02/05/2020, 17:42
(02/05/2020, 16:06)Bruenor a écrit : Merci pour l'explication du loup Jehan, je comprends mieux maintenant.
Pour mon itinéraire :
Montrer le contenuSpoilerJ'ai commencé par me laisser emmener par le passeur puis j'ai affronté Eaque. Je me suis sorti du Styx, j'ai sauté sur la balance du côté qui inverse les stats. Aux statues j'ai opté (après un passage au 13 en étant trop curieux sur les coffres ^^) pour le coffre où se trouvait le glaive et j'ai pris la voie du prévoyant.
Ensuite encore un passage au 13 après avoir bu de l'eau une fois la porte ouverte avec la clef obtenue plus tôt. J'ai essayé de caresser le loup mais c'était une mauvaise idée, mais non fatale heureusement, puis j'ai affronté l'homme avec le glaive, je l'ai aidé à se relever et... victoire !
J'ai dû perdre une fois aux dés sur un test aussi.
Très intéressant.
Montrer le contenu
SpoilerAffronter Éaque fait qu’on passe à côté d’un certain nombre de rencontres, mais permet aussi d’en éviter les dangers, et surtout de récupérer la clef du Tartare. On peut alors choisir le chemin « du prévoyant », ce que tu as fait, et qui est justement dédié aux joueurs possédant déjà la clef. Sinon, il faut affronter Cerbère (combat plus dangereux qu’Éaque car potentiellement mortel) ou perdre de précieux points d’attribut.
On peut éviter le combat avec l’anneau récupéré dans l’un des coffres d’Hécate, mais c’est plus hasardeux, et ça fait passer à côté d’autres objets utiles. Le glaive est un choix sûr (la torche ne donne qu’une indication concernant l’autre manière de vaincre l’antagoniste final), qui permet en plus de s’autoriser, comme tu l’as fait, l’inversion de ses attributs en cas de menos élevé puisqu’on dispose alors d’une arme qui compense la perte de vigueur physique.
Des choix bien vus, donc. Tout à fait le genre de cheminement que j’espérais voir les lecteurs faire !
(L’eau est effectivement un piège. L’introduction parle des cinq fleuves, et le seul qu’on n’a pas encore croisé à ce moment du récit est le Léthé, décrit comme faisant oublier les souvenirs. Toutefois, il est aussi possible d’en recueillir l’eau pour gagner d’une autre manière, à la fin. C’est plus difficile que l’affrontement, et ça nécessite de passer par un endroit précis, mais c’est gratifiant pour le lecteur qui y parvient.)
On peut éviter le combat avec l’anneau récupéré dans l’un des coffres d’Hécate, mais c’est plus hasardeux, et ça fait passer à côté d’autres objets utiles. Le glaive est un choix sûr (la torche ne donne qu’une indication concernant l’autre manière de vaincre l’antagoniste final), qui permet en plus de s’autoriser, comme tu l’as fait, l’inversion de ses attributs en cas de menos élevé puisqu’on dispose alors d’une arme qui compense la perte de vigueur physique.
Des choix bien vus, donc. Tout à fait le genre de cheminement que j’espérais voir les lecteurs faire !
(L’eau est effectivement un piège. L’introduction parle des cinq fleuves, et le seul qu’on n’a pas encore croisé à ce moment du récit est le Léthé, décrit comme faisant oublier les souvenirs. Toutefois, il est aussi possible d’en recueillir l’eau pour gagner d’une autre manière, à la fin. C’est plus difficile que l’affrontement, et ça nécessite de passer par un endroit précis, mais c’est gratifiant pour le lecteur qui y parvient.)
(02/05/2020, 17:17)Loi-Kymar a écrit : Une petite question qui me vient en retard :Montrer le contenuSpoilerQuand on tente d'embobiner Charon avant de le balancer dans le Styx, qu'est-ce qui, au moment de l'affrontement physique, justifie un test de phrenes plutôt que de menos ?
Montrer le contenu
SpoilerEn fait, il n’y a pas d’affrontement à proprement parler à ce moment-là : on donne juste un violent coup de pied à Charon pour le faire tomber dans le fleuve, en espérant que nos paroles l’ont suffisamment embobiné pour qu’il ne soit plus sur ses gardes. L’épreuve de phrenes détermine si on a réussi à le déstabiliser par notre boniment.