Soirée Enquête "Dieu est mort" (salle de jeu)

[Lady V]

Je fixe Valefor, un petit sourire en coin et reste assise, les bras baissés. Hors de question que je vote en sa faveur. Mais mon mépris ne va quand-même pas jusqu'à voter contre lui. Puis je me tourne vers Blandine :
"Je vois que vous avez fini votre jus de carotte. Peut-être pourrions nous continuer notre conversation sur des sujets... plus intéressants ?"

[divers]

Je regarde Dominique, et je fais un signe de pouce vers le haut, associé avec un clin d'oeil (qui dans une autre circonstance pourrait vouloir dire "super, n'est-ce pas ?")

[divers]

En regardant Dominique et Jésus : "Mouhahahaha , je suis teeeeeeeellement impatient de voir combien de temps tes protégés mettrons à se balancer leurs armes les plus puissantes sur la gueule, si vous n'êtes pas là pour les tenir ! c'est trop drôle. Je parie pas plus d'un an avant qu'on voit quelques bombinettes nucléaires, j'adooOOOooore."

[fifre]

Eh bien, les dés sont jetés. La belle brochette d'impies que voilà ! Ah ils sont beaux les princes du ciel et des enfers ! Des pleutres, des lâches, des fainéants ; voilà ce que vous êtes. Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Bande d'hypocrites ! vous n'attendiez donc qu'un prétexte pour cesser toute activité ; pour vous la couler douce. Même vous, les démons, avez rendu les armes. Vous vous êtes avachis, déconfits, déballonnés. Sous vos grands airs de noirceur belliqueuse il n'y a rien d'autre que du vent, du pet de lapin. Oh, ces messieurs-dames veulent une trêve ! servie sans doute avec du thé et des petits fours ? Quelle insulte au travail accompli jusque-là. Saboteurs, incompétents, incapables, traîtres, apostats ! Alors que dans le monde la foi se meurt ! Par votre faute ! Je n'aurais jamais imaginé avoir d'aussi piètres adversaires ni d'aussi piètres alliés. Allez donc, reprenez un verre. Enivrez-vous, faites agapes, riez, frappez-vous la bedaine, décadents ! Quand viendra le jugement, je m'occuperai moi-même du cas de vos âmes déliquescentes.

Dominique, profondément affecté, tomba à genoux et entra dans une méditation transcendantale dont les mantras inaudibles entrèrent en dissonance avec les fumeroles karmiques de Jésus.

[Jehan]

Valefor jette un regard à Dominique, trop bref pour pouvoir y lire quoi que ce soit. Il tend ensuite le bras, et lève le pouce vers le haut, clôturant le vote. Puis il s’adresse à l’archange à genoux d’une voix douce.

« Dieu ne joue pas aux dés, Monseigneur. »

Il recule alors de quelques pas vers Régis et lui murmure quelques mots.

[Lyzi Shadow]

(hj) Je compte :
Dominique : pouce bas,
Yves : abstention,
Jésus : pouce haut,
Blandine : pouce haut,
Baal : pouce haut,
Malphas : pouce haut,
Andréalphus : abstention,
Crocell : pouce haut,
Valefor : pouce haut. (/hj)
Régis compte du regard les différents votes.

« Il est temps d'annoncer le résultat. 6 votes "oui", 1 vote "non" et 2 abstentions. Les "oui" ont la majorité. Je déclare la proposition n°1 adoptée. Félicitations, Monseigneur Valefor.
Je vais vous laisser à présent environ une heure pour débattre de la deuxième proposition. Il va être 18h50, je vous rappellerai donc à 19h50. En attendant, je vais vous distribuer la carte pour que ceux qui voudraient commander des entrées. »
Régis distribue à chacun un carton plastifié avec le menu.

Entrées

• Petite salade
  
• Tartines, tapenade noire et tapenade verte
  
• Entrée du jour
  

Plat

• Planche à partager : charcuterie, fromage ou moitié-moitié
  
• Grande salade
  
• Snacks : pizza, croque-monsieur, steak haché (boeuf)
  
• Plat du jour
  

Dessert

• Mousse au chocolat
  
• Riz au lait
  
• 2 boules de glace (crèmes glacées : vanille, chocolat, caramel, café, rhum-raisin, pistache ; sorbets : cassis, framboise, citron vert)
  
• Dessert du jour
  

À ceux qui demandent quels sont les plats du jour, Régis pointe du doigt l'ardoise noire fixée au mur où il est indiqué à la craie :

Entrée du jour :
Soupe de légumes
Plat du jour :
Poulet rôti sauce au thym, avec frites, haricots ou moitié-moitié
Dessert du jour :
Tarte Tatin maison avec 1 boule de vanille

(hj) Le dimanche 21 avril à 20h00, heure du forum (GMT+2), il sera 19h00 dans le monde du jeu.
Je ralentis le temps parce que Lady V a prévenu qu'elle serait absente de jeudi soir à lundi matin.
Vous pouvez reprendre les apartés et lancer de nouvelles enquêtes, mais je ne donnerai pas les résultats d'enquête avant dimanche.
De plus, le délai de 24h00 pour copier une enquête ne courra pas entre jeudi 18 avril 20h00 et dimanche 21 avril 20h00. 
Les discussions publiques entre personnages dans la salle de jeu sont également possibles, dans la limite du raisonnable. (/hj)

[Salla]

J'évite de trop regarder Dominique lors de ses tirades, mais je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire de satisfaction.

Je fixe Valefor, un petit sourire en coin et reste assise, les bras baissés. Hors de question que je vote en sa faveur. Mais mon mépris ne va quand-même pas jusqu'à voter contre lui. Puis je me tourne vers Blandine :
"Je vois que vous avez fini votre jus de carotte. Peut-être pourrions nous continuer notre conversation sur des sujets... plus intéressants ?"

Sans plus la regarder que l'archange de la Justice, je réponds néanmoins au prince de la Luxure d'un signe de la main non dénué d'un soupçon de mépris. "Laissez-moi quelques minutes, je dois avant tout m'entretenir avec l'archange du Savoir."

Puis, à Yves : "Mon ami, tu ne peux pas, en vue des enjeux, rester passif toute la soirée. Faisons le point tous les deux."

(hj) Je discute avec Yves en aparté. (/hj)

[Gil Jugnot]

Eh bien, les dés sont jetés. La belle brochette d'impies que voilà ! Ah ils sont beaux les princes du ciel et des enfers ! Des pleutres, des lâches, des fainéants ; voilà ce que vous êtes. Quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Bande d'hypocrites ! vous n'attendiez donc qu'un prétexte pour cesser toute activité ; pour vous la couler douce. Même vous, les démons, avez rendu les armes. Vous vous êtes avachis, déconfits, déballonnés. Sous vos grands airs de noirceur belliqueuse il n'y a rien d'autre que du vent, du pet de lapin.  Oh, ces messieurs-dames veulent une trêve ! servie sans doute avec du thé et des petits fours ? Quelle insulte au travail accompli jusque-là. Saboteurs, incompétents, incapables, traîtres, apostats ! Alors que dans le monde la foi se meurt ! Par votre faute ! Je n'aurais jamais imaginé avoir d'aussi piètres adversaires ni d'aussi piètres alliés. Allez donc, reprenez un verre. Enivrez-vous, faites agapes, riez, frappez-vous la bedaine, décadents ! Quand viendra le jugement, je m'occuperai moi-même du cas de vos âmes déliquescentes.

Dominique, profondément affecté, tomba à genoux et entra dans une méditation transcendantale dont les mantras inaudibles entrèrent en dissonance avec les fumeroles karmiques de Jésus.

Prenant un air mi navré mi amusé, mais totalement sincère, je réponds : -" Voyons cher ami... une telle ardeur est elle nécessaire ? Je comprends votre point de vue qui est tout à fait intéressant mais est-il nécessaire d'en arriver à de telles menaces ? Allons... Du calme, rien ne sert de s'énerver... Nous sommes entre Créatures civilisées, que diable... oooops! Enfin... vous voyez ce que je veux dire..! Mangeons ensemble, voulez-vous..? Cela apaisera les frustrations et ouvrira les cœurs."

[Gil Jugnot]

Me tournant alors vers Régis, toujours le carnet et le crayon Ikea à la main, prêt à prendre des notes, je m'adresse à lui poliment : -" Régis, cher ami, pour moi ce sera les tartines aux tapenades, deux grandes planches à partager moitié moitié et deux boules de glace vanille chocolat s'il te plaît..." Puis, m'adressant à la cantonade, levant mon crayon tel une baguette de chef d'orchestre et faisant un geste d'invitation : - "Qui veut partager avec moi ces appétissantes planches?"

[Gil Jugnot]

J'évite de trop regarder Dominique lors de ses tirades, mais je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire de satisfaction.

Je fixe Valefor, un petit sourire en coin et reste assise, les bras baissés. Hors de question que je vote en sa faveur. Mais mon mépris ne va quand-même pas jusqu'à voter contre lui. Puis je me tourne vers Blandine :
"Je vois que vous avez fini votre jus de carotte. Peut-être pourrions nous continuer notre conversation sur des sujets... plus intéressants ?"

Sans plus la regarder que l'archange de la Justice, je réponds néanmoins au prince de la Luxure d'un signe de la main non dénué d'un soupçon de mépris. "Laissez-moi quelques minutes, je dois avant tout m'entretenir avec l'archange du Savoir."

Puis, à Yves : "Mon ami, tu ne peux pas, en vue des enjeux, rester passif toute la soirée. Faisons le point tous les deux."

(hj) Je discute avec Yves en aparté. (/hj)

- "Avec grand plaisir chère amie... La place me sera heureuse de vous y rencontrer à nouveau..."

[Gil Jugnot]

[hj] Je lance une enquête

[fifre]

« Dieu ne joue pas aux dés, Monseigneur. »

"Dieu non, mais vous oui." répondit sèchement Dominique.

Prenant un air mi navré mi amusé, mais totalement sincère, je réponds : -" Voyons cher ami... une telle ardeur est elle nécessaire ? Je comprends votre point de vue qui est tout à fait intéressant mais est-il nécessaire d'en arriver à de telles menaces ? Allons... Du calme, rien ne sert de s'énerver... Nous sommes entre Créatures civilisées, que diable... oooops! Enfin... vous voyez ce que je veux dire..! Mangeons ensemble, voulez-vous..? Cela apaisera les frustrations et ouvrira les cœurs."

L'ardeur ? C'est ce qui est le plus nécessaire en cet instant, et ce qui vous fait à tous le plus défaut. Quant aux menaces : quelles menaces ? Je ne menace personne ; je suis la justice ; pas un séide de Lucifer. Je vous avertis seulement - parce que je vous aime - du châtiment qui s'abattra sur vous, et dont je devrai prononcer la sentence. Je ne serai ni zélé ni clément. Et si je me fourvoie, alors je me jugerai moi-même.
Vous parliez de manger ? oui, bien, mangeons, enfin mangez, vous. Quelle pratique saugrenue. Régis, sert-moi une assiette vide s'il te plaît. Je veux pouvoir y contempler la pureté de mes intentions.

[Loi-Kymar]

"Régis, pour moi, ce sera un croque-monsieur, s'il te plaît."

La commande prise, je m'approche de Jésus.

"Pardon si je dérange, Jésus, mais je voulais te dire que j'ai été... impressionné par ton intervention de tout à l'heure. Et que je pense qu'en dépit de la fracture ontologique entre nous, nous devrions nous parler. Je suis dispo quand tu l'es."

[Jehan]

Valefor esquisse un sourire et se tourne de nouveau vers Régis.

« OTAN pour moi, comme on dit à Bruxelles.

Je prendrai l’entrée du jour. »

Une fois la commande passée, il se dirige vers Baal.

« Nous n’avons pas encore eu l’occasion de converser ce soir. Accepteriez-vous de m’accorder quelques minutes ? »

(hj) Je suis en aparté avec Baal s’il accepte, et je lance une enquête. (/hj)

[Lady V]

"Je me ferais bien un croque-monsieur mais lequel croquer ? Je me rabattrai donc sur une salade avec un verre de vin. Qu'avez-vous en rouge, Régis ?"