Il y a 6 heures
▪ Histoire : L'histoire est classique de classique (comme les premiers DF mais la filiation est reconnu par l'auteur et l'AVH accuse son âge aussi !). Plusieurs chemins possible mais en vrai c'est un pure OTP bien punitif. Dès le début on commence avec épée et bouclier puis en 5 paragraphes on est limite en slip sans épée ni bouclier... L'auteur indique une quinzaine de PFA j'en ai découvert 11 lors de ma lecture... C'est du vicieux comme du Steve Jackson et sans la magie du doigt entre les pages difficilement faisables. J'ai eu la chance d'avoir lors de mon premier run tous les bons objets (juste un petit retour en arrière à un moment pour récup le morceau du milieu du triptyque... ). C'est digne des premiers DF mais pas surprenant pour une aventure écrite en 1985 c'était l'époque...
▪ Mécaniques ludiques : On est sur les règles de base des Défis Fantastiques ni plus ni moins. Ce sont des règles éprouvées depuis longtemps on les connait tous donc pas de difficulté de ce point de vue là. Par contre entre les PFA, Les combats obligatoires et difficiles et les test de chance a ne pas rater c'est la punition... Comme les LDVELH de l'époque où les Jonathan Green de nos jours ça reste du (quasi) infaisable a la loyale. Mais aucune surprise de ce point de vue là. Niveau rejouabilité si on arrive à la bonne fin avec les bons objets il y a peu d'intérêt de vouloir se retaper cette torture. Je suis encore traumatisé de la première fois que j'ai fini le sorcier de la montagne de feu ou le temple de la terreur juste pour me faire dire que je n'ai pas récupéré les bons objets et donc paf échec...
▪ Qualité du texte : Rien a redire la dessus , j'adore l'aspect vintage assumé entre les illustrations du jeune Valérian et la typo de machine à écrire. Ça fait vrmnt ressortir le côté vieil artefact j'adore. Pas vu de faux raccords juste deux détails une illus ne correspond pas au texte pour une date de baratin et je suis tombé deux fois sur la même PFA mais de deux endroits totalement différents de l'aventure (mais la PFA fonctionne dans les deux cas donc peu être voulus);
▪ Ressenti général : C'est extrêmement punitif, ya de la PFA a gogo (venant du scénariste de game over est ce surprenant ?!), ya 36 000 objets indispensable, ya du labyrinthe bien dégueu, ya du gauche/droite suivant le mauvais choix paf mort ! Bref on a tout ce qu'il faut pour faire un Steve Jackson de l'époque... Et c'est ce qu'est cette AVH ! Une relique d'un ado prépubère boutonneux qui prend la revanche de ce monde cruel en en écrivant un encore plus cruel mouahahahaha 😈 Si on le prend pour ce que c'est c'est génial ! Si on le compare avec ce qu'on fait de nos jours ça a mal vieilli et à un intérêt ludique limité (de mon avis). A la différence d'un Green qui est tout aussi difficile mais qui a chaque fois à des histoires originales et prenantes pour compenser, ici nous avons du classique punitif de tous bords. L'exploit du gamin d'alors reste à souligner (400 paragraphes, plusieurs chemins (même si un seul pour gagner) et de nombreuses illustrations maison) et surtout le courage de proposer 40ans plus tard cet artefact intouché encore dans son jus !! J'adore l'idée. Je suis donc partagé entre le concept original/vintage et le plaisir/torture de l'aventure.
▪ Mécaniques ludiques : On est sur les règles de base des Défis Fantastiques ni plus ni moins. Ce sont des règles éprouvées depuis longtemps on les connait tous donc pas de difficulté de ce point de vue là. Par contre entre les PFA, Les combats obligatoires et difficiles et les test de chance a ne pas rater c'est la punition... Comme les LDVELH de l'époque où les Jonathan Green de nos jours ça reste du (quasi) infaisable a la loyale. Mais aucune surprise de ce point de vue là. Niveau rejouabilité si on arrive à la bonne fin avec les bons objets il y a peu d'intérêt de vouloir se retaper cette torture. Je suis encore traumatisé de la première fois que j'ai fini le sorcier de la montagne de feu ou le temple de la terreur juste pour me faire dire que je n'ai pas récupéré les bons objets et donc paf échec...
▪ Qualité du texte : Rien a redire la dessus , j'adore l'aspect vintage assumé entre les illustrations du jeune Valérian et la typo de machine à écrire. Ça fait vrmnt ressortir le côté vieil artefact j'adore. Pas vu de faux raccords juste deux détails une illus ne correspond pas au texte pour une date de baratin et je suis tombé deux fois sur la même PFA mais de deux endroits totalement différents de l'aventure (mais la PFA fonctionne dans les deux cas donc peu être voulus);
▪ Ressenti général : C'est extrêmement punitif, ya de la PFA a gogo (venant du scénariste de game over est ce surprenant ?!), ya 36 000 objets indispensable, ya du labyrinthe bien dégueu, ya du gauche/droite suivant le mauvais choix paf mort ! Bref on a tout ce qu'il faut pour faire un Steve Jackson de l'époque... Et c'est ce qu'est cette AVH ! Une relique d'un ado prépubère boutonneux qui prend la revanche de ce monde cruel en en écrivant un encore plus cruel mouahahahaha 😈 Si on le prend pour ce que c'est c'est génial ! Si on le compare avec ce qu'on fait de nos jours ça a mal vieilli et à un intérêt ludique limité (de mon avis). A la différence d'un Green qui est tout aussi difficile mais qui a chaque fois à des histoires originales et prenantes pour compenser, ici nous avons du classique punitif de tous bords. L'exploit du gamin d'alors reste à souligner (400 paragraphes, plusieurs chemins (même si un seul pour gagner) et de nombreuses illustrations maison) et surtout le courage de proposer 40ans plus tard cet artefact intouché encore dans son jus !! J'adore l'idée. Je suis donc partagé entre le concept original/vintage et le plaisir/torture de l'aventure.
Valentin écrivain de livre-jeux et passionné de lecture interactive depuis mes 6ans !
