08/09/2006, 12:21
Hum, on tourne toujours autour des clichés, sur la "littérature pour les jeunes" et le reste. La majeure partie de la faute revient à la mentalité colective, dynamisée grâce à la pub et co. Une petite part aux éditeurs et aux patrons aussi, on se souviendra de Mr Jackson imposant à Mr Mason de réécrire la fin des Esclaves de l'éternité (dans la fin originelle, le héros se sacrifiait pour libérer les esclaves) en une fin plus classique (plein d'or ou de pouvoir). Comme quoi, il n'y a pas que les mentalités du public à faire changer, mais aussi celles des éditeurs (autre exemple, si JKRowling n'utilise pas son prénom pour signer, c'est parce que l'éditeur pensait qu'un nom de femmes pour de la littérature jeunesse découragerait les lecteurs !)