Une AVH dont certains passages me parlent particulièrement puisque je rédige ces jours-ci une aventure se passant dans le grand nord. La scène de Croc-Noir sautant sur le héros en brisant une congère sera peut-être réutilisée
Je lis en exergue qu'un recueil de contes et légendes aurait inspiré ce texte, et ça m'a intrigué : le motif de la Chasse fantastique*, comme celui de l'Ankou, est-il à ce point universel ? Si oui, ça doit dire quelque chose de la psyché humaine. Ou alors ce ne sont que de multiples avatars d'un conte originel, datant des débuts de l'humanité. mais je m'égare de l'Est ! Ce qui est fort dans le nord.
Adoncques, une AVH à règles simples (deux compteurs) et une intrigue qui m'a paru l'être aussi, car je suis arrivé à la fin "Tous ensemble" sans difficulté excessive. La fin "L'Intrus" me plaît. Je note l'usage de l'adjectif « oblong(ue) », que je crois n'avoir lu que chez Rostand et chez Wilde (cet enrichissement de vocabulaire). Ah tiens, un point médian pour distinguer curieux de curieuse, décidément l'édition des AVH de cette année est attentive à la question du rapport masculin/féminin (Dans l'angle mort, Plongée en enfer).
Une AVH sympa, qui ne m'a pas paru difficile, se lit bien. L'aventure est courte mais j'avoue que ça ne me dérange pas, je n'arrive pas bien à me plonger dans des récits longs sur écran. Et cela motive à retenter, relire.
*On se rappelle que le roman Le Chien des Baskerville se fonde sur une légende proche du sud-ouest de l'Angleterre, Conan Doyle le rappelle en ouverture du bouquin.
Je lis en exergue qu'un recueil de contes et légendes aurait inspiré ce texte, et ça m'a intrigué : le motif de la Chasse fantastique*, comme celui de l'Ankou, est-il à ce point universel ? Si oui, ça doit dire quelque chose de la psyché humaine. Ou alors ce ne sont que de multiples avatars d'un conte originel, datant des débuts de l'humanité. mais je m'égare de l'Est ! Ce qui est fort dans le nord.
Adoncques, une AVH à règles simples (deux compteurs) et une intrigue qui m'a paru l'être aussi, car je suis arrivé à la fin "Tous ensemble" sans difficulté excessive. La fin "L'Intrus" me plaît. Je note l'usage de l'adjectif « oblong(ue) », que je crois n'avoir lu que chez Rostand et chez Wilde (cet enrichissement de vocabulaire). Ah tiens, un point médian pour distinguer curieux de curieuse, décidément l'édition des AVH de cette année est attentive à la question du rapport masculin/féminin (Dans l'angle mort, Plongée en enfer).
Une AVH sympa, qui ne m'a pas paru difficile, se lit bien. L'aventure est courte mais j'avoue que ça ne me dérange pas, je n'arrive pas bien à me plonger dans des récits longs sur écran. Et cela motive à retenter, relire.
*On se rappelle que le roman Le Chien des Baskerville se fonde sur une légende proche du sud-ouest de l'Angleterre, Conan Doyle le rappelle en ouverture du bouquin.