Il y a de très bons ingrédients, qui ont fait le succès de Georges le Zombie (humour) et rappellent le château du sorcier [message à Outremer pour qu'il remette cette "grande mini-AVH" sur Litteraction "comme convenu"] ou plutôt du vampire (comment faire face à l'envahisseur), mais la sauce ne prend pas tout à fait.
L'humour ne fonctionne pas autant qu'il devrait car on a affaire à un noble, un aristocrate, et l'humour potache qui colle tout à fait avec le personnage du zombie passe moins bien avec l'aristo. Je pense qu'un humour plus mesquin, moins drôle finalement, une sorte de pseudo-humour "de riche" dont on pourrait se moquer fonctionnerait mieux. Mais l'humour en lui même, hors contexte "aristo", est souvent très bon.
Pour l'invasion, je suis tombé deux fois sur la mauvaise fin, sans comprendre comment en trouver de meilleures (j'ai compulsé les sections pour cela), et surtout pourquoi les trouver. J'ai donc aussi éprouvé le fameux sentiment d'arbitraire, même si ce n'est pas tout à fait de la même manière que pour Ora est Labora ou Incarnations. Ici on a bien des choix, des interactions, mais pour au final se sentir injustement (et donc arbitrairement) grugé par la mauvaise fin. Il fallait donner des indices et ne pas nous donner un "faux objectif". Même en sachant à ma deuxième tentative qu'il fallait procéder autrement, je n'ai pas trouvé le moyen de réussir à changer de mode d'approche. Donc frustré une première fois par le fait d'avoir rempli la mission correctement et de s'entendre dire que c'est raté, et frustré la deuxième fois de ne pas avoir eu l'emprise nécessaire pour réussir à trouver le bon chemin. La bonne fin semble trop en décalage avec l'humour sous-jacent. Elle est plus poignante, plus raisonnable, plus tragique. Je pense qu'elle mériterait d'avoir une petite touche "déconnante" comme une réflexion du genre
pour faire écho au spoiler de Salla.
J'aime bien aussi le principe de donner un titre à chaque section, comme c'était le cas pour Georges le Zombi. Cela donne une identité certaine au récit sans être anti-immersif. Je n'ai pas eu le temps de rejouer à la loyale, mais la rejouabilité est là également. Malgré le grand écart avec le côté burlesque du début et le "tragique" de la fin, j'ai quand même bien apprécié dans l'ensemble.
L'humour ne fonctionne pas autant qu'il devrait car on a affaire à un noble, un aristocrate, et l'humour potache qui colle tout à fait avec le personnage du zombie passe moins bien avec l'aristo. Je pense qu'un humour plus mesquin, moins drôle finalement, une sorte de pseudo-humour "de riche" dont on pourrait se moquer fonctionnerait mieux. Mais l'humour en lui même, hors contexte "aristo", est souvent très bon.
Pour l'invasion, je suis tombé deux fois sur la mauvaise fin, sans comprendre comment en trouver de meilleures (j'ai compulsé les sections pour cela), et surtout pourquoi les trouver. J'ai donc aussi éprouvé le fameux sentiment d'arbitraire, même si ce n'est pas tout à fait de la même manière que pour Ora est Labora ou Incarnations. Ici on a bien des choix, des interactions, mais pour au final se sentir injustement (et donc arbitrairement) grugé par la mauvaise fin. Il fallait donner des indices et ne pas nous donner un "faux objectif". Même en sachant à ma deuxième tentative qu'il fallait procéder autrement, je n'ai pas trouvé le moyen de réussir à changer de mode d'approche. Donc frustré une première fois par le fait d'avoir rempli la mission correctement et de s'entendre dire que c'est raté, et frustré la deuxième fois de ne pas avoir eu l'emprise nécessaire pour réussir à trouver le bon chemin. La bonne fin semble trop en décalage avec l'humour sous-jacent. Elle est plus poignante, plus raisonnable, plus tragique. Je pense qu'elle mériterait d'avoir une petite touche "déconnante" comme une réflexion du genre
J'aime bien aussi le principe de donner un titre à chaque section, comme c'était le cas pour Georges le Zombi. Cela donne une identité certaine au récit sans être anti-immersif. Je n'ai pas eu le temps de rejouer à la loyale, mais la rejouabilité est là également. Malgré le grand écart avec le côté burlesque du début et le "tragique" de la fin, j'ai quand même bien apprécié dans l'ensemble.