Le Cercle Sans Commencement (S1E01)
mes dés ont dit : à droite
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à gauche pour moi


@outremer : pour la mort et ta proposition de recommencer à l'endroit où on est mort, j'ai 2 remarque :
1) Si c'est une perte direct, on tourne en rond (lol)
2) Si on est trop faible, on risque de devoir refaire le combat plus d'une fois et d'avoir de plus en plus de mal à avancer, non ? Confus
сыграем !
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(04/02/2011, 11:55)Caïthness a écrit : @outremer : pour la mort et ta proposition de recommencer à l'endroit où on est mort

Je me suis mal exprimé : je suggérais de recommencer au début de l'aventure où on sera mort. Ce ne sont pas des AVH extrêmement longues, donc ça ne sera pas trop ennuyeux.

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Je choisis encore et toujours la droite, allez savoir pourquoi. LOL (pourtant je vote à gauche^^)
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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Exactement comme Aragorn ! Wink
~ "Dépasser la souffrance et gagner le respect" ~
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Gauche.

Pour la mort, comme Outremer, je crois qu'on pourrait "sauvegarder" notre feuille d'aventure entre chaque AVH de la série ; une fois cette précaution prise, on pourrait voir au cas par cas (exemple 1: un PFA vicieux en fin de tome -ce qui m'étonnerait dans une AVH de Oiseau- nous conduit à tricher… exemple 2: on vient de recommencer 14 fois le volume -encore plus étonnant- et on en a assez).
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résultat du lancer: 4
-> A droite!
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A droite et d'accord avec les autres si on meurt.
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A droite...
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(04/02/2011, 13:24)Aragorn a écrit : Je choisis encore et toujours la droite, allez savoir pourquoi. LOL (pourtant je vote à gauche^^)
Espèce de centriste Lool

(04/02/2011, 12:09)Outremer a écrit :
(04/02/2011, 11:55)Caïthness a écrit : @outremer : pour la mort et ta proposition de recommencer à l'endroit où on est mort

Je me suis mal exprimé : je suggérais de recommencer au début de l'aventure où on sera mort. Ce ne sont pas des AVH extrêmement longues, donc ça ne sera pas trop ennuyeux.
Ah ok, ben comme tout le mode fait dans les séries, je pense (à part Chroniques Crétoises qui oblige à rejouer tous les livres à chaque mort Pale )
сыграем !
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Je ne suis pas certain d'avoir correctement saisi ce qu'ont voulu dire Aragorn et Rapha (qui "prennent toujours à droite" mais "votent à gauche"), mais je vais compter ça comme deux votes pour aller à gauche, puisque c'est ce qu'ils ont écrit en toutes lettres.

5 votes pour la gauche
4 votes pour la droite

48
Vous avez la distincte impression que ce passage n’a pas été conçu pour être emprunté par un homme. Il laisserait juste assez de place à un chat. Pourtant, vous arrivez à vous y faufiler, jusqu’à un tournant brusque vers la droite. Ici, le tunnel s’élargit un peu, mais un éboulis rend l’avance difficile.
Vous enjambez les rochers gelés, mais non sans râper vos genoux sur les décombres. Tout à coup, votre pied gauche se pose sur une arête effilée. La douleur inattendue vous fait tressaillir et votre tête porte contre une saillie du plafond. Une rigole de sang coule aussitôt dans vos yeux.
Avec un juron, vous essuyez votre visage ensanglanté. Vous franchissez ensuite l’amas de gravats avant de vous blesser davantage. Réduisez votre total d’Endurance de 4 points.
Peu après, vous découvrez un autre coude dans le tunnel. Vous tournez encore à droite. Puis une bouffée d’air froid vous parvient.
Vous entrez alors dans une vaste salle souterraine, bâtie en longueur. De lourdes tables de pierre, qui ressemblent à des autels mais n’en sont pas, sont disposées en ligne droite jusqu’au fond de la caverne.
Caverne, songez-vous.
Oui — on dirait vraiment une grotte, et non une salle aménagée. C’est peut-être la voûte défoncée, de laquelle tombent des stalactites de glace, qui vous donne cette impression.
Mais une chose est déjà sûre : vous avez frappé le gros lot.
Vous êtes entré dans la salle la plus profonde du Sanctuaire de Saraveth, où un grand roi oublié dans sa tombe n’attend que vous rendiez son nom à la lumière.
Rendez-vous au 80.


Points d'Endurance : 30 sur 84.
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80
Vous avancez dans la grande salle en examinant chaque table, chaque vieille boîte figée dans la glace. Ce lieu recèle des secrets inouïs, vous en êtes déjà convaincu. Des livres anciens, figés dans la glace, promettent des révélations innombrables sur les peuples ancestraux. Sur toutes les parois, des runes par milliers n’attendent que les myatzens d’étude qu’elles méritent.
Vous songez déjà à devenir le célèbre aventurier Zayas ix Oshaqimarendahl, dont le nom sera éternellement lié à la première exploration du Sanctuaire de Saraveth.
Toutefois, vous n’avez pas l’intention de vous attarder à fouiner dans de vieux livres. Pas tout de suite. Car au fond de la caverne oubliée, votre plus grande découverte vous attend. Vous avez reconnu la forme d’un cercueil, même recouvert de verglas, et vous êtes convaincu que l’homme inhumé au plus profond du Sanctuaire n’était pas qu’un simple paysan. Les cristaux de zimérite que vous avez déjà trouvés en font foi.
— Je serai connu dans tout l’Empire de Qô Rel, jubilez-vous. Quel honneur ! Je vais retrouver la tombe du grand prêtre du Sanctuaire de Saraveth !
Sitôt arrivé à proximité du cercueil, vous commencez à gratter les couches de glace qui le recouvrent. Le couvercle est en verre, ou du moins, en matière transparente, ce qui vous ancre dans vos convictions. Vous avez affaire à la tombe d’un grand noble, dont le corps préservé devait servir d’inspiration aux générations futures.
Brusquement, vous froncez les sourcils. Rêvez-vous, ou le cercueil dégage-t-il une certaine lumière ? Vous pourriez jurer qu’une faible clarté provient de l’intérieur !
— Ça, c’est nouveau … Des tombeaux qui brillent !
Vous nettoyez davantage la vieille glace sèche. Ce que vous révélez ajoute une ride de perplexité sur votre front déjà plissé. Un petit voyant lumineux, dont les caractères luisent faiblement, affiche les chiffres « 000:000 » et clignote avec une insistance désespérée, oublié depuis des qiterizens dans la glace.
— Ziô, mon ami, je crois que tu as trouvé quelque chose d’extraordinaire.
Un sourire d’anticipation plisse vos lèvres.
— Voyons ton vénéré visage, prêtre du passé !
Vous tentez de soulever le couvercle massif du sarcophage froid. Tout d’abord, la pierre résiste à votre poussée. Puis vous entendez le verglas craquer sèchement. Un mécanisme invisible prend alors la relève et révèle progressivement l’intérieur du tombeau à vos yeux.
Ce que vous voyez… vous surprend considérablement.
Ce n’est pas un prêtre, ni un roi, ni même un fils de noble famille. Ce n’est pas non plus le cadavre d’un homme anonyme, d’un paysan de l’époque qui serait devenu un héros.
C’est le corps délicat d’une toute petite fille.
Une petite fille d’un terizen à peine, au visage endormi, aux joues rougies par le froid. Une petite fille aux longs cheveux roses, si longs qu’elle paraît se noyer dans leur luxuriance.
La plus jolie fillette que vous ayez jamais vue.

Épilogue
LA PETITE FLEUR DU FOND DES ÂGES

Vous demeurez longtemps immobile, statufié, devant le cercueil ouvert.
— Une enfant… Une enfant du peuple ancestral
Vous sentez la fébrilité vous gagner. Vous devez en savoir plus. Que fait ici cette petite fille au visage si fin ? Pourquoi le grand Sanctuaire de Saraveth lui sert-il de tombeau ? Cette couleur rose est-elle la couleur naturelle de sa chevelure ?
Sans trop vous soucier de profaner sa sépulture, vous tendez les bras à l’intérieur du cercueil et soulevez le corps de la petite. Elle est parfaitement préservée. Le froid polaire de Xenâvo n’a même pas déposé une gerçure sur la peau lisse de son visage.
— Quelle découverte incroyable, répétez-vous en tenant l’enfant dans vos bras. Elle est absolument intacte, des pieds à la tête ! Quelle découverte incroyable !
Une réalisation foudroyante vous traverse alors l’esprit.
La peau de l’enfant, bien que froide, est trop souple pour être celle d’un cadavre.
Et sous vos yeux écarquillés de stupeur, la poitrine de la fillette monte et descend au rythme de sa lente respiration.
— Vivante… Elle est vivante… Par les fesses froides de Yaarzigaal…
Très lentement, l’enfant aux cheveux roses ouvre les yeux. Elle ne réagit pas, tout d’abord, à vos bras qui l’entourent. Elle se réveille d’un long sommeil – un sommeil de qiterizens – et essaie de retrouver ses souvenirs.
Vos bras tremblent tellement que vous devez déposer la fillette sur le cercueil refermé, de peur de la laisser chuter sur le sol de glace.
— Elle est vivante, soufflez-vous à nouveau, comme si votre vocabulaire s’était réduit à ces trois mots.
Alors que la vie revient à ses yeux – roses comme ses cheveux – la petite fille cherche à vous dévisager. Elle finit par ouvrir la bouche.
— Qui es-tu ? demande-t-elle d’une toute petite voix.
La gorge paralysée par l’effarement qui n’arrive plus à vous quitter, vous devez ravaler trois fois votre salive avant de répondre.
— Ziô… Je m’appelle Ziô.
— Ziô ? répète la petite.
Puis elle frissonne de tout son corps et tend les bras vers vous.
— J’ai froid…
Toujours en état de choc, vous serrez la petite fille contre vous. Vous l’emmitouflez dans vos fourrures pour la réchauffer, tout en jonglant des dizaines de possibilités dans votre esprit. Comment allez-vous expliquer cela à Syôren ? Comment allez-vous prendre soin de ce petit lutin venu du fond des âges ?
Une vraie fille du peuple ancestral… C’est un rêve, ce doit l’être… Personne n’a les cheveux de cette couleur-là !
Vous vous penchez sur la petite fille et la regardez longuement dans les yeux. Elle est clairement fatiguée, encore abrutie par son sommeil de terizens. De toute évidence, c’est une enfant très délicate. Elle ne pesait presque rien lorsque vous l’avez soulevée. Pourtant, il y a déjà dans son regard un pétillement de vie espiègle.
— Et toi, petite ? As-tu un nom? Comment t’appelles-tu ?
L’enfant vous regarde longtemps avant de répondre.
— Fleur… dit-elle de sa petite voix endormie. Fleur Aimée…
Vous pouffez involontairement de rire.
— Fleur Aimée !? Tes parents ont dû te trouver bien mignonne !
Réveillée à présent, la petite fille fait la moue.
— Ce n’est que mon nom d’enfant. Je choisirai mon vrai nom lorsque j’aurai trois terizens, comme tout le monde.
Vous levez un sourcil intrigué. Vous n’avez jamais entendu parler d’une telle coutume. C’est donc dire que Fleur Aimée appartient vraiment à un passé disparu.
Avec un sourire conciliant, vous prenez la petite fille dans vos bras.
— Désolé de m’être moqué de toi. Tu as vraiment un joli nom. Maintenant, je dois aller rejoindre mes amis. Veux-tu venir avec moi ?
La petite fille n’a pas le temps de répondre. Une autre voix le fait à sa place.
— Cela ne sera pas nécessaire, Ziô.
Vous faites volte-face avec surprise. Déjà, vous savez à qui appartient la voix.
Mais que fait Syôren ici, alors qu’il devait aller chercher des secours ?
Le jeune homme se tient à l’entrée de la grande salle, seul. Il tient entre ses mains une arme puissante de votre Empire – un Liquéfiant – qu’il pointe droit sur vous.
— Tu n’as pas besoin de revenir, Ziô. Je ne suis jamais parti chercher les autres. Au lieu de cela, j’ai attendu que tu t’éloignes – comme je savais que tu le ferais – et je t’ai suivi. Avec ce petit bijou, il n’y a pas beaucoup d’obstacles qui tiennent.
Pour appuyer ses paroles, Syôren agite le Liquéfiant dans son poing droit.
Vous demeurez longtemps silencieux. Puis, d’une voix amère :
— Je croyais que nous étions amis, Syôren.
— Nous aurions pu le rester, Ziô. Mais tu avais le nez trop long. Ton père ne m’a pas uniquement donné l’ordre de te surveiller. Si tu découvrais… certaines choses, j’avais d’autres directives.
— Certaines choses ? De quoi parles-tu ? Il n’y a rien ici que mon père connaisse, rien qui l’intéresse. Pourquoi donner l’ordre de me tuer ?
Syôren hausse les épaules.
— Je n’en sais rien. Mais je n’ai pas le droit de te laisser partir. Désolé, Ziô. On se reverra dans une autre vie. Toi et cette jolie fillette – vous devez disparaître.
— Syôren ! vous exclamez-vous. Espèce de traître ! Rien ne t’oblige à obéir à mon père ! Si tu me tues, c’est ton choix uniquement !
Nouveau haussement d’épaules du jeune homme.
— Alors disons que j’en avais assez de courir les vieux temples. Choisis l’explication que tu préfères, Ziô. Bientôt, cela ne fera plus la moindre différence.
Syôren lève son arme. Une pression sur la détente, et votre corps fondra jusqu’à ne laisser qu’une horrible flaque rouge.
Non ! Je ne peux pas le laisser faire ! Fleur Aimée ne mérite pas d’être tuée comme cela – elle vient de recommencer à vivre !
La fillette, devinant les intentions meurtrières de Syôren, se blottit contre vous.
Vous serrez ses petites mains dans les vôtres.
Brusquement, une lumière brûlante enveloppe votre poignet. L’anneau translucide que vous aviez trouvé rétrécit d’un bon centimètre et se fusionne dans votre chair en vous arrachant un cri de douleur.
Syôren se protège les yeux en lançant un cri de stupeur.
— Par Zaad et Yaarzi – !
Un claquement de tonnerre emplit toute la caverne. Une vague de chaleur incandescente se dégage de votre position. Enveloppé d’une sphère de foudre blanche, vous voyez le Sanctuaire s’estomper de votre vision éblouie.
Votre propre exclamation est tout aussi sidérée.
— Que se passe – !?
Une trombe de flammes s’engouffre dans l’espace que vous occupiez. Votre corps n’est déjà plus là. Celui de Fleur Aimée non plus.
Vous avez entièrement disparu.
Syôren demeure immobile, seul dans la salle souterraine, les yeux clignotants. Il tient encore son Liquéfiant, mais il ne remarque même plus la présence de l’arme dans sa main. Il essaie encore de comprendre ce qu’il vient de voir.
— Par quelle sorcellerie ?…
Le Sanctuaire de Saraveth demeure silencieux. Aucune réponse ne vient. Car les seuls qui auraient pu répondre ont disparu depuis longtemps.
En voyant ses victimes disparaître, Syôren était resté figé par l’hébétude. En soi, cela n’avait rien de surprenant. Peu de gens, dans les royaumes connus, auraient compris ce qui venait de se produire. Mais un nouveau Cercle, dans l’immensité de l’univers, allait bientôt être tracé. Celui qui le tracerait, l’Élu, l’Unique, le Désigné, avait été choisi.
C’était un cercle sans commencement.
Mais un jour, peut-être – et cela, les dieux eux-mêmes y rêvaient parfois – le cercle aurait-il une fin.

FIN DU CHAPITRE 1


Voulez-vous continuer ?
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C'est rapide lol !

Ben on va continuer je pense.

Au fait, la téléportation guérit les blessures ? Mrgreen
сыграем !
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En fait c'était un vote pour aller à droite mais vu qu'on a terminé l'aventure, tu as bien fait de te tromper. Tongue
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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On ne parle pas de "gauche" et de "droite" en politique outre-Atlantique?
Alors je peux comprendre l'incompréhension^^

Cette aventure était plutôt déroutante pour moi, je dois bien l'avouer, car à partir du moment où on est arrivé dans "l'autre monde" j'ai vraiment eu le sentiment de n'avoir plus aucune emprise sur les évènements, et d'être une sorte de pantin manipulé. Pas très agréable comme impression. Et la conclusion ne peut que me renforcer dans ce sentiment, avec notre "évasion" pour laquelle on n'a strictement aucun rôle à jouer (+ auparavant l'anneau qu'on est obligé de récupérer).

Bref, le cocktail téléportations continuelles + suites d'événements inexplicables (et notre père qui veut nous tuer, c'est le pompon!) ne passe pas vraiment pour moi.

Je préfèrerai donc jouer une autre série si possible (quelque chose qui ressemblerait plus à La venue du Froid sans fin par exemple, enfin au tome 2 puisque c'est le seul que j'ai lu).
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