03/01/2008, 05:57
Oiseau : Est-ce que tu pourrais mettre en blanc tes édits ? Ils sont un peu révélateurs.
Pour répondre à ton observation sur la difficulté, tu n'as pas tout à fait tort : j'ai essayé de ne pas rendre évidentes les solutions aux différents problèmes que rencontre l'héroïne et, dans certains cas, elles sont ne dépendent pas vraiment de la logique (un exemple parmi d'autres : le PFA - que j'ai passé un certain temps à écrire - si on lit "De l'autre côté du miroir" ; la bonne décision, dans cette situation, est de boire la tasse de chocolat, ce qui n'a rien de logique et n'est probablement pas ce que déciderait un joueur normal confronté pour la première fois à ce choix.)
Cela dit, il y a aussi des cas où la réponse m'a été inspirée par une certaine logique, même si elle n'est pas nécessairement apparente. Par exemple, lorsqu'on a le choix entre regarder de l'autre côté du rideau rouge ou examiner les masques, la première possibilité mène aux coulisses, métaphore de la réalité (où O découvre une partie d'elle-même) tandis que la deuxième, métaphore de l'illusion, ne mène à rien.
Il est vrai que les choix naturels sont souvent les mauvais. C'est en partie par désir d'originalité et en partie parce que je voulais que l'aventure soit suffisamment difficile en l'absence de dé.
Il est probable que cette difficulté atteint son degré le plus rébarbatif lors de la dernière partie de l'aventure, quand le joueur n'a vraiment plus aucune envie de repartir du début. Cela dit, je suis un peu surpris qu'on me dise que cette dernière ligne droite est si difficile. En-dehors de l'énigme du sphinx et de la confrontation finale, les occasions de perdre sont franchement rares. Et il y a des indices donnés à la troisième et à la cinquième porte pour savoir comment agir lors de la confrontation finale... même s'il faut bien sûr avoir recueilli les codes indispensables dans les parties précédentes de l'aventure.
L'AVH n'est pas un one-true path. Il y a des actions obligatoires qu'il est très possible de manquer, mais on reste quand même bien loin de "La Créature venue du Chaos".
En ce qui concerne le prénom, pour répondre à Meneldur, il n'y a pas de raison particulière à ce choix. C'est un prénom féminin que j'aime bien (comme Faustine), rien de plus. Je l'ai découvert dans la série TV du même nom qui passait il y a une dizaine d'années, même si je ne l'ai jamais vraiment suivi avec application.
J'ai soigneusement évité de le donner directement parce qu'il me semblait que les lecteurs éprouveraient davantage de satisfaction personnelle en le devinant par eux-mêmes.
Pour répondre à ton observation sur la difficulté, tu n'as pas tout à fait tort : j'ai essayé de ne pas rendre évidentes les solutions aux différents problèmes que rencontre l'héroïne et, dans certains cas, elles sont ne dépendent pas vraiment de la logique (un exemple parmi d'autres : le PFA - que j'ai passé un certain temps à écrire - si on lit "De l'autre côté du miroir" ; la bonne décision, dans cette situation, est de boire la tasse de chocolat, ce qui n'a rien de logique et n'est probablement pas ce que déciderait un joueur normal confronté pour la première fois à ce choix.)
Cela dit, il y a aussi des cas où la réponse m'a été inspirée par une certaine logique, même si elle n'est pas nécessairement apparente. Par exemple, lorsqu'on a le choix entre regarder de l'autre côté du rideau rouge ou examiner les masques, la première possibilité mène aux coulisses, métaphore de la réalité (où O découvre une partie d'elle-même) tandis que la deuxième, métaphore de l'illusion, ne mène à rien.
Il est vrai que les choix naturels sont souvent les mauvais. C'est en partie par désir d'originalité et en partie parce que je voulais que l'aventure soit suffisamment difficile en l'absence de dé.
Il est probable que cette difficulté atteint son degré le plus rébarbatif lors de la dernière partie de l'aventure, quand le joueur n'a vraiment plus aucune envie de repartir du début. Cela dit, je suis un peu surpris qu'on me dise que cette dernière ligne droite est si difficile. En-dehors de l'énigme du sphinx et de la confrontation finale, les occasions de perdre sont franchement rares. Et il y a des indices donnés à la troisième et à la cinquième porte pour savoir comment agir lors de la confrontation finale... même s'il faut bien sûr avoir recueilli les codes indispensables dans les parties précédentes de l'aventure.
L'AVH n'est pas un one-true path. Il y a des actions obligatoires qu'il est très possible de manquer, mais on reste quand même bien loin de "La Créature venue du Chaos".
En ce qui concerne le prénom, pour répondre à Meneldur, il n'y a pas de raison particulière à ce choix. C'est un prénom féminin que j'aime bien (comme Faustine), rien de plus. Je l'ai découvert dans la série TV du même nom qui passait il y a une dizaine d'années, même si je ne l'ai jamais vraiment suivi avec application.
J'ai soigneusement évité de le donner directement parce qu'il me semblait que les lecteurs éprouveraient davantage de satisfaction personnelle en le devinant par eux-mêmes.