29/05/2007, 20:09
Personnellement, jaurais tendance à penser que le jeu peut contribuer à la réflexion. Les passages "légers" peuvent permettre d'amener en douceur des réflexions plus complexes, en détendant le lecteur, ce qui le rendra plus réceptif. Si l'homme lambda commence à lire et qu'il voit qu'il s'agit d'un essai philosophique, il arrêtera souvent de lire. Si le début lui plait, pour peu qu'il soit assez plongé dans l'histoire quand arrivera le moment litigieux, il l'assimilera comme le reste de l'oeuvre.
Pour les illustrations, principalement les couvertures dailleurs, il faut bien reconnaître quelle participe au catalogage. Jen tiens pour preuve les dernières couvertures anglaises, orientées très « jeu vidéo avec des gros monstres dedans ! ».
Pour le thème de lamour, je pense quun des problèmes est la durée dune aventure. Incorporer une histoire damour complexe au texte demande de prévoir la structure nécessaire pour laccueillir : aventure qui dure dans le temps, où le héros nest pas un peu trop occupé à trucider des gobelins pour séduire les donzelles. Quand aux morts, il faut bien avouer que les LVH nen ont le plus souvent rien à cirer. Je prends pour exemple les Défis Fantastiques où les seuls remords que lon est susceptible de ressentir occurrent après le meurtre dun personnage ostensiblement classé bon. Mais les temps changent, et les avh évoquent de plus en plus ce genre de chose.
Un simple détail en passant. Jestime quil ny a rien dadulte dans des déferlements inouïs de violence, de sang, de sexe et autres joyeusetés. Le genre de choses racoleuses que promettent les couvertures des nouveaux Défis Fantastiques, ou dune certaine façon des aventures comme Mercenaire. Il sagit du genre de fausse maturité qui plait beaucoup aux adolescents. Tout est une question de dosage et dutilité dans le récit. Le sexe ou le sang pour vendre nen sont que plus risibles.
Pour les illustrations, principalement les couvertures dailleurs, il faut bien reconnaître quelle participe au catalogage. Jen tiens pour preuve les dernières couvertures anglaises, orientées très « jeu vidéo avec des gros monstres dedans ! ».
Pour le thème de lamour, je pense quun des problèmes est la durée dune aventure. Incorporer une histoire damour complexe au texte demande de prévoir la structure nécessaire pour laccueillir : aventure qui dure dans le temps, où le héros nest pas un peu trop occupé à trucider des gobelins pour séduire les donzelles. Quand aux morts, il faut bien avouer que les LVH nen ont le plus souvent rien à cirer. Je prends pour exemple les Défis Fantastiques où les seuls remords que lon est susceptible de ressentir occurrent après le meurtre dun personnage ostensiblement classé bon. Mais les temps changent, et les avh évoquent de plus en plus ce genre de chose.
Un simple détail en passant. Jestime quil ny a rien dadulte dans des déferlements inouïs de violence, de sang, de sexe et autres joyeusetés. Le genre de choses racoleuses que promettent les couvertures des nouveaux Défis Fantastiques, ou dune certaine façon des aventures comme Mercenaire. Il sagit du genre de fausse maturité qui plait beaucoup aux adolescents. Tout est une question de dosage et dutilité dans le récit. Le sexe ou le sang pour vendre nen sont que plus risibles.