25/02/2017, 18:53
(Modification du message : 25/02/2017, 18:57 par Lyzi Shadow.)
[commence un message le 11 décembre 2016]
On passe au feedback d'Overlords.
Encore désolé pour l'IMMENSE retard... Mais je n'ai pas encore dit mon dernier mot !
Quand j'ai écrit que je ne savais pas combien de temps durerait ma pause entre la réponse à Sukumvit et la réponse à Overlords, je me doutais déjà un peu que j'aurais sans doute la flemme de me remettre à poster dans la même soirée, mais je m'attendais pas à ce qu'elle dure TROIS MOIS ! [NDLS: mon dernier message de "retour des feedbacks" datant du 10 septembre 2017]
C'est juste que j'ai été très pris suite à ce post, et puis bon après, le train-train s'instaurant, il était difficile de retrouver la motivation...
Bref, sans plus d'attente...
OK
Merci pour tout ça, c'est en effet plus ou moins ce qui a déjà été dit.
Après mon retour à la deuxième partie du feedback de Jehan, je ne suis plus tout à fait sûr que le système soit vraiment équilibré (Dex/Per est complètement sous-utilisé, cf. mon long post).
Mais ça me rassure, après la diatribe embrouillée de Caïthness, de voir un joueur de plus qui trouve que la difficulté n'est pas insurmontable et les choix assez logiques - ce que tu appelles "être bien aiguillé" ou "suivre les indications données par l'auteur".
[reprend le brouillon 2 mois et demi plus tard...]
Décidément !
Reprenons, donc...
Au 8 nous sommes donc attaqués par un zombie un contaminé, et au 22, il nous mord effectivement.
À partir de là, il y a plusieurs façons de le vaincre, tu choisis de faire levier au 13. Tu réussis le test et va au 42.
Le 42 te dit que tu files derrière la porte au bout du couloir et t'envoies au 25, ce qui est le paragraphe titré du balcon du premier étage (aile droite). De la même façon que le 1 est le paragraphe titré de la remise ou le 46 le paragraphe titré du grenier.
Bon, il faut comprendre deux choses :
1) il y a plusieurs façons possibles d'arriver au 25 (4 paragraphes y mènent directement, sans compter les retours après y être déjà passé), donc je dois éviter d'écrire dans le 25 des choses qui ont été dites dans certains chemins y menant, vu que la répétition nuirait au sentiment de cohérence, d'immersion. Or, au 10, qui est le seul chemin par lequel le protagoniste n'arrive pas au balcon en pleine panique, décrit déjà qu'on arrive sur un balcon intérieur...
2) dans ton cas, le protagoniste court vers la porte et la claque derrière lui, sans avoir eu le temps d'observer ce qu'il y a derrière la porte. C'est le cas des paragraphes 11, 31 et 42 (le tien) : le perso fuit le contaminé, et n'a pas le temps d'ouvrir doucement la porte et d'évaluer le danger derrière, contrairement au 10.
Il est donc bien, de but en blanc, dans la situation d'être sur un balcon sans avoir eu bien le temps de l'observer jusque là.
Mais je conçois que la transition, surtout si on ne lit pas le titre, peut paraître abrupte. Si on considère le titre comme extérieur au texte, la lecture s'enchaîne comme ça :
Si c'était écrit tel quel, d'affilé, dans une nouvelle, on aurait effectivement l'impression qu'il y a une rupture de la continuité.
Il est vrai que j'aurais pu résoudre ce qui te pose problème en écrivant à la fin des paragraphes 11, 31 et 42, quelque chose dans le genre :
"Vous courez et fermez la porte derrière vous. Après avoir repris votre souffle, vous avez enfin le temps d'observer ce qu'il y a autour de vous et le type de pièce dans lequel vous venez d'échouer. C'est un balcon intérieur. Rendez vous au 25."
Et suit à ça, la description en détail du balcon qu'il y a au 25.
Mais on n'est justement pas dans une nouvelle, mais dans une AVH, avec des paragraphes qui se terminent et qui force une pause le temps de trouver la page et la section où l'on poursuit. J'ai voulu mettre à profit ce format pour créer un effet de suspense, un peu comme le fameux "suspense de fin de page" cher à Hergé (et autres auteurs de BD publiées d'abord en feuilleton dans des magasines avant la sortie en album).
Il me semblait donc impossible de donner au joueur le moindre indice sur la pièce dans laquelle il allait débarquer ! Je voulais que pendant le court laps de temps entre la fin du 11, 31 ou 42, et le début du 25, pendant qu'il "feuillette" le PDF, il se dise, "Mince ! Où vais-je arriver ? Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir précautionneusement la porte pour voir ce qu'il y avait de l'autre côté avant de prendre une décision ! Vais-je tomber dans une situation encore pire que celle que je viens de quitter ?"
Et puis, il arrive sur le 25, et il voit le titre en gros "LE BALCON".
Donc il sait dans quelle pièce il est.
Suit une description du balcon assez détendue, ce qui devrait l'aider à se dire que la situation est calme et qu'il n'y a aucun danger imminent...
À lire ta critique, donc, j'hésite un peu à corriger la fin des 11, 31 ou 42 pour éviter cette impression de rupture abrupte, mais honnêtement, j'aime toujours cet effet de suspense, et je crois que je préfère le garder tel qu'il est, plutôt que de le perdre pour mettre quelque chose qui fait plus souplement la transition avec le 25.
En revanche, à relire ces trois paragraphes, c'est plutôt le 11 que je changerais. Il se termine juste par "vous vous ruez sur la porte". Contrairement aux autres, il ne dit même pas que le protagoniste la claque derrière lui sans prendre le temps de regarder où elle mène. Ça donne un peu l'impression qu'on passe de "courir vers la porte" à subitement "être sur le balcon". Ça peut être implicite dans "vous vous ruez sur la porte", mais ça me gêne davantage.
Je vais réfléchir à un moyen d'assouplir la transition sans perdre les effets de suspense... Le moyen le plus simple, pour l'instant, serait de mettre un court paragraphe de transition entre les deux, ce qui donnerait en gros : fin du 11/31/42 "vous passez la porte sans regarder derrière... où allez-vous tomber ? TA DAAM!", paragraphe transitoire : "bon bah c'est un balcon. Apparemment le monstre ne vous a pas suivi. Rendez-vous au 25 pour regarder le balcon en détail". Début du 25 "le balcon est comme ci et comme ça".
Solution qui aurait été impossible dans la version d'origine présentée aux Mini Yaz 2016, parce que justement, j'essayais de diminuer le nombre de paragraphes au maximum.
Mais dans une version future, ça reste une possibilité.
En tout cas, merci d'avoir présenté cette difficulté à mon attention !
Passons à gynogege...
Moi-même, je vais commencer à être à court de choses à répondre ^^'
Merci ! Et oui, l'hommage au Manoir de l'Enfer est volontaire.
Je pense que c'est pas la première ni la dernière dans l'histoire du Mini Yaz dont le thème n'est pas super développé et plus un point de départ pour imaginer ce qu'on veut après, ni la seule au Mini Yaz 2016. Quel rapport entre "l'héritage" et l'accident de train / possible cataclysme nucléaire de Seul dans les Ténèbres ? Le très bon Dans le désert, il n'y a rien d'Outremer donne un clin d'œil au thème quand, à la fin, SPOILER ALERT, le protagoniste découvre celle qui détient son "héritage" génétique /FIN SPOILER, mais le sujet le plus intéressant de l'AVH est plus sur "la conséquence de nos actions" que ce qu'on entend vraiment par "notre héritage". Le Fille de, de Skarn, auquel j'ai moins accroché, ce n'est pas non plus "l'héritage" qui est le thème le plus intéressant développé dans cette AVH. Je n'arguerai pas que ce thème est inexistant, ce serait ridicule, vu qu'il est présent dans le texte qu'il y a des conséquences à être l'enfant de deux grosses célébrités (voire trois), notamment avec les patients qui viennent un peu en touriste juste pour voir la "fille de" ou celui qui justement lui reproche de l'être. Mais le principal intérêt de cette AVH, c'est surtout que la protagoniste est une sorte d'assistante sociale/psychologue pour des gens bizarres dans un monde bizarre où il y a des super pouvoirs, et comment elle-même, elle vit avec ça. Le thème de l'héritage est finalement assez secondaire, c'est l'UNE des difficultés qu'elle a dans son métier, PARMI D'AUTRES, et pas du tout le point central de l'AVH, malgré son titre. (De la même façon, mon titre "un héritage funeste" ne suffit pas pour que ce soit le thème central de mon AHV.)
C'est pas le sujet qu'on peut avoir une mini-AVH de très bonne qualité, ou moins bonne, sans trop suivre le thème (et certains feedbackeurs et votants aux Mini-Yaz tiennent plus à ce facteur que d'autres dans leur jugement), mais je ne vois pas en quoi dans le cas de mon AVH, dont le thème de l'héritage n'est effectivement pas le principal intérêt de l'AVH, ni vraiment intégré dans son Gameplay, mais est quand même à la base la CAUSE de la présence du perso et la MOTIVATION du méchant pour lui faire du mal... quelque chose de racine, donc... en quoi, donc, le thème est "plus" plaqué que pour les autres AVH du concours ? Pour moi, il n'y a encore que Le Roi est mort, Il était une fois... et Consomption qui sont complètement dans le sujet. Et encore, même dans Consomption, on hérite finalement... de soi-même !
En revanche, je suis d'accord que la fin bâclée et frustrante est LE défaut majeur de mon AVH.
Après, les AVH plus "narratives" de notre communauté sont souvent très bien écrites et très bonnes, donc c'est pas dans une volonté de "faire mieux", mais c'est vrai que j'avais cette envie de me tourner vers l'écriture d'AVH qui soit plus "jeu".
Ces temps-ci, j'ai presque l'envie de me retourner vers du "porte-monstre-trésor", alors que dans les 15 dernières années, c'est un mode de jeu qui me sortait un peu par les yeux (les jeux de rôle d'heroic fantasy que je maîtrisais tentais plus de bâtir une histoire autour de ses personnages), et à mon arrivée sur le forum, je me sentais plus attiré vers des trucs expérimentaux ou originaux, style le Paradoxes d'Akka ou le Fleurir en hiver d'Outremer - qui n'ont vraiment plus rien à voir avec le format KtS d'origine.
En tout cas, merci pour ton Feed !
Feedback de Skarn, check.
Feedback de Gwalchmei, check.
Feedback de Linflas, check.
Feedback de tholdur, check.
Feedback de Namron le Barbu, check.
1er feedback de Jehan, check.
Feedback de Riqius, check.
Feedback de Kraken, check.
Feedback de Caïthness, check.
2ème feedback de Jehan, check.
Feedback de Fitz, check.
Feedback Sukumvit, check.
Feedback d'Overlords, check !
Feedback de gynogege, check !
Feedback de Shamutanti, pending...
Feedback de zoki, pending...
Feedback de kurt, pending...
Feedback de titpolo, pending...
Je fais une pause (on verra si c'est d'une heure ou de trois mois...) et je me mets sur celle de Shamutanti !
On passe au feedback d'Overlords.
Encore désolé pour l'IMMENSE retard... Mais je n'ai pas encore dit mon dernier mot !
Quand j'ai écrit que je ne savais pas combien de temps durerait ma pause entre la réponse à Sukumvit et la réponse à Overlords, je me doutais déjà un peu que j'aurais sans doute la flemme de me remettre à poster dans la même soirée, mais je m'attendais pas à ce qu'elle dure TROIS MOIS ! [NDLS: mon dernier message de "retour des feedbacks" datant du 10 septembre 2017]
C'est juste que j'ai été très pris suite à ce post, et puis bon après, le train-train s'instaurant, il était difficile de retrouver la motivation...
Bref, sans plus d'attente...
(29/07/2016, 16:44)Overlords a écrit : L'AVH compte de nombreux points forts dont la plupart ont déjà été identifiés ici:
- Un style qui fait rentrer directement dans l'aventure
- Un bon aiguillage du joueur (ça peut pas être si facile, mais attention faut pas aller trop loin)
- Un système de caractéristiques pas mal du tout, et sur lequel (je trouve) le joueur est également aiguillé (le fait d'avoir la possibilité de ne pas dépenser tous ses points est déjà une indication)
- Une ambiance incontestable dès l'introduction à laquelle contribue l'entrée en matière lapidaire (effectivement nanardesque mais efficace)
- En revanche, même si je suis mort deux fois, je trouve la difficulté relativement équilibrée si on suit les indications données par l'auteur.
Enfin, mais là c'est personnel, j'adore les histoires de manoir et de savant fou.
OK
Merci pour tout ça, c'est en effet plus ou moins ce qui a déjà été dit.
Après mon retour à la deuxième partie du feedback de Jehan, je ne suis plus tout à fait sûr que le système soit vraiment équilibré (Dex/Per est complètement sous-utilisé, cf. mon long post).
Mais ça me rassure, après la diatribe embrouillée de Caïthness, de voir un joueur de plus qui trouve que la difficulté n'est pas insurmontable et les choix assez logiques - ce que tu appelles "être bien aiguillé" ou "suivre les indications données par l'auteur".
[reprend le brouillon 2 mois et demi plus tard...]
Décidément !
Reprenons, donc...
(29/07/2016, 16:44)Overlords a écrit : Les défauts dont elle souffre ont également été signalés ici. Je ne les rappelle pas mais j'en ajoute un:OK, je suis pas certain de quoi tu parles, donc je vais voir directement dans l'AVH. On est toujours dans le SPOILER donc, parce qu'attention, je vais reprendre au numéro de paragraphe près.
******* SPOILER *******
C'est pas grand chose, mais ça a provoqué chez moi une rupture dans la narration. Donc c'est plus une impression qu'un défaut à part entière. Quand le zombie nous mord, que l'on tente de se dégager en faisant levier (ce que j'ai fait), en cas de réussite, on se retrouve de but en blanc sur un balcon. Je ne saurais pas dire ce qu'il manque mais il manque quelque chose puisque (à moins que le personnage soit plus que choqué), on ne fait plus le lien avec l'environnement dont on vient de sortir.
Voilà !
Au 8 nous sommes donc attaqués par un zombie un contaminé, et au 22, il nous mord effectivement.
À partir de là, il y a plusieurs façons de le vaincre, tu choisis de faire levier au 13. Tu réussis le test et va au 42.
Le 42 te dit que tu files derrière la porte au bout du couloir et t'envoies au 25, ce qui est le paragraphe titré du balcon du premier étage (aile droite). De la même façon que le 1 est le paragraphe titré de la remise ou le 46 le paragraphe titré du grenier.
Bon, il faut comprendre deux choses :
1) il y a plusieurs façons possibles d'arriver au 25 (4 paragraphes y mènent directement, sans compter les retours après y être déjà passé), donc je dois éviter d'écrire dans le 25 des choses qui ont été dites dans certains chemins y menant, vu que la répétition nuirait au sentiment de cohérence, d'immersion. Or, au 10, qui est le seul chemin par lequel le protagoniste n'arrive pas au balcon en pleine panique, décrit déjà qu'on arrive sur un balcon intérieur...
2) dans ton cas, le protagoniste court vers la porte et la claque derrière lui, sans avoir eu le temps d'observer ce qu'il y a derrière la porte. C'est le cas des paragraphes 11, 31 et 42 (le tien) : le perso fuit le contaminé, et n'a pas le temps d'ouvrir doucement la porte et d'évaluer le danger derrière, contrairement au 10.
Il est donc bien, de but en blanc, dans la situation d'être sur un balcon sans avoir eu bien le temps de l'observer jusque là.
Mais je conçois que la transition, surtout si on ne lit pas le titre, peut paraître abrupte. Si on considère le titre comme extérieur au texte, la lecture s'enchaîne comme ça :
Citation :Puis, prenant vos jambes à votre cou, vous filez vers la porte de l'autre côté du couloir, et la refermez derrière vous.
Le balcon surplombe une sorte de large vestibule qui doit être le rez-de-chaussée.
Si c'était écrit tel quel, d'affilé, dans une nouvelle, on aurait effectivement l'impression qu'il y a une rupture de la continuité.
Il est vrai que j'aurais pu résoudre ce qui te pose problème en écrivant à la fin des paragraphes 11, 31 et 42, quelque chose dans le genre :
"Vous courez et fermez la porte derrière vous. Après avoir repris votre souffle, vous avez enfin le temps d'observer ce qu'il y a autour de vous et le type de pièce dans lequel vous venez d'échouer. C'est un balcon intérieur. Rendez vous au 25."
Et suit à ça, la description en détail du balcon qu'il y a au 25.
Mais on n'est justement pas dans une nouvelle, mais dans une AVH, avec des paragraphes qui se terminent et qui force une pause le temps de trouver la page et la section où l'on poursuit. J'ai voulu mettre à profit ce format pour créer un effet de suspense, un peu comme le fameux "suspense de fin de page" cher à Hergé (et autres auteurs de BD publiées d'abord en feuilleton dans des magasines avant la sortie en album).
Il me semblait donc impossible de donner au joueur le moindre indice sur la pièce dans laquelle il allait débarquer ! Je voulais que pendant le court laps de temps entre la fin du 11, 31 ou 42, et le début du 25, pendant qu'il "feuillette" le PDF, il se dise, "Mince ! Où vais-je arriver ? Je n'ai pas eu le temps d'ouvrir précautionneusement la porte pour voir ce qu'il y avait de l'autre côté avant de prendre une décision ! Vais-je tomber dans une situation encore pire que celle que je viens de quitter ?"
Et puis, il arrive sur le 25, et il voit le titre en gros "LE BALCON".
Donc il sait dans quelle pièce il est.
Suit une description du balcon assez détendue, ce qui devrait l'aider à se dire que la situation est calme et qu'il n'y a aucun danger imminent...
À lire ta critique, donc, j'hésite un peu à corriger la fin des 11, 31 ou 42 pour éviter cette impression de rupture abrupte, mais honnêtement, j'aime toujours cet effet de suspense, et je crois que je préfère le garder tel qu'il est, plutôt que de le perdre pour mettre quelque chose qui fait plus souplement la transition avec le 25.
En revanche, à relire ces trois paragraphes, c'est plutôt le 11 que je changerais. Il se termine juste par "vous vous ruez sur la porte". Contrairement aux autres, il ne dit même pas que le protagoniste la claque derrière lui sans prendre le temps de regarder où elle mène. Ça donne un peu l'impression qu'on passe de "courir vers la porte" à subitement "être sur le balcon". Ça peut être implicite dans "vous vous ruez sur la porte", mais ça me gêne davantage.
Je vais réfléchir à un moyen d'assouplir la transition sans perdre les effets de suspense... Le moyen le plus simple, pour l'instant, serait de mettre un court paragraphe de transition entre les deux, ce qui donnerait en gros : fin du 11/31/42 "vous passez la porte sans regarder derrière... où allez-vous tomber ? TA DAAM!", paragraphe transitoire : "bon bah c'est un balcon. Apparemment le monstre ne vous a pas suivi. Rendez-vous au 25 pour regarder le balcon en détail". Début du 25 "le balcon est comme ci et comme ça".
Solution qui aurait été impossible dans la version d'origine présentée aux Mini Yaz 2016, parce que justement, j'essayais de diminuer le nombre de paragraphes au maximum.
Mais dans une version future, ça reste une possibilité.
En tout cas, merci d'avoir présenté cette difficulté à mon attention !
Passons à gynogege...
gynogege a écrit :Je n'ai pas grand chose à ajouter par rapport aux critiques précédentes.
Moi-même, je vais commencer à être à court de choses à répondre ^^'
gynogege a écrit :Une bonne AVH classique qui rappelle immanquablement le Manoir de l'Enfer, des règles équilibrées, quelques passages percutants, tout ce qu'il faut pour passer un bon moment.
Merci ! Et oui, l'hommage au Manoir de l'Enfer est volontaire.
gynogege a écrit :La fin est frustrante mais pourquoi pas après tout ? Par contre par rapport aux mini-Yaz il y a un gros problème: le thème est complètement plaqué et du coup la fin est d'autant plus embêtante qu'on s'attend à avoir des explications ne serait-ce que pour justifier le raccrochage au thème... C'est pour moi le défaut majeur de cette AVH dans le cadre du concours.
Je pense que c'est pas la première ni la dernière dans l'histoire du Mini Yaz dont le thème n'est pas super développé et plus un point de départ pour imaginer ce qu'on veut après, ni la seule au Mini Yaz 2016. Quel rapport entre "l'héritage" et l'accident de train / possible cataclysme nucléaire de Seul dans les Ténèbres ? Le très bon Dans le désert, il n'y a rien d'Outremer donne un clin d'œil au thème quand, à la fin, SPOILER ALERT, le protagoniste découvre celle qui détient son "héritage" génétique /FIN SPOILER, mais le sujet le plus intéressant de l'AVH est plus sur "la conséquence de nos actions" que ce qu'on entend vraiment par "notre héritage". Le Fille de, de Skarn, auquel j'ai moins accroché, ce n'est pas non plus "l'héritage" qui est le thème le plus intéressant développé dans cette AVH. Je n'arguerai pas que ce thème est inexistant, ce serait ridicule, vu qu'il est présent dans le texte qu'il y a des conséquences à être l'enfant de deux grosses célébrités (voire trois), notamment avec les patients qui viennent un peu en touriste juste pour voir la "fille de" ou celui qui justement lui reproche de l'être. Mais le principal intérêt de cette AVH, c'est surtout que la protagoniste est une sorte d'assistante sociale/psychologue pour des gens bizarres dans un monde bizarre où il y a des super pouvoirs, et comment elle-même, elle vit avec ça. Le thème de l'héritage est finalement assez secondaire, c'est l'UNE des difficultés qu'elle a dans son métier, PARMI D'AUTRES, et pas du tout le point central de l'AVH, malgré son titre. (De la même façon, mon titre "un héritage funeste" ne suffit pas pour que ce soit le thème central de mon AHV.)
C'est pas le sujet qu'on peut avoir une mini-AVH de très bonne qualité, ou moins bonne, sans trop suivre le thème (et certains feedbackeurs et votants aux Mini-Yaz tiennent plus à ce facteur que d'autres dans leur jugement), mais je ne vois pas en quoi dans le cas de mon AVH, dont le thème de l'héritage n'est effectivement pas le principal intérêt de l'AVH, ni vraiment intégré dans son Gameplay, mais est quand même à la base la CAUSE de la présence du perso et la MOTIVATION du méchant pour lui faire du mal... quelque chose de racine, donc... en quoi, donc, le thème est "plus" plaqué que pour les autres AVH du concours ? Pour moi, il n'y a encore que Le Roi est mort, Il était une fois... et Consomption qui sont complètement dans le sujet. Et encore, même dans Consomption, on hérite finalement... de soi-même !
En revanche, je suis d'accord que la fin bâclée et frustrante est LE défaut majeur de mon AVH.
Citation :Après en ce qui me concerne j'ai bien aimé pour une fois avoir une AVH à jouer vraiment, par rapport à d'autres beaucoup plus narratives (mais néanmoins remarquables).Oui, c'est vrai qu'elle a un côté plus "arcade" (à l'ancienne, finalement) que des AVH qui tendent plus vers la nouvelle interactive.
Après, les AVH plus "narratives" de notre communauté sont souvent très bien écrites et très bonnes, donc c'est pas dans une volonté de "faire mieux", mais c'est vrai que j'avais cette envie de me tourner vers l'écriture d'AVH qui soit plus "jeu".
Ces temps-ci, j'ai presque l'envie de me retourner vers du "porte-monstre-trésor", alors que dans les 15 dernières années, c'est un mode de jeu qui me sortait un peu par les yeux (les jeux de rôle d'heroic fantasy que je maîtrisais tentais plus de bâtir une histoire autour de ses personnages), et à mon arrivée sur le forum, je me sentais plus attiré vers des trucs expérimentaux ou originaux, style le Paradoxes d'Akka ou le Fleurir en hiver d'Outremer - qui n'ont vraiment plus rien à voir avec le format KtS d'origine.
En tout cas, merci pour ton Feed !
Feedback de Skarn, check.
Feedback de Gwalchmei, check.
Feedback de Linflas, check.
Feedback de tholdur, check.
Feedback de Namron le Barbu, check.
1er feedback de Jehan, check.
Feedback de Riqius, check.
Feedback de Kraken, check.
Feedback de Caïthness, check.
2ème feedback de Jehan, check.
Feedback de Fitz, check.
Feedback Sukumvit, check.
Feedback d'Overlords, check !
Feedback de gynogege, check !
Feedback de Shamutanti, pending...
Feedback de zoki, pending...
Feedback de kurt, pending...
Feedback de titpolo, pending...
Je fais une pause (on verra si c'est d'une heure ou de trois mois...) et je me mets sur celle de Shamutanti !
Mr. Shadow
Doux mon cœur, fermes mes intentions -mantra psi