15/04/2025, 20:02
Je dirais que cette aventure est une AVH « classique » : on sait dès le départ qu’il va falloir aller d’un point A à un point B, le chemin à parcourir est semé de combats qui se résolvent par des lancers de dés et qui vont plutôt avoir une influence sur le jeu (+1 ou -1 sur les lancers, + ou - d’autorité) que sur l’histoire.
Les 5 points de baraka sont les bienvenus, cela m’a évité de perdre sur un mauvais lancer, tous les autres lancers m’ayant été favorables ou pas trop punitifs.
Je trouve d’ailleurs ce système de combat avec son côté narratif bien sympa !
Un point me chiffonne, je ne l’ai pas approfondi mais il me semble que l’aventure se passe en hiver au-delà du cercle polaire : les journées sont donc courtes, le soleil doit être bas et peu lumineux. Or ce n’est pas l’impression que donnent les descriptions. Cela m’a interpellé notamment lors du passage où un avion se met avec le soleil derrière lui pour éblouir les ennemis.
J’aurais vu un style plus incisif, mordant comme le froid, percutant comme les bombes. Par exemple en enlevant des précisions inutiles :
Sur le pont verglacé, quelques-uns de vos hommes, couverts de plusieurs épaisseurs de vêtements chauds pour résister aux températures glaciales,
Vous enlevez le bouchon et collez votre oreille au tube acoustique :
- Capitaine, pourriez-vous nous rejoindre en salle des machines ? vous demande d’une voix tendue, Marek, le chef mécanicien, à l’autre bout du tuyau.
Au paragraphe 40, tu as oublié toutes les majuscules aux noms propres : les Argentins, les Chiliens…
Voilà pour mes premières impressions...
Les 5 points de baraka sont les bienvenus, cela m’a évité de perdre sur un mauvais lancer, tous les autres lancers m’ayant été favorables ou pas trop punitifs.
Je trouve d’ailleurs ce système de combat avec son côté narratif bien sympa !
Un point me chiffonne, je ne l’ai pas approfondi mais il me semble que l’aventure se passe en hiver au-delà du cercle polaire : les journées sont donc courtes, le soleil doit être bas et peu lumineux. Or ce n’est pas l’impression que donnent les descriptions. Cela m’a interpellé notamment lors du passage où un avion se met avec le soleil derrière lui pour éblouir les ennemis.
J’aurais vu un style plus incisif, mordant comme le froid, percutant comme les bombes. Par exemple en enlevant des précisions inutiles :
Sur le pont verglacé, quelques-uns de vos hommes, couverts de plusieurs épaisseurs de vêtements chauds pour résister aux températures glaciales,
Vous enlevez le bouchon et collez votre oreille au tube acoustique :
- Capitaine, pourriez-vous nous rejoindre en salle des machines ? vous demande d’une voix tendue, Marek, le chef mécanicien, à l’autre bout du tuyau.
Au paragraphe 40, tu as oublié toutes les majuscules aux noms propres : les Argentins, les Chiliens…
Voilà pour mes premières impressions...