Ok, je vois ce que tu veux dire.
Mais il y a quand même pas mal de LDVELH qui s'éloignent du "gentil contre le méchant", ou qui le font de manière intéressante.
L'Epée de Légende traite le rapport du bien au mal avec maturité, je trouve, et ça se renforce au fil des tomes.
Sorcellerie nous plonge dans un monde chaotique qui ne fait pas dans le sentiment ; il n'y a guère que Libra pour rappeler un semblant de moralité.
Les Chroniques Crétoises sont un univers très sombre et dont les codes moraux (ceux de la Grêce Antique) ne sont pas forcément en adéquation avec les nôtres.
Dans la Voie du Tigre on incarne un assassin. Un gentil assassin mais un assassin. Et des livres comme Le Grand Maître d'Irsmun et sa gestion politique obligent à s'éloigner du manichéisme.
La série Loup*Ardent est sombre et crépusculaire.
La série Histoire vous propose tous les camps, et aucun n'est présenté meilleur que l'autre.
Dans la série Epouvante, on peut incarner le gentil ou le méchant.
Les Portes Interdites sont une quête contre le mal qui sort des sentiers battus.
Dans Double Jeu on peut trahir son partenaire.
Sherlock Holmes offre des énigmes dont les protagonistes ne sont pas tout blancs ou tout noirs. Exemple : Le Maître Chanteur d'Appledore.
Certains Défis Fantastiques ont un schéma non manichéen :
- Le Sorcier de la Montagne de Feu propose de prendre la place du Sorcier
- Dans La Galaxie Tragique il n'y a pas de méchant boss. On cherche juste le chemin de sa galaxie.
- Dans Le Marais aux Scorpions, on peut choisir son alignement : bon, neutre ou mauvais.
- Le Manoir de l'Enfer ou Le Combattant de l'Autoroute vous plongent dans des ambiances où la morale a disparu.
- Dans Défis Sanglants sur l'Océan on est un pirate, un forban.
- Dans la Créature Venue du Chaos on est un monstre qui tue instinctivement.
- Dans le Rôdeur de la Nuit on est un voleur.
Pour ma part, j'apprécie les LDVELH qui, parmi les décisions à prendre, laissent le choix entre le bien et le mal.
Mais il y a quand même pas mal de LDVELH qui s'éloignent du "gentil contre le méchant", ou qui le font de manière intéressante.
L'Epée de Légende traite le rapport du bien au mal avec maturité, je trouve, et ça se renforce au fil des tomes.
Sorcellerie nous plonge dans un monde chaotique qui ne fait pas dans le sentiment ; il n'y a guère que Libra pour rappeler un semblant de moralité.
Les Chroniques Crétoises sont un univers très sombre et dont les codes moraux (ceux de la Grêce Antique) ne sont pas forcément en adéquation avec les nôtres.
Dans la Voie du Tigre on incarne un assassin. Un gentil assassin mais un assassin. Et des livres comme Le Grand Maître d'Irsmun et sa gestion politique obligent à s'éloigner du manichéisme.
La série Loup*Ardent est sombre et crépusculaire.
La série Histoire vous propose tous les camps, et aucun n'est présenté meilleur que l'autre.
Dans la série Epouvante, on peut incarner le gentil ou le méchant.
Les Portes Interdites sont une quête contre le mal qui sort des sentiers battus.
Dans Double Jeu on peut trahir son partenaire.
Sherlock Holmes offre des énigmes dont les protagonistes ne sont pas tout blancs ou tout noirs. Exemple : Le Maître Chanteur d'Appledore.
Certains Défis Fantastiques ont un schéma non manichéen :
- Le Sorcier de la Montagne de Feu propose de prendre la place du Sorcier
- Dans La Galaxie Tragique il n'y a pas de méchant boss. On cherche juste le chemin de sa galaxie.
- Dans Le Marais aux Scorpions, on peut choisir son alignement : bon, neutre ou mauvais.
- Le Manoir de l'Enfer ou Le Combattant de l'Autoroute vous plongent dans des ambiances où la morale a disparu.
- Dans Défis Sanglants sur l'Océan on est un pirate, un forban.
- Dans la Créature Venue du Chaos on est un monstre qui tue instinctivement.
- Dans le Rôdeur de la Nuit on est un voleur.
Pour ma part, j'apprécie les LDVELH qui, parmi les décisions à prendre, laissent le choix entre le bien et le mal.