d'écrire, je regarde dehors et je pense au monde extérieur.
Un monde pourri, gâché, perdu. Nous avons troqué notre rêve contre les faveurs éphémères et nihiliste des dieux "argent" et "reconnaissance". Des faveurs sans lendemain, des faveurs stériles et amers. Qui vit meurt. Ce qui est gagné n'est acquis que pour être perdu dans la valse éternel de la vie... enfin, pardon, dans notre système sociétaire que nous avons créer de toute pièce.
Maintenant, quand je m'assoit derrière mon clavier et que je regarde mon écran, où les précieuses écrits sont afficher sur un écran plasmique high-tech, je souris et je me dis : "Écrire ? Pourquoi faire ?"
Les personnes me diront :
"Pour toi"
Je leurs souris et leurs dis :
"Je sais."
Je ne dis pas la vérité :
"Je connais le mensonge chansonnesque qu'on nous déballe à chaque fois. Que vous essayez d'entretenir nos rêves. Rêves qui ne vont subir qu'une chose. Une distorsion et une décrépitude sans fin et sans but."
A quoi bon vivre un rêve ? Si, toujours, dans le rêve, nous nous éveillons pour nous rendre compte de l'amer réalité qui nous reviens en pleine poire ?
Si toi aussi t'en as marre de me lire, rendez-vous ici.
Un monde pourri, gâché, perdu. Nous avons troqué notre rêve contre les faveurs éphémères et nihiliste des dieux "argent" et "reconnaissance". Des faveurs sans lendemain, des faveurs stériles et amers. Qui vit meurt. Ce qui est gagné n'est acquis que pour être perdu dans la valse éternel de la vie... enfin, pardon, dans notre système sociétaire que nous avons créer de toute pièce.
Maintenant, quand je m'assoit derrière mon clavier et que je regarde mon écran, où les précieuses écrits sont afficher sur un écran plasmique high-tech, je souris et je me dis : "Écrire ? Pourquoi faire ?"
Les personnes me diront :
"Pour toi"
Je leurs souris et leurs dis :
"Je sais."
Je ne dis pas la vérité :
"Je connais le mensonge chansonnesque qu'on nous déballe à chaque fois. Que vous essayez d'entretenir nos rêves. Rêves qui ne vont subir qu'une chose. Une distorsion et une décrépitude sans fin et sans but."
A quoi bon vivre un rêve ? Si, toujours, dans le rêve, nous nous éveillons pour nous rendre compte de l'amer réalité qui nous reviens en pleine poire ?
Si toi aussi t'en as marre de me lire, rendez-vous ici.