Au moins pour le début de l’aventure, on peut affirmer qu’il y a une certaine pauvreté de choix (par là, j’entends qu’il y a des choix absurdes ou évidents : tuer un de ses collègues, tout révéler à l’ennemi), qui renforce le côté linéaire de l’aventure.
Ceci dit, les choix relatifs aux combats sont plutôt intéressants, ajoutant un aspect stratégique et non-aléatoire aux affrontements.
Le héros se remet très vite d’années d’esclavage :
« Jamais depuis la chute du monde vous ne vous étiez senti si heureux de vivre,et c'est dans ce monde étrange aux mœurs encore inexplorées que vous avez le sentiment d'enfin vous retrouver. Comme si les souvenirs de votre vie d'esclave n'étaient plus à présent qu'un mauvais rêve. »
L’alternance des deux mondes est un plus. Mais je pense que ça t’a amené à écrire quelque chose d’encore plus dirigiste (je choisis de fouiller la poubelle plutôt que de grimper à la gouttière, ça ne change rien, j’essaie de continuer de grimper jusqu’en haut, je suis obligé de revenir en arrière…).
J’aime le paragraphe 164 !
A certains moments, j’ai l’impression qu’il y a des raccourcis (le moment où on reçoit sa quête, Stridge nous donne une épée mais ne dit pas au revoir alors qu’elle a le béguin pour nous), et la structure scénaristique reste classique. Au final, notre mission c’est de tuer un grand méchant. Ça reste infiniment mieux à mes yeux qu’une AVH d’heroic fantasy classique, puisque qu’au moins au début on se demande où tu vas nous emmener, mais quand la quête principale est enclenchée c’est moins sympa. Restent les rebondissements et les décors changeants.
Au final, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance sombre bien rendue et le gameplay. Par contre, et j’ai l’impression de faire la critique qu’on m’a déjà fait pour chienlit sur chienlit, j’ai eu l’impression qu'au début du moins tu avais le cul entre deux chaises, avec des passages très sombres et des moments guillerets qui contrastent avec le reste.
Ceci dit, les choix relatifs aux combats sont plutôt intéressants, ajoutant un aspect stratégique et non-aléatoire aux affrontements.
Le héros se remet très vite d’années d’esclavage :
« Jamais depuis la chute du monde vous ne vous étiez senti si heureux de vivre,et c'est dans ce monde étrange aux mœurs encore inexplorées que vous avez le sentiment d'enfin vous retrouver. Comme si les souvenirs de votre vie d'esclave n'étaient plus à présent qu'un mauvais rêve. »
L’alternance des deux mondes est un plus. Mais je pense que ça t’a amené à écrire quelque chose d’encore plus dirigiste (je choisis de fouiller la poubelle plutôt que de grimper à la gouttière, ça ne change rien, j’essaie de continuer de grimper jusqu’en haut, je suis obligé de revenir en arrière…).
J’aime le paragraphe 164 !
A certains moments, j’ai l’impression qu’il y a des raccourcis (le moment où on reçoit sa quête, Stridge nous donne une épée mais ne dit pas au revoir alors qu’elle a le béguin pour nous), et la structure scénaristique reste classique. Au final, notre mission c’est de tuer un grand méchant. Ça reste infiniment mieux à mes yeux qu’une AVH d’heroic fantasy classique, puisque qu’au moins au début on se demande où tu vas nous emmener, mais quand la quête principale est enclenchée c’est moins sympa. Restent les rebondissements et les décors changeants.
Au final, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance sombre bien rendue et le gameplay. Par contre, et j’ai l’impression de faire la critique qu’on m’a déjà fait pour chienlit sur chienlit, j’ai eu l’impression qu'au début du moins tu avais le cul entre deux chaises, avec des passages très sombres et des moments guillerets qui contrastent avec le reste.