05/06/2021, 21:13
(Modification du message : 05/06/2021, 21:15 par grattepapier.)
Cette AVH est un diamant noir. Un long poème épique d’une noirceur absolue rempli du fracas des armes, de cris de démons et de râles des mourants. Un petit chef d’œuvre de manipulation aussi qui nous embarque pendant 49 paragraphes vers un objectif... avant de bifurquer à 180 degrés au paragraphe final avec un twist hallucinant qui déplace complètement l’enjeu. Gwalchmei, J’avais déjà remarqué ton incroyable style en lisant « Les âmes seules ». Je suis à nouveau époustouflé par ta prose. Le vocabulaire est d’une grande richesse que cela soit dans la description des lieux ou des combats. Il n’y a pas une phrase mal construite, pas un mot inadapté (excepté « hoplites » à mon avis trop connoté historiquement). Que dire sinon un grand Bravo ?
(Ps : petite coquille au paragraphe 15 : « des les loups ».)
(Ps : petite coquille au paragraphe 15 : « des les loups ».)