Les tréfonds froids de l'Écosse (d'un coup plus attirants vu la fournaise qu'on vit ici depuis trois mois...), le médiéval crade, une sombre histoire de monstre hantant un village et une grille d'états tous plus négatifs les uns que les autres. De quoi commencer dans la joie et la bonne humeur
Tout d'abord, un coup de chapeau pour le système de jeu, très original et immersif. Il est vrai qu'on change souvent l'état des stat, mais pour une AVH courte ça ne me gène pas outre mesure, et on a bien l'impression qu'elles servent à quelque-chose ^^
L'écriture est de très haute qualité, avec en particulier des dialogues qui sonnent justes et sont richement illustrés par la description des participants dont les humeurs changent (avec juste une exception pour celui du dernier personnage, qui lui tombe plus dans le piège du "descriptif non naturel", mais vu la qualité du reste je garde la critique à un niveau bas). C'est détaillé, ça réussi à utiliser des termes d'époque sans faire forcé, bravo !
De même, les évènements et les situations transpirent la crédibilité (je ne sais pas si c'est réaliste, mais au moins il y a de la vérisimilitude, ce qui est suffisant), et on se laisse rapidement emporter par l'ambiance générale.
L'histoire est courte, mais contrairement à beaucoup je n'y vois pas une faiblesse - elle dit ce qu'elle a à dire, et montre ce qu'elle a à montrer, et elle le fait dans un format très court sans que cela semble artificiel. Rien à dire là-dessus.
Un peu moins fan de la "bonne" fin en revanche, l'évènement final me semble parachuté là sans trop de sens. Ce n'est pas un gros point noir, mais ça fait un peu "Diabolus Ex Machina" comme dirait TVTrope. L'image est particulièrement bien trouvé en revanche, et l'idée de contraste assez malsaine entre "la compassion venant d'un monstre, le manque de compassion venant des autres" est bien trouvé (même si pour le coup je rejoins quand même Fitz sur la générosité de la perception du monstre et la sévérité de celle du Père Shelby).
Non, dans l'ensemble, c'est du tout bon et je valide. Bravo, et ça serait bien d'avoir plus souvent des AVH de ta part
Ah sinon, complètement en-dehors du retour, j'ai juste envie de rebondir sur un point de la discussion dans ces dernières pages :
Tout d'abord, un coup de chapeau pour le système de jeu, très original et immersif. Il est vrai qu'on change souvent l'état des stat, mais pour une AVH courte ça ne me gène pas outre mesure, et on a bien l'impression qu'elles servent à quelque-chose ^^
L'écriture est de très haute qualité, avec en particulier des dialogues qui sonnent justes et sont richement illustrés par la description des participants dont les humeurs changent (avec juste une exception pour celui du dernier personnage, qui lui tombe plus dans le piège du "descriptif non naturel", mais vu la qualité du reste je garde la critique à un niveau bas). C'est détaillé, ça réussi à utiliser des termes d'époque sans faire forcé, bravo !
De même, les évènements et les situations transpirent la crédibilité (je ne sais pas si c'est réaliste, mais au moins il y a de la vérisimilitude, ce qui est suffisant), et on se laisse rapidement emporter par l'ambiance générale.
L'histoire est courte, mais contrairement à beaucoup je n'y vois pas une faiblesse - elle dit ce qu'elle a à dire, et montre ce qu'elle a à montrer, et elle le fait dans un format très court sans que cela semble artificiel. Rien à dire là-dessus.
Un peu moins fan de la "bonne" fin en revanche, l'évènement final me semble parachuté là sans trop de sens. Ce n'est pas un gros point noir, mais ça fait un peu "Diabolus Ex Machina" comme dirait TVTrope. L'image est particulièrement bien trouvé en revanche, et l'idée de contraste assez malsaine entre "la compassion venant d'un monstre, le manque de compassion venant des autres" est bien trouvé (même si pour le coup je rejoins quand même Fitz sur la générosité de la perception du monstre et la sévérité de celle du Père Shelby).
Non, dans l'ensemble, c'est du tout bon et je valide. Bravo, et ça serait bien d'avoir plus souvent des AVH de ta part
Ah sinon, complètement en-dehors du retour, j'ai juste envie de rebondir sur un point de la discussion dans ces dernières pages :
La violence n'est pas la bonne réponse !
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".
La violence est la question. La bonne réponse est "oui".