L'Épée de Légende S1E02 (Le Maître des Rêves)
Bah et puis tant qu'à faire, autant lancer tout de suite le deuxième assaut. Un deuxième coup de taille qui avec 6 fait voler les morceaux de cuirasse, les éclats d'os et la chair momifiée !
6+2 de dommages ordinaires + YEAAAAH 6 ENCORE de bonus tueur de géants + 7 de l'amulette ! 21 points de dommages moins sa Protection !

Je vole comme un papillon ! Je pique comme une guêpe !
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Thanathos l'a raté deux fois? Outremer je crois que tes dés ont été remplacé par des dés pipés...
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Thanatos assène un puissant coup de pommeau pour fracasser le crâne de Sire Flongand, mais la protection surnaturelle accordée par l'amulette encaisse entièrement l'impact, laissant le chevalier indemne !


(15/07/2011, 20:25)zoki a écrit : Thanathos l'a raté deux fois? Outremer je crois que tes dés ont été remplacé par des dés pipés...

Vu les résultats de ce troisième round, je pense plutôt qu'ils sont animés d'une volonté perverse. Ils font des chiffres élevés lorsque j'essaie de toucher et des chiffres bas lorsque j'essaie d'infliger des dommages !
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Ça me rappelle un peu l'entraînement à la quintaine…

Réussi avec 7 ( mais bon il fait une cible facile aussi ), 6+2 de dommages + 3 de bonus géants + 7 de l'amulette. Ashimbabbar vivant !
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Une exclamation incrédule échappe à Thanatos lorsque son corps brisé s'effondre sur les dalles poussiéreuses.

Le mur invisible a disparu et l'équipe peut franchir l'ouverture voûtée pour atteindre le lieu que gardait le géant. Ce n'est qu'une pièce circulaire et nue, de taille moyenne, illuminé par une lampe suspendue à une chaîne.

Un unique objet se trouve au centre de la pièce, mais, lorsque vous vous en approchez, vous découvrez qu'il est absolument extraordinaire : c'est la bannière glorieuse de la Première Légion de l'Empire de Sélentium. La vénération de tout le monde civilisé s'attache à cet étendard presque millénaire.

(Comme je l'ai mentionné précédemment, l'Empire de Sélentium est la transposition de l'Empire Romain. Il n'en reste plus grand-chose à l'époque où se déroule l'histoire, mais l'Empire a été immense par le passé.)

Les mains tremblantes, vous vous emparez de la bannière. Il vous semble presque entendre les fantômes de ses porteurs précédents vous dispenser la sagesse martiale de leur ère révolue.

La bannière vous donne le courage d'affronter une nouvelle fois les épreuves de la cathédrale, mais, lorsque vous entreprenez de rebrousser chemin, vous découvrez qu'elles se sont toutes évanouies. Vous regagnez la vaste nef et quittez ensuite cet édifice morbide.


Vous traversez une double rangée de hautes colonnes de marbre gris-blanc et arrivez dans un labyrinthe de salles, dont le plafond disparaît dans la pénombre à cent mètres au-dessus de vous. Les murs sont couverts de bas-reliefs et de gargouilles bizarres qui semblent vous suivre des yeux. Des siècles de poussière recouvrent tout d'une couche épaisse que les courants d'air font frémir comme la surface d'un lac desséché.

Explorant les lieux, vous découvrez finalement le moyen de parvenir à une cour située à un étage supérieur du palais. L'impact de vos bottes sur les dalles fendues fait s'enfuir la vermine et les insectes qui s'abritait en-dessous.

Vous gravissez une volée de marches usées, couvertes de mousse. La pierre a un aspect lépreux et la balustrade n'est plus ornée que de lierre desséché. Des papillons aux ailes déployées sont posés sur les feuilles, mais, lorsque vous les effleurez, ils tombent à leur tour en poussière.

Il y a une porte de bronze au sommet des escaliers. Vous en poussez le battant, révélant une vaste salle au plafond bas. Les murs et le sol sont faits d'un marbre gris terne, mais le plafond rougeoie comme un lit de charbons ardents. De temps à autres, des cendres en tombent, se changeant au contact du sol en longs centipèdes noirs qui s'enfuient aussitôt vers les recoins d'ombre voisins.

Vous avancez prudemment vers une estrade de pierre située au centre de la salle. Une flamme y brûle avec intensité. Sous vos yeux, des volutes de ténèbres émergent du marbre pour envelopper la flamme, projetant des ombres brutales sur les murs.

Un sifflement suraigu se fait entendre et gagne en intensité jusqu'à devenir presque insupportable. Vous vous protégez les oreilles, mais le bruit semble s'infiltrer comme une aiguille dans votre cerveau.

Soudain, le sifflement devient une plainte creuse. Vous réalisez que c'est le bruit de la respiration de quelque chose. Un mouvement contre le mur vous révèle que vous n'êtes plus seuls. Les ombres épaisses ont pris corps et descendent sur vous comme une énorme chauve-souris.

Une voix mince résonne dans la pièce. "Vous êtes parvenus si loin ! Si loin ! Mais maintenant, vous devez affronter le visage des ténèbres, cette ombre que tous redoutent... Umborus, viens et tue pour ton maître !"

Une masse d'ombre large et informe se dresse devant vous. Ses yeux crépitent comme des éclairs dissimulés derrière des nuées orageuses. Ses griffes implacables se tendent vers vous comme de sombres poignards dentelés.


A ce moment, Saenad sent un frémissement parcourir l'épée d'argent qu'il transporte. Les traces noires qui en assombrissaient la lame disparaissent et elle se met à briller d'un éclat aussi intense que le soleil d'été, éclairant les moindres recoins de la salle.

Le démon Umborus hurle de douleur comme un homme en train de brûler vif. Mais, même si vous pouviez éprouver de la pitié pour un tel monstre, la Pourfendeuse d'Ombre n'en a aucune. Elle dirige le bras de Saenad et plonge jusqu'à la garde dans la poitrine obscure du démon.

Le silence revient. Il n'y a plus trace du démon. La Pourfendeuse d'Ombre gît sur le sol, éclairant toujours la pièce. La chaleur qu'elle diffuse vous interdit de la récupérer. A côté d'elle gît une pierre noire et laide, qui semble faite de goudron coagulé. C'est le Coeur des Ténèbres, tout ce qui reste du démon. Vous pouvez le prendre si vous le souhaitez.


(La conclusion de l'aventure approche et je vous laisse donc un moment pour vous y préparer.)
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Si personne n'y voit d'inconvénient je prends l'étendard d'une main et Tailleclair dans l'autre. La classe absolue Mrgreen
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Là je suis soufflé! J'avoue avoir pensé avec consternation que vous couriez au suicide et vous vous êtes joué de ce géant mort-vivant blindé avec tant de facilités. Tous les espoirs nous sont permis maintenant, tremblez Archimages!

J'abandonne l'antidote au venin de chimère et prends le coeur des ténèbres.
Je mémorise de nouveau Blessure.
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Merci; ça fera un bon passage pour la légende de Sire Flongand de Paucrevorne Mrgreen ( même si c'est l'amulette qui a fait le gros du travail Mrgreen )

Je pense qu'une même intuition nous souffle à tous que la confrontation finale est proche; on va vraiment affronter la puissance du Roi-Sorcier… mais nous sommes quatre héros, et nous combattons unis. S'il y en a qui y restent… eh bien, je suis fier d'avoir connu ces aventures avec vous.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Bravo sire Flongand, effectivement voilà un combat qui forgera votre légende pour les siècles à venir ! (et d'autant plus si nous mourrons juste après^^). Effectivement la fin semblr proche, mais j'ai confiance dans le fait que nous y survivions.
Debout, debout cavaliers de Théoden!
Les lances seront secouées, les boucliers voleront en éclat,
Une journée de l'épée, une journée rouge avant que le soleil ne se lève !
Au galop ! au galop ! courez ! Courez à la ruine et à la fin du monde !
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(et ça se revend combien une bannière de la Première Légion de Sélentium? Mrgreen )
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(16/07/2011, 10:06)Fitz a écrit : (et ça se revend combien une bannière de la Première Légion de Sélentium? Mrgreen )

Hummm… même partagé en quatre, si on a le bon acheteur, ça doit faire pas mal effectivement… sans doute de quoi rénover mon château et me lancer dans une petite guerre privée en retard ou deux…

Alors je tiens l'étendard fièrement mais sans l'abîmer, hein Mrgreen
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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Champiooons du Mooooonde !! Ah, quoi, c’est pas fini ? Hum, pardon.

Aubin félicite chaleureusement le chevalier pour son magnifique combat.

La fin ! la fin ! la fin !
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Non, vraiment mes amis, l'amulette y est pour beaucoup. Et puis ce grand clown manquait presque autant de réflexe qu'un véritable cadavre. Mas je suis heureux que le spectacle vous ait plu.
" Ashimbabbar m'a donné une dague et une épée et m'a dit
: Transperces-en ton corps; elles furent forgées pour toi."
Poème d'Enheduanna
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(16/07/2011, 12:43)ashimbabbar a écrit :
(16/07/2011, 10:06)Fitz a écrit : (et ça se revend combien une bannière de la Première Légion de Sélentium? Mrgreen )

Hummm… même partagé en quatre, si on a le bon acheteur, ça doit faire pas mal effectivement… sans doute de quoi rénover mon château et me lancer dans une petite guerre privée en retard ou deux…

Alors je tiens l'étendard fièrement mais sans l'abîmer, hein Mrgreen

Je ne voudrais pas être rabat-joie mais vu comment a fini la récompense de Balthazar, je vous conseille d’éviter les grands projets.
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Les contours de la pièce s'effacent. Pendant un moment, vous flottez dans un néant infini et brumeux. Graduellement, des sons parviennent à vos oreilles : le fracas des armes, le cris d'hommes mourants. Puis ces bruits s'estompent à leur tour pour être remplacés par un martellement régulier et incessant. C'est comme le battement d'un gigantesque coeur, qui s'intensifie jusqu'à vous assourdir presque. Puis une scène apparaît autour de vous et vous réalisez que ce n'est pas du tout cela.

Vous vous trouvez au centre d'une arène. Ce que vous entendez est le vacarme cacophonique de la foule venue vous voir combattre.


Des lanternes accrochées aux murs éclairent l'arène d'une lumière verdâtre sinistre. La foule avide qui est assise dans les gradins a un caractère désagréablement inhumain : elle vous fait penser à de grands insectes enveloppés dans des manteaux sombres, frottant ensemble leurs mains maigres. Leurs voix scandent leur désir de voir la couleur de votre sang.

Le vacarme s'assourdit jusqu'à n'être plus qu'un murmure sinistre lorsque vous vous tournez vers la loge royale qui surplombe l'arène. Un vieil homme se tient là. Sa bouche est dédaigneuse et son regard hostile. Il tient un bâton brillant dont l'éclat fait ressortir sa personne, alors que le reste de la scène a un caractère brumeux et flou. Vous remarquez une couronne de glace - ou peut-être de cristal - posée sur son front ridé.

(L'illustration : http://img17.imageshack.us/img17/3741/bs2s508.jpg )

Sa voix cassante fait taire les derniers murmures de la foule lorsqu'il tend un doigt dans votre direction et s'exclame : "Ceci est le royaume de Wyrd, où j'ai régné pendant des siècles. Vous avez osé envahir mon domaine. Vous avez pénétré dans mon Palais du Crépuscule Eternel, peut-être dans l'intention de me tuer !"

Sa voix se fait plus basse et il vous regarde fixement. "Quelle inconscience. Croyez-vous que personne d'autre n'a essayé de m'assassiner ? Un souverain légitime n'est jamais sans ennemi. Et où sont désormais ces chiens dégénérés qui espéraient enfoncer leurs lames dans mon coeur royal ? Mais ici, voyons... ils viennent vous enseigner la leçon qu'ils ont eux-même apprise !"

Il fronce le sourcil et écarte les mains. Quelque chose émerge du sol à une certaine distance de vous. C'est une main blanche et osseuse, dont les doigts frémissants raclent la terre. D'autres petits monticules apparaissent çà et là tandis que des choses depuis longtemps enterrées se frayent un chemin vers la surface. Puis la terre sèche de l'arène se fend et il en émerge des squelettes vêtus d'armures rouillées. Leur nombre augmente jusqu'à ce que vous faisiez face à une horde gigantesque, qui s'avance d'un pas sinistre pour vous attaquer.

Face à cette armée innombrable invoquée par le Roi-Sorcier pour vous tuer, votre situation semble désespérée. Vous finirez empalés sur les lances des squelettes dès que ceux-ci vous auront atteint. Alors que vous reculez, cherchant de tous côtés une issue inexistante, la bannière se met à palpiter de lumière. Les spectateurs se lèvent de leurs gradins avec des cris d'horreur et battent en retraite vers les ombres. Vous n'avez aucune idée de ce qui se passe, mais vous unissez vos mains pour brandir l'étendard de la Première Légion de Sélentium. Un flot de souvenirs glorieux vous submerge. Les fantômes d'anciens généraux de l'Empire vous murmurent : Soyez dignes de l'Aigle.

Vous levez les yeux vers la bannière, brûlant d'une lumière aveuglante. Même le Roi-Sorcier recule d'un pas à sa vue, se protégeant les yeux de sa longue manche. Les squelettes ralentissent, comme saisis d'incertitude. Mais la gloire immense de la Première Légion a été renforcée et non diminuée par les siècles qui se sont écoulés depuis la chute de Sélentium. Et aucun légion ne laisserait sa bannière être capturée par l'ennemi...

Des troupes spectrales se forment entre vous et les squelettes qui avancent, avant de prendre graduellement corps. Des rangs de légionnaires réincarnés attendent vos ordres !


(Il y a six objets qui peuvent être activés par l'emblème, mais il est impossible de tous les récupérer. Vous en avez deux.)

Même l'indomptable Première Légion ne saurait triompher seule contre la horde innombrable que le Roi-Sorcier a fait jaillir du sol. Mais il semble que ce ne sera pas nécessaire. Le Coeur des Ténèbres palpite entre les mains de Fimmex, répandant un sang noir sur le sable de l'arène. Graduellement, il en émane des miasmes sombres, qui se solidifient sous la forme de fantassins solides, vêtus de livrées de sable. Le Bataillon des Ombres s'est placé sous votre commandement !

La flèche empennée de blanc se met à briller avec intensité au contact de l'éclat de la bannière. Aubin la tire de son carquois, mais elle jaillit hors de ses mains et fuse avec un bruit strident vers le Roi-Sorcier. Celui-ci a une expression alarmée, mais son hésitation dure moins d'une seconde. Levant les bras, il fait apparaître un mur de pierre devant lui. La flèche vient se briser contre lui dans une explosion de lumière blanche qui vous aveugle momentanément. Lorsque vous pouvez de nouveau voir, vous découvrez un groupe d'archers aux livrées d'argent, prêts à cribler de leurs flèches la horde ennemie. La Compagnie de la Destruction Blanche a rejoint vos rangs.


Sire Flongand n'a pas d'hésitation à s'improviser commandant de vos troupes. Il leur donne l'ordre de resserrer les rangs et d'avancer vers les squelettes. Vos forces sont en nombre supérieur, mais l'ennemi a l'avantage de ne pas connaître la peur, la fatigue ou la douleur.

Vos troupes essayent de vous frayer un passage à travers la horde squelettique afin que vous puissiez atteindre le Roi-Sorcier. Mais celui-ci réalise votre manoeuvre et ordonne à sa garde d'élite de vous intercepter. Le combat est inévitable.

La situation est comme suit :

ooo__ooo
ooo__ooo
oooSSooo
oo_12_oo
o_S3_S_o
o____4_o
o______o

J'espère que ce n'est pas trop compliqué à déchiffrer ! Les "o" représentent les murs. Le passage du haut (barré par deux squelettes) mène au Roi-Sorcier.

Les squelettes en armure auxquels vous faites face sont d'une rapidité étonnante (Habileté 9). Deux d'entre eux l'ont utilisé pour se rapprocher au contact d'Aubin et Fimmex (ce qui constitue donc leur action du premier tour). Les squelettes au contact de Sire Flongand et Saenad agiront une fois que vous m'aurez dit ce que vous faites ce tour-ci.

La mêlée qui vous entoure interdit de fuir, mais, si vous pouvez atteindre le passage du haut, il vous sera possible de quitter ce combat pour atteindre le Roi-Sorcier (cette possibilité obéit aux mêmes règles que la fuite classique).


Un mot sur cet affrontement : le combat qui permet d'accéder au Roi-Sorcier dépend de la force de votre armée (la vôtre est plutôt bonne) et d'un chiffre tiré au sort. Il y a 3-4 combats possibles, qui ont des degrés de difficulté échelonnés. Plus l'armée est bonne, plus il est probable d'avoir un combat facile. Un chevalier dans l'équipe offre par ailleurs un bonus. Dans votre situation, vous aviez une chance sur deux d'avoir un combat facile et une chance sur trois d'avoir un combat moyen.

Vous avez sans doute remarqué que le Palais du Crépuscule Eternel ne s'est pas jusqu'ici montré aussi périlleux qu'on aurait pu le penser. C'est en partie parce que vous avez pris de bonnes décisions et récupéré les objets utiles, mais aussi parce mes dés refusaient visiblement de vous poser problème : la goule de la Porte de la Confusion a été infoutue de toucher qui que ce soit, le Souffle de la Dégénérescence n'a pour ainsi dire rien fait et Thanatos, avec son 8 en Force et ses 4 dés de dommages, est mort sans infliger la moindre égratignure.

Ce manque de challenge vous a peut-être un peu déçu et je m'inquiétais de savoir ce que ce combat-ci allait être, sachant que c'était encore les dés qui allaient en décider.

Et en fin de compte... eh bien, je pense que huit secondes de son seront plus expressives qu'un long discours, alors augmentez le volume de vos haut-parleurs et cliquez sur ce qui suit : http://www.youtube.com/watch?v=5Ioiag30eAI
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