15/07/2017, 15:40
Mon feed vient tardivement mais l'essentiel est là : ton avh est enivrante.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance qui se dégage de ce petit bourg breton, moi qui rêve de visiter ce coin de la France, j'avais des images plein les yeux, jusqu'au grain des pierres des maisons, donc niveau immersion c'est gagné.
Niveau scénario on entre assez vite dans le peau de notre double littéraire, mention spéciale à l'interview du début pour affiner nos caractéristiques, c'est drôle, inattendu et surtout une belle trouvaille.
La linéarité relative de l'avh ne m'a pas gêné (compliqué sur si peu de paragraphes, on a quasiment tous le même problème !) et l'intrigue tient bien en haleine. J'ai perdu plusieurs fois avant d'arriver à l'épilogue 2.
Une histoire et une mise en scène digne d'un film glaçant de Stephen King (pourquoi je pensais à shining ? impossible à dire. Le froid, le climat breton me faisait penser à L'overlook pourtant très éloigné, la vieille dame de la chambre 203, bref, je ne sais pas King revenait sans cesse dans ma tête). Ton style est toujours fluide, aéré et aérien, l'ajout de photos en incrustation dans les paragraphes est une excellente idée surtout que les photos possèdent des cadrages sympas...
Bien joué pour la photo de Pierre Braz dès l'intro...
En conclusion ton avh est glaçante du début à la fin avec un froid qui monte au fil de la lecture. Une bien belle réussite qui m'a fait passer un excellent moment.
PS : un détail m'a fait sourire car on a tous vécu ça un jour mais là pour le coup tu le mets sur le devant de la scène :
Votre regard reste fixé sur le curseur qui clignote, un brin provocateur. Il parait vous narguer et demande « Alors ? Et maintenant ? On fait quoi ? »
Le syndrome de la page blanche ! Énorme
J'ai beaucoup aimé l'ambiance qui se dégage de ce petit bourg breton, moi qui rêve de visiter ce coin de la France, j'avais des images plein les yeux, jusqu'au grain des pierres des maisons, donc niveau immersion c'est gagné.
Niveau scénario on entre assez vite dans le peau de notre double littéraire, mention spéciale à l'interview du début pour affiner nos caractéristiques, c'est drôle, inattendu et surtout une belle trouvaille.
La linéarité relative de l'avh ne m'a pas gêné (compliqué sur si peu de paragraphes, on a quasiment tous le même problème !) et l'intrigue tient bien en haleine. J'ai perdu plusieurs fois avant d'arriver à l'épilogue 2.
Une histoire et une mise en scène digne d'un film glaçant de Stephen King (pourquoi je pensais à shining ? impossible à dire. Le froid, le climat breton me faisait penser à L'overlook pourtant très éloigné, la vieille dame de la chambre 203, bref, je ne sais pas King revenait sans cesse dans ma tête). Ton style est toujours fluide, aéré et aérien, l'ajout de photos en incrustation dans les paragraphes est une excellente idée surtout que les photos possèdent des cadrages sympas...
Bien joué pour la photo de Pierre Braz dès l'intro...
En conclusion ton avh est glaçante du début à la fin avec un froid qui monte au fil de la lecture. Une bien belle réussite qui m'a fait passer un excellent moment.
PS : un détail m'a fait sourire car on a tous vécu ça un jour mais là pour le coup tu le mets sur le devant de la scène :
Votre regard reste fixé sur le curseur qui clignote, un brin provocateur. Il parait vous narguer et demande « Alors ? Et maintenant ? On fait quoi ? »
Le syndrome de la page blanche ! Énorme
lorsque chantent les cigales, sois sûr d'avoir des glaçons au congel... Proverbe provençal amateur de pastaga