04/07/2018, 23:31
Merci pour ce retour.
Au départ, le groupe était censé être mixte et paritaire.
Puis j'ai eu un flashback d'à quel point ça avait été pénible au niveau des accords dans Y de ne pas connaître le genre du protagoniste d'un paragraphe donné, et j'ai converti tout le monde au féminin.
Dans mes notes de travail, j'avais envisagé que la partie où les bénévoles discutent avec les responsables (passage de deux lignes dans l'intro actuelle) soit jouée, sous forme d'une sorte de questionnaire : la bénévole pose des questions la responsable répond, le lecteur choisissant les réponses apportées parmi une liste de propositions toutes vraies, mais mettant l'accent sur des éléments différents. En fonction des réponses obtenues, les bénévoles s'organisaient ensuite elles-mêmes directement. C'était aussi l'occasion de caser un maximum d'informations sur les différents personnages, via leurs interactions.
Mais j'ai eu un peu peur que ça ne devienne un roman fleuve d'une dizaine de pages au lieu d'une simple introduction. Et suis peut-être tombé dans la simplification extrême inverse.
tholdur a écrit :(mais où sont les hommes?)
Au départ, le groupe était censé être mixte et paritaire.
Puis j'ai eu un flashback d'à quel point ça avait été pénible au niveau des accords dans Y de ne pas connaître le genre du protagoniste d'un paragraphe donné, et j'ai converti tout le monde au féminin.
tholdur a écrit :Normalement chacune connait bien ses capacités et affinités, et la répartition des tâches devrait se dérouler selon un protocole depuis longtemps établi. Mais c'est là qu'intervient la main du lecteur, qui va manipuler les fils des 6 marionnettes mises à sa disposition, pour les envoyer à l'aveuglette (il ne dispose que des descriptions sommaires pour tenter de cerner leur personnalité et juger qui sera mieux à même de réussir telle ou telle tâche) vers telle ou telle mission. Pour moi c'est bien là que le bât blesse. C'est tellement contre-nature d'annihiler les volontés des 6 personnages, d'en faire de simples pantins qui vont là où on le décide alors qu'elles savent ce qu'elles peuvent faire et pas nous! Il n'y a normalement aucune raison pour qu'elles se fourvoient vers des tâches pour lesquelles elles n'ont pas d'affinité particulière.
Dans mes notes de travail, j'avais envisagé que la partie où les bénévoles discutent avec les responsables (passage de deux lignes dans l'intro actuelle) soit jouée, sous forme d'une sorte de questionnaire : la bénévole pose des questions la responsable répond, le lecteur choisissant les réponses apportées parmi une liste de propositions toutes vraies, mais mettant l'accent sur des éléments différents. En fonction des réponses obtenues, les bénévoles s'organisaient ensuite elles-mêmes directement. C'était aussi l'occasion de caser un maximum d'informations sur les différents personnages, via leurs interactions.
Mais j'ai eu un peu peur que ça ne devienne un roman fleuve d'une dizaine de pages au lieu d'une simple introduction. Et suis peut-être tombé dans la simplification extrême inverse.