14/10/2008, 00:54
Voilà, j'ai lu la semaine dernière ce "Pirates du Crâne Noir" et je peux donner mon avis. Déjà la traduction de Meneldur assure, on se sent dans un vrai livre, et la mise en page de Salla y est aussi pour quelque chose.
Je suis fan de Green suite à ses 2 premiers ouvrages magistraux, tant dans leur conception que dans leurs scénarios. J'étais toutefois resté sur un Malédiction de la Momie (bien que traduit officieusement, mais quand même) que j'avais trouvé très faible. J'attendais donc avec impatience ce 4ème livre, dans l'espérance de retrouver mon auteur favori.
Je suis satisfait, mais pas complètement. Ce livre est un bon LDVELH, avec une ambiance très réussie que j'ai adorée.
Côté conception, je n'ai pas retrouvé le génie de Green avec ses intrigues à tiroir ; ici, c'est plus linéaire, j'ai trouvé.
Autre point qui m'a déçu : le style est un peu trop sobre par rapport à ce à quoi l'auteur m'avait habitué. Les rencontres avec le pirate qui a tué nos parents aurait mérité plus d'émotion, la rencontre avec Conyn aurait dû être moins téléphonée, ...
Niveau challenge, sachant que je joue sans lancer de dés, j'ai trouvé ça intéressant, mais là aussi sans toute la saveur exquise des 2 premiers livres de l'auteur. Pour trouver les endroits indispensables, il y a un peu trop une part de chance. Heureusement, il y a une cohérence dans les actions à effectuer : pour couper ses liens il faut un objet tranchant porté au bon endroit, pour retrouver le bateau de Conyn il ne faut pas qu'il ait échoué avant, ...
Je dois être décidément un habitué de la logique Green car j'ai passé la 1ère partie sans encombres alors que rétrospectivement c'est l'endroit le plus difficile. Comme pour le Labyrinthe d'Outremer, c'est jouissif quand c'est comme ça. Il m'a cependant fallu une 2ème tentative car j'avais loupé toute une partie de l'île (avec le fou, le golem de trésor, le village indigène), je suis donc mort à la toute fin.
Bref, un 7/10 au final. ça reste une lecture divertissante et une ambiance pirate réussie. Je vais me mettre au Hurlement du Loup-Garou de Ceba dès que je peux.
PS : Quand on demande si c'est le jour ou la nuit, il faut considérer que tant qu'on n'a pas dit que la nuit était tombée, on est toujours le jour.
PPS : L'apparence finale de Cinnabre peut être déroutante, mais pourquoi pas.
Je suis fan de Green suite à ses 2 premiers ouvrages magistraux, tant dans leur conception que dans leurs scénarios. J'étais toutefois resté sur un Malédiction de la Momie (bien que traduit officieusement, mais quand même) que j'avais trouvé très faible. J'attendais donc avec impatience ce 4ème livre, dans l'espérance de retrouver mon auteur favori.
Je suis satisfait, mais pas complètement. Ce livre est un bon LDVELH, avec une ambiance très réussie que j'ai adorée.
Côté conception, je n'ai pas retrouvé le génie de Green avec ses intrigues à tiroir ; ici, c'est plus linéaire, j'ai trouvé.
Autre point qui m'a déçu : le style est un peu trop sobre par rapport à ce à quoi l'auteur m'avait habitué. Les rencontres avec le pirate qui a tué nos parents aurait mérité plus d'émotion, la rencontre avec Conyn aurait dû être moins téléphonée, ...
Niveau challenge, sachant que je joue sans lancer de dés, j'ai trouvé ça intéressant, mais là aussi sans toute la saveur exquise des 2 premiers livres de l'auteur. Pour trouver les endroits indispensables, il y a un peu trop une part de chance. Heureusement, il y a une cohérence dans les actions à effectuer : pour couper ses liens il faut un objet tranchant porté au bon endroit, pour retrouver le bateau de Conyn il ne faut pas qu'il ait échoué avant, ...
Je dois être décidément un habitué de la logique Green car j'ai passé la 1ère partie sans encombres alors que rétrospectivement c'est l'endroit le plus difficile. Comme pour le Labyrinthe d'Outremer, c'est jouissif quand c'est comme ça. Il m'a cependant fallu une 2ème tentative car j'avais loupé toute une partie de l'île (avec le fou, le golem de trésor, le village indigène), je suis donc mort à la toute fin.
Bref, un 7/10 au final. ça reste une lecture divertissante et une ambiance pirate réussie. Je vais me mettre au Hurlement du Loup-Garou de Ceba dès que je peux.
PS : Quand on demande si c'est le jour ou la nuit, il faut considérer que tant qu'on n'a pas dit que la nuit était tombée, on est toujours le jour.
PPS : L'apparence finale de Cinnabre peut être déroutante, mais pourquoi pas.
JFM a écrit :Dans les dictionnaires, la traduction française figée de cette expression figée est "en dépit de tout".Arf, j'ai bien fait de relire ce topic depuis le début... J'avais complètement zappé avoir eu autant d'influence sur ce que j'avais lu.^^
Vu le contexte du bouquin, je proposerais "contre vents et marées".^^
Pour les traductions de noms, je me lance et propose :
- Dr Malefact Dr Maléfice (classique)
- Beastface Face-de-bête sonne bien
- Keelhaul Jack Jack Traîne-la-quille
- Bladderwrack la traduction exacte est "fucus vésiculeux" (sorte de varech marin), on pourrait donc l'appeler "Levarech"
- l'arme Nightdeath Mort Nocturne