Ha! le Cercle des Démotivés a déjà perdu un de ces membres, c'est bon signe!
La méthode "pyramidale" ne demande pas de tout écrire, au contraire, elle n'exige que le minimum indispensable pour tenir la route.
La route, c'est les étapes principales de A à B. Par exemple, du sweet home à la salle du trésor, il y aura A1, les marais, A2 la forêt enchantée, B1, le château, B2 le dragon.
Et si tu as une idée pour A2 la forêt enchantée, tu notes A2.1, la clairière, A2.2, la cabane abandonnée. Tu crées des sous-noeuds là où l'inspiration t'amène.
Mais pour garder la structure, tu équilibres: si la forêt fait 30 § et le marais seulement 2, il faudra canaliser un peu plus l'imagination sur A1 pour ajouter A1.1, le feu follet, A1.2 les sables mouvants, A1.3, la népenthès.
Et bien sûr, il peut y avoir quelqu'un finalement dans A2.2, la cabane abandonnée. Un sorcière qui parle à travers le feu de la cheminée si on s'en approche (A2.2.1), et on peut lui poser deux questions (A2.2.1.1 et A2.2.1.2), etc.
Avec cette méthode, la structure principale n'est qu'une enveloppe qui ne se met pas en travers de ton chemin mais qui t'aide à fermer les fils et clore l'histoire dans un beau petit paquet bien ficelé (comprendre: un format assez lisible). Mais c'est vrai que cette méthode structure d'une certaine manière (par exemple hiérarchique), et il y a d'autres formes littéraires intéressantes, comme celle, non-hiérarchique, je dirais presque sauvage, de Sukumvit et Albatur, qui favorise d'autres qualités (par exemple, inspiration très libre, imprévisibilité, dynamisme, sensation de vie et de surprise).
Ah, et je suis d'accord avec Skarn qu'il est extrêmement fertile de partager les avis, de se critiquer. De l'idée à la réalisation, il y a toute une série d'outils à employer, de solutions à des problèmes nouveaux à appliquer, et personne ne les possède tous d'avance.
La méthode "pyramidale" ne demande pas de tout écrire, au contraire, elle n'exige que le minimum indispensable pour tenir la route.
La route, c'est les étapes principales de A à B. Par exemple, du sweet home à la salle du trésor, il y aura A1, les marais, A2 la forêt enchantée, B1, le château, B2 le dragon.
Et si tu as une idée pour A2 la forêt enchantée, tu notes A2.1, la clairière, A2.2, la cabane abandonnée. Tu crées des sous-noeuds là où l'inspiration t'amène.
Mais pour garder la structure, tu équilibres: si la forêt fait 30 § et le marais seulement 2, il faudra canaliser un peu plus l'imagination sur A1 pour ajouter A1.1, le feu follet, A1.2 les sables mouvants, A1.3, la népenthès.
Et bien sûr, il peut y avoir quelqu'un finalement dans A2.2, la cabane abandonnée. Un sorcière qui parle à travers le feu de la cheminée si on s'en approche (A2.2.1), et on peut lui poser deux questions (A2.2.1.1 et A2.2.1.2), etc.
Avec cette méthode, la structure principale n'est qu'une enveloppe qui ne se met pas en travers de ton chemin mais qui t'aide à fermer les fils et clore l'histoire dans un beau petit paquet bien ficelé (comprendre: un format assez lisible). Mais c'est vrai que cette méthode structure d'une certaine manière (par exemple hiérarchique), et il y a d'autres formes littéraires intéressantes, comme celle, non-hiérarchique, je dirais presque sauvage, de Sukumvit et Albatur, qui favorise d'autres qualités (par exemple, inspiration très libre, imprévisibilité, dynamisme, sensation de vie et de surprise).
Ah, et je suis d'accord avec Skarn qu'il est extrêmement fertile de partager les avis, de se critiquer. De l'idée à la réalisation, il y a toute une série d'outils à employer, de solutions à des problèmes nouveaux à appliquer, et personne ne les possède tous d'avance.