Il me semble bien que la vocation du mini-Yaz était de permettre à des auteurs débutants de se lancer dans un projet qu'ils seraient capables de terminer. En effet, combien de personnes sont arrivées ici pleines de motivation, proposant des idées intéressantes, mais n'allant jamais au bout de leur projet à cause de l'ampleur de la tâche? Je ne sais pas le nombre exact, mais je sais que c'est trop!
50 sections, c'est souvent une contrainte. Mais au moins cela permet de ne pas partir dans toutes les directions et se perdre. Pour les débutants c'est parfait. Et ainsi, mêmes de jeunes auteurs peuvent arriver à produire quelque chose.
Il me semble qu'il a été un jour question d'interdire aux lauréats (ou juste au gagnant) de participer à nouveau, pour faire de ces mini-Yaz une porte d'entrée réservée en substance aux nouveaux auteurs (pouvant se mesurer à des "anciens" non primés).
C'est une autre piste à étudier.
Pour la dichotomie amateur/sérieux, les bases de ce "problème" me semblent bien posées. On en revient souvent à la question du temps et de l'investissement. Par ce qu'on pourrait par exemple trouver une personne ou un groupe de personne qui se chargent à temps plein de la promotion, de la com, du recrutement des assesseurs, du règlement et de ses ajustements, etc. De manière "sérieuse", même si ce n'est pas aller jusqu'à "professionnel". Mais au moins de manière assidue et avec un certain niveau de compétence pour faire ce "job". Sauf qu'au bout de 2 ou 3 ans cette ou ces personnes se trouvent contraintes, et ne peuvent plus assurer ce service. Et hop, retour vers le côté improvisé: quelqu'un poste un jour un message "au fait, quid des mini-Yaz cette année, c'est pas le moment de choisir le thème?" , et alors la machine se met en route. De bonnes âmes finissent par se dévouer pour être assesseurs, et tout fonctionne bon gré mal gré. Mais rien n'est cadré et c'est dommage. Mais en même temps, le moyen de faire autrement?
50 sections, c'est souvent une contrainte. Mais au moins cela permet de ne pas partir dans toutes les directions et se perdre. Pour les débutants c'est parfait. Et ainsi, mêmes de jeunes auteurs peuvent arriver à produire quelque chose.
Il me semble qu'il a été un jour question d'interdire aux lauréats (ou juste au gagnant) de participer à nouveau, pour faire de ces mini-Yaz une porte d'entrée réservée en substance aux nouveaux auteurs (pouvant se mesurer à des "anciens" non primés).
C'est une autre piste à étudier.
Pour la dichotomie amateur/sérieux, les bases de ce "problème" me semblent bien posées. On en revient souvent à la question du temps et de l'investissement. Par ce qu'on pourrait par exemple trouver une personne ou un groupe de personne qui se chargent à temps plein de la promotion, de la com, du recrutement des assesseurs, du règlement et de ses ajustements, etc. De manière "sérieuse", même si ce n'est pas aller jusqu'à "professionnel". Mais au moins de manière assidue et avec un certain niveau de compétence pour faire ce "job". Sauf qu'au bout de 2 ou 3 ans cette ou ces personnes se trouvent contraintes, et ne peuvent plus assurer ce service. Et hop, retour vers le côté improvisé: quelqu'un poste un jour un message "au fait, quid des mini-Yaz cette année, c'est pas le moment de choisir le thème?" , et alors la machine se met en route. De bonnes âmes finissent par se dévouer pour être assesseurs, et tout fonctionne bon gré mal gré. Mais rien n'est cadré et c'est dommage. Mais en même temps, le moyen de faire autrement?