01/04/2025, 21:55
(Modification du message : 01/04/2025, 23:52 par Lyzi Shadow.)
(hj) Les trois personnages considérés comme de proches amis d'Heuvelmans étant arrivés, j'avance un peu.
Les joueurs des trois autres invités peuvent continuer à décrire leur arrivée sur l'embarcadère. (/hj)
Les joueurs des trois autres invités peuvent continuer à décrire leur arrivée sur l'embarcadère. (/hj)
Pour chaque invité, le même petit manège se reproduit à chaque fois : emboîtant le pas au majordome, qui porte vos bagages, vous passez un premier sas et descendez dans les entrailles du monstre de métal qui s’apprête à être lancé aux trousses du monstre de chair. La première pièce que vous découvrez, une sorte d’aire de chargement où sont stockés plusieurs scaphandres, est étonnamment haute et large, et vous vous figurez un instant être à bord du Nautilus du roman de Jules Verne. Cet appareil est probablement bien plus grand que tous ceux qui ont été construits jusqu’à présent !
Poursuivant votre descente tel un Orphée moderne, vous prenez un second sas, aboutissant cette fois sur un escalier métallique à double quart tournant et dont les marches sont composées d’un caillebotis pressé afin d’éviter toute glissade.
Le couloir principal de ce niveau intermédiaire relie la coursive avant à la coursive arrière, ainsi que l’escalier montant vers le niveau supérieur à l’escalier descendant vers le niveau inférieur.
Anthon Blake vous montre votre cabine et y dépose vos affaires. Il vous précède ensuite dans le luxueux escalier en spirale, décoré d’un magnifique tapis, qui vous amène au dernier niveau et vous guide vers le salon principal. Après vous avoir invité à vous installer confortablement, le domestique vous demande de bien vouloir attendre là que les autres invités et son maître arrivent à leur tour, puis remonte pour continuer d’accueillir les suivants.
Malgré les tuyauteries apparentes et cadrans divers qui veinent ses parois et pourraient donner l’impression de s’être enfermé dans une vieille chaufferie, le grand salon est fort confortable et l’on oublierait qu’on est dans un sous-marin. L’espace est assez vaste pour s’y déplacer avec aisance, la chaleur y est agréable et il est meublé avec goûts. Une grande horloge est visible sur le mur du fond, une table de réception trône au milieu de la pièce, encerclée de hautes chaises rembourrées, tandis que, de-ci de-là, de grands sofas et d’épais fauteuils individuels offrent leurs bras et leurs coussins. Dans une alcôve, suffisamment discrète pour ne pas être entendu si l’on parle doucement, on trouve même un appareil de téléphone ! Sur les murs, des tableaux représentant des scènes maritimes sont accrochés. Un plan du bathyscaphe est également affiché en hauteur.
Poursuivant votre descente tel un Orphée moderne, vous prenez un second sas, aboutissant cette fois sur un escalier métallique à double quart tournant et dont les marches sont composées d’un caillebotis pressé afin d’éviter toute glissade.
Le couloir principal de ce niveau intermédiaire relie la coursive avant à la coursive arrière, ainsi que l’escalier montant vers le niveau supérieur à l’escalier descendant vers le niveau inférieur.
Anthon Blake vous montre votre cabine et y dépose vos affaires. Il vous précède ensuite dans le luxueux escalier en spirale, décoré d’un magnifique tapis, qui vous amène au dernier niveau et vous guide vers le salon principal. Après vous avoir invité à vous installer confortablement, le domestique vous demande de bien vouloir attendre là que les autres invités et son maître arrivent à leur tour, puis remonte pour continuer d’accueillir les suivants.
Malgré les tuyauteries apparentes et cadrans divers qui veinent ses parois et pourraient donner l’impression de s’être enfermé dans une vieille chaufferie, le grand salon est fort confortable et l’on oublierait qu’on est dans un sous-marin. L’espace est assez vaste pour s’y déplacer avec aisance, la chaleur y est agréable et il est meublé avec goûts. Une grande horloge est visible sur le mur du fond, une table de réception trône au milieu de la pièce, encerclée de hautes chaises rembourrées, tandis que, de-ci de-là, de grands sofas et d’épais fauteuils individuels offrent leurs bras et leurs coussins. Dans une alcôve, suffisamment discrète pour ne pas être entendu si l’on parle doucement, on trouve même un appareil de téléphone ! Sur les murs, des tableaux représentant des scènes maritimes sont accrochés. Un plan du bathyscaphe est également affiché en hauteur.
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi