24/01/2025, 15:14
Bonjour, Voici mon retour de lecture.
J’ai bien aimé cette histoire, assez courte mais avec de nombreuses fins alternatives. Nous incarnons Vercingétorix, et le suivons dans ses choix de chef de guerre contre César…
Bien écrit, j’ai passé un bon moment
Les relations entre les personnages et les dialogues sont bien trouvés.
Il y a néanmoins quelques petites choses qui m’ont gênées dans ma lecture :
Déjà la mise en page, et les énormes interlignes qui m’ont agacés lorsque je devais chercher les paragraphes, ce n’était pas du tout facile de trouver les séparations…
Puis le fait d’appeler l’histoire « Le dernier roi » : Vercingétorix n’avait pas un royaume centralisé avec des institutions fixes. Son autorité reposait sur son charisme, son prestige militaire et sa capacité à rallier les élites gauloises à sa cause. Alors en effet, du côté de César et de l’interprétation romaine : Les Romains, qui avaient leur propre vision de la royauté, ont parfois qualifié Vercingétorix de "roi", car cela simplifiait leur récit en le présentant comme un souverain unique d’un peuple ennemi. Mais ici nous incarnons le peuple gaulois, pas la vision des romains, j’aurais plutôt écrit : « Le dernier chef de guerre ».
Et pour finir, un autre truc qui m’a bien plus embêté : la description des habitations gauloises du l’oppidum de Gergovie n’est pas crédible. Nous ne sommes pas encore ici dans une cité romaine avec ses rues ! Nous sommes chez les gaulois libres ! Les habitations dans l’oppidum de Gergovie étaient construites en pierre volcanique mais de bois et de torchis. Les toits étaient recouverts de chaume. Ces habitations étaient rectangulaires ou légèrement ovales. Leur taille moyenne allait de 10 à 20 m² pour les structures modestes, bien que les élites locales aient eu des maisons plus grandes. Mais comme dans les autres oppida, les maisons avaient une seule pièce principale, utilisée pour dormir, cuisiner et vivre ! Les sols étaient souvent en terre battue, parfois recouverts de nattes ou de peaux. Un foyer central servait à chauffer et cuisiner. Des cloisons légères en bois ou en tissu (peaux d'animaux, lin tissé) pouvaient créer des espaces de stockage ou d’intimité… Bref ! pas du tout la description qui en est faite dans ce texte ! Ici on peut lire à trois ou 4 reprises que les maisons ont de nombreuses pièces dont une chambre (exemple chapitre 29 : « Toutes les pièces de la maison… ») et aussi qu’elles étaient mitoyennes dans des rues, et on peut entrer dans une auberge et en ressortir dans la rue de derrière pour fuir par la porte arrière… en fait il n’y avait qu’une porte d’entrée et les maisons étaient les unes à côté des autres… Bref, ces éléments m’ont titillés ma perception d'amoureux de cette période ;o)
J’ai bien aimé cette histoire, assez courte mais avec de nombreuses fins alternatives. Nous incarnons Vercingétorix, et le suivons dans ses choix de chef de guerre contre César…
Bien écrit, j’ai passé un bon moment
Les relations entre les personnages et les dialogues sont bien trouvés.
Il y a néanmoins quelques petites choses qui m’ont gênées dans ma lecture :
Déjà la mise en page, et les énormes interlignes qui m’ont agacés lorsque je devais chercher les paragraphes, ce n’était pas du tout facile de trouver les séparations…
Puis le fait d’appeler l’histoire « Le dernier roi » : Vercingétorix n’avait pas un royaume centralisé avec des institutions fixes. Son autorité reposait sur son charisme, son prestige militaire et sa capacité à rallier les élites gauloises à sa cause. Alors en effet, du côté de César et de l’interprétation romaine : Les Romains, qui avaient leur propre vision de la royauté, ont parfois qualifié Vercingétorix de "roi", car cela simplifiait leur récit en le présentant comme un souverain unique d’un peuple ennemi. Mais ici nous incarnons le peuple gaulois, pas la vision des romains, j’aurais plutôt écrit : « Le dernier chef de guerre ».
Et pour finir, un autre truc qui m’a bien plus embêté : la description des habitations gauloises du l’oppidum de Gergovie n’est pas crédible. Nous ne sommes pas encore ici dans une cité romaine avec ses rues ! Nous sommes chez les gaulois libres ! Les habitations dans l’oppidum de Gergovie étaient construites en pierre volcanique mais de bois et de torchis. Les toits étaient recouverts de chaume. Ces habitations étaient rectangulaires ou légèrement ovales. Leur taille moyenne allait de 10 à 20 m² pour les structures modestes, bien que les élites locales aient eu des maisons plus grandes. Mais comme dans les autres oppida, les maisons avaient une seule pièce principale, utilisée pour dormir, cuisiner et vivre ! Les sols étaient souvent en terre battue, parfois recouverts de nattes ou de peaux. Un foyer central servait à chauffer et cuisiner. Des cloisons légères en bois ou en tissu (peaux d'animaux, lin tissé) pouvaient créer des espaces de stockage ou d’intimité… Bref ! pas du tout la description qui en est faite dans ce texte ! Ici on peut lire à trois ou 4 reprises que les maisons ont de nombreuses pièces dont une chambre (exemple chapitre 29 : « Toutes les pièces de la maison… ») et aussi qu’elles étaient mitoyennes dans des rues, et on peut entrer dans une auberge et en ressortir dans la rue de derrière pour fuir par la porte arrière… en fait il n’y avait qu’une porte d’entrée et les maisons étaient les unes à côté des autres… Bref, ces éléments m’ont titillés ma perception d'amoureux de cette période ;o)